Covid : 5ème vague

Kraven a écrit:Peu de risques de créer des réservoirs à virus contaminants pour l'homme, via les animaux sauvages, car nous sommes rarement exposés à eux.

Delfraissy a écrit:Un vaccin-médicament

La formule surprendra les scientifiques les plus rigoureux : « Ce vaccin est particulier, une forme de vaccin médicament », confie Jean-François Delfraissy.

ANSM a écrit:Les vaccins font partie du champ d’action de l’ANSM.
Ce sont des médicaments.
L’Agence intervient dès la phase des essais cliniques. Elle accorde ensuite, au niveau national, son autorisation de mise sur le marché (AMM) en fonction de l'évaluation bénéfices/risques. L'AMM peut aussi être octroyée, pour l'ensemble du territoire de l'Union européenne, par la Commission européenne après avis de l'Agence européenne des médicaments (EMA). L'ANSM poursuit son action en assurant la libération des lots, la surveillance de sa sécurité d'emploi et le contrôle la publicité auprès du public et des professionnels de santé.

https://ansm.sante.fr/qui-sommes-nous/notre-perimetre/les-vaccins/p/les-vaccins-2

Malgré près de 400 morts du Covid-19 dans les hôpitaux ces dernières 24 heures, le ministre de la Santé Olivier Véran s’est montré optimiste sur l’évolution de l’épidémie.
« Il y a deux pics, celui de la vague Delta, nous l’avons passé. Nous sommes en train d’écraser Delta.
Et puis il y a Omicron, très contagieux, et moins grave. Nous allons atteindre le pic dans quelques jours », a-t-il annoncé mardi sur LCI.

Semper a écrit:
L'immunité ne fonctionnerai pas après avoir eu BA1 omicron 1, on peut "rechopper" BA2 (omicron 2)...

phyvette a écrit:

Semper a écrit:
L'immunité ne fonctionnerai pas après avoir eu BA1 omicron 1, on peut "rechopper" BA2 (omicron 2)...

On a déjà BA.1, BA.2 et BA.3.
Avec BA.13, on sera au pieds du mur, faudra isoler.

Catharing a écrit:Pfizer et BioNTech lancent les essais cliniques de leur vaccin spécifique contre #Omicron, chez 1 420 adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans (et qui seront divisés en trois groupes
...

BigBird a écrit:

Catharing a écrit:Pfizer et BioNTech lancent les essais cliniques de leur vaccin spécifique contre #Omicron, chez 1 420 adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans (et qui seront divisés en trois groupes
...

quid des + de 60 ans (la potentielle cible du vaccin du fait de leur vulnérabilité accrue) ?

BigBird a écrit:c'est aussi ce que j'avais pensé, mais vu qu'ils ont annoncé la sortie (disponibilité) de leur vaccin 2.0 (basé sur Omicron spike) pour mars, je ne vois pas comment ils auraient le temps de re-démarrer une phase 3 pour les + de 55 ans, (+ pour les 12 -> 18 ans), obtenir les autorisations de mise sur le marché, et de mettre en route la chaine de production et d’en-flaconnage, tout ça dans le mois de février (qui n'a que 28j) ...???

Résilient a écrit:...
De mémoire, Pfizer s'était déclaré en capacité de produire des vaccins adaptés aux variants successifs en 90 jours grâce à la technologie de l'ARNm. Du coup, mars, ça correspondrait à peu près à cet "engagement".

The FDA guidance for Emergency Use Authorization suggests a median duration of follow-up of phase 3 vaccine trial volunteers of 2 months.

Pfizer et BioNTech lancent une étude pour évaluer le vaccin COVID-19 à base d'Omicron chez les adultes de 18 à 55 ans.

Mardi 25 janvier 2022

L'étude comportera trois cohortes examinant différents schémas thérapeutiques du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 actuel ou d'un vaccin à base d'Omicron. L'étude s'appuiera sur certains participants de l' étude de rappel COVID-19 de phase 3 des sociétés et fait partie de leurs efforts continus pour traiter Omicron et déterminer le besoin potentiel de vaccins à base de variantes.

"Alors que les recherches actuelles et les données du monde réel montrent que les boosters continuent de fournir un niveau élevé de protection contre les maladies graves et l'hospitalisation avec Omicron, nous reconnaissons la nécessité d'être préparés au cas où cette protection diminuerait avec le temps et d'aider potentiellement à traiter Omicron et de nouvelles variantes à l'avenir », a déclaré [b]Kathrin U. Jansen, Ph.D., vice-présidente principale et responsable de la recherche et du développement de vaccins chez Pfizer. /b]
"Rester vigilant contre le virus nous oblige à identifier de nouvelles approches pour que les gens maintiennent un niveau élevé de protection, et nous pensons que le développement et l'étude de vaccins basés sur des variantes, comme celui-ci, sont essentiels dans nos efforts pour atteindre cet objectif."

"Cette étude fait partie de notre approche scientifique visant à développer un vaccin basé sur des variantes qui atteint un niveau de protection contre Omicron similaire à celui des variantes précédentes, mais avec une durée de protection plus longue."

L'étude évaluera jusqu'à 1 420 participants dans les trois cohortes :

• Cohorte #1 (n = 615) : A reçu deux doses du vaccin actuel Pfizer-BioNTech COVID-19 90 à 180 jours avant l'inscription ; dans l'étude, les participants recevront une ou deux doses du vaccin à base d'Omicron
  
• Cohorte #2 (n = 600) : A reçu trois doses du vaccin actuel Pfizer-BioNTech COVID-19 90 à 180 jours avant l'inscription ; dans l'étude, les participants recevront une dose du vaccin actuel Pfizer-BioNTech COVID-19 ou du vaccin à base d'Omicron
  
• Cohorte #3 (n=205) : les participants n'ayant jamais été vaccinés recevront trois doses du vaccin à base d'Omicron
  

"Si je l'attrape, je serais débarrassé" : sommes-nous à l'ère de la banalisation du virus ?

