Couteau de survie
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Re: Couteau de survie
Et pour revenir sur l'intervention de Da, c'est vrai qu'une mini lampe LED c'est pas du luxe dans bien des situations !
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Une mini lampe LED j'en ai une sur le trousseau de la voiture, mon parking est un vrai labyrinthe et il y a déjà eu des coupures de courant.
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"Ne participez pas à l’économie sans nécessité. Achetez aussi peu que possible. Réutilisez autant que vous le pouvez. Réduisez vos besoins physiques. Établissez des plans pour les réduire davantage" (Dimitri Orlov)
Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Regarder sous une voiture, sous un meuble, dans un tube, au fond d'un sac... Même en plein jour.
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Salut
Petite question pour l'Opinel Outdoor :
Est-ce qu'il existe en d'autres tailles ? (Pour les martiens qui n'ont jamais vu d'Opinel, ceux-ci sont numérotés en fonction de leur taille et celui testé par Zanzibar est le numéro 8, taille "moyenne" de l'Opinel. Le numéro est gravé sur la bague de blocage).
Chaque utilisateur d'Opinel a ses préférences et habitudes concernant son "numéro" favori...
On trouve ça sur wikipedia :
Petite question pour l'Opinel Outdoor :
Est-ce qu'il existe en d'autres tailles ? (Pour les martiens qui n'ont jamais vu d'Opinel, ceux-ci sont numérotés en fonction de leur taille et celui testé par Zanzibar est le numéro 8, taille "moyenne" de l'Opinel. Le numéro est gravé sur la bague de blocage).
Chaque utilisateur d'Opinel a ses préférences et habitudes concernant son "numéro" favori...
On trouve ça sur wikipedia :
FokeltokLes Opinels existent en 11 tailles numérotées de 2 à 13 (lame de 3,5 cm à 22 cm), les numéros 1 et 11 ayant été arrêtés respectivement en 1932 et 1935. Le numéro 8 (lame de 8,5 cm) est certainement la taille la plus appréciée et la plus pratique pour un usage courant, bien que les modèles plus grands soient utilisables comme couteaux de cuisine ou de camping.
no 2 : Lame 3,5 cm
no 3 : Lame 4 cm
no 4 : Lame 5 cm
no 5 : Lame 6 cm
no 6 : Lame 7 cm
no 7 : Lame 8 cm
no 8 : Lame 8,5 cm
no 9 : Lame 9 cm
no 10 : Lame 10 cm
no 12 : Lame 12 cm
no 13 : Lame 22 cm
fokeltok- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Je n'ai pas vu d'autre taille que 8 pour le Outdoor...
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Idem, et certaines couleurs plus rares que d'autres
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Re: Couteau de survie
moi j'ai le gris, car les autres couleurs ne sont pas trop FOMBEC (forme, ombre, mouvement, bruit, éclat, couleur)
terme militaire;)
terme militaire;)
ricemo14- Animateur
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Re: Couteau de survie
J'ai celui orange, plus facile à retrouver en cas de perte en rando ce qui est plutôt mon scénario (loisirs pas chers comme la