...
Aux Etats-Unis, une récente étude des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies estime ainsi qu'une personne malade du Covid-19, infectée avec Omicron, aurait environ 75% de risques en moins d'être placé en soins intensifs, et plus de 90 % de risques en moins de mourir, par rapport à une personne infectée avec le variant Delta.

How long do antibodies last?

Coronavirus antibodies generated by Omicron infection last at least six months in 88 percent of the cases.

According to experts, these antibodies provide a certain degree of protection to the majority of those who suffer infection.

Furthermore, once that period of six months has passed, the protection rate drops to a still significant 74 percent.

"Infection, whether with Omicron or any other variant, will strengthen your immunity. That immunity will be more effective against the same variant, but it will continue to be effective against the others," said professor Paul Hunter, an infectious disease expert at the University of East Anglia.

Comment vivre au temps du coronavirus ? - Un manuel pour comprendre et résister
Alain Bauer et Roger Dachez

Voici l'histoire d'une pandémie attendue et qui n'arriva pas. Et d'une autre qui arriva sans prévenir. Alors qu'on avait défait tout ce qui avait été construit contre la précédente.
Voici une somme historique d'alertes et de rapports multiples qui auraient dû nous permettre de combattre la Covid-19. Et sans avoir à choisir entre la santé et l'emploi, entre les victimes sanitaires et les victimes sociales.
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Le premier ouvrage total qui permet de se faire une idée par soi-même, sans intermédiaire.
Une somme totale, synthétique et critique, fondée sur les documents essentiels donnés en annexes.

Un real Book contre les Fake News.Pour comprendre hier.Pour juger aujourd'hui.Et surtout pour se préparer à demain.

Thèse de doctorat

Encatimini a écrit:juste le bagage de l'auteur permettant de tirer les conclusions.
A part faire partie du collectif Du côté de la science je ne vois vraiment pas.
J'aimerais qu'on m'explique.

Spoiler:

Membres du collectif

• Eric Billy – chercheur en immuno-oncologie – Strasbourg
  
• Dr Matthieu Calafiore – médecin généraliste – maître de conférence des universités – directeur du département de médecine générale de la faculté de Lille
  
• Dr Franck Clarot – médecin légiste – radiologue – vice-président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (76)
  
• Dr Corinne Depagne – pneumologue – Lyon
  
• Dr Jonathan Favre – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons
  
• Pr Germain Forestier – Data scientist – professeur des universités en informatique – Directeur du département d’informatique de l’Institut IRIMAS, Université de Haute-Alsace – professeur associé à l’université de Melbourne
  
• Pr Guillaume Gorincour – radiologue – vice-président du Conseil départemental de l’Ordre national des médecins (13)
  
• Stéphane Korsia-Meffre – vétérinaire & rédacteur médical – Auxerre
  
• Dr Christian Lehmann – médecin généraliste – écrivain
  
• Dr Jérôme Marty – médecin généraliste – président de l’Union Française pour une Médecine Libre (UFMLS)
  
• Dr François-Xavier Moronval – médecin urgentiste – Epinal
  
• Dr Michaël Rochoy – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons, chercheur associé à l’ULR2694
  
• Dr Hélène Rossinot – médecin spécialiste de santé publique – écrivain – Nancy
  
• Barbara Serrano – consultante indépendante et Maîtresse de conférences associée à l’Université de Versailles Saint-Quentin
  
• David Simard – docteur en philosophie, spécialisé en philosophie de la médecine et de la santé, chercheur associé au laboratoire LIS (EA4395) – Faculté de santé de l’Université Paris Est – Créteil
  
• Dr Florian Zores – Cardiologue – Strasbourg
  
• Pr Mahmoud Zureik – professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’Université de Versailles Saint-Quentin
  

Encatimini a écrit:En même temps, sa thèse était:

Thèse de doctorat

Fin novembre 2019, « La santé sexuelle, genèse et usages d’un concept. Étude d’épistémologie historique, XIXe – XXIe siècles ».
Son doctorat en philosophie et épistémologie.
Je ne vois pas ( même si je ne suis pas compétent), les qualifications qu'a ce monsieur pour parler d'une épidémie.
Je ne juge pas les faits cités, ni leur véracité, ni leur pertinence, juste le bagage de l'auteur permettant de tirer les conclusions.
A part faire partie du collectif Du côté de la science je ne vois vraiment pas.
J'aimerais qu'on m'explique.

Pédigrée:
Depuis 30 ans, Stéphane Korsia-Meffre se consacre à la diffusion de l’information médicale de référence auprès du grand public, des patients et des professionnels de santé. Vétérinaire et neurobiologiste, il a exercé sa mission au sein d’associations de patients en France et aux États-Unis (VIH/sida, hépatites virales, maladies rares) et de maisons d’édition médicale (Médiavita, Masson, Vidal). Par ailleurs, il est enseignant vacataire au sein du DU de médecine générale de l’université Paris XIII et membre du Comité Éthique et Cancer.

Plus transmissible, Omicron est-il vraiment moins dangereux que les variants précédents ? Si c’est le cas, comment expliquer cette différence ? BA.2 est-il une menace ? Enquête sur les particularités d’un variant inattendu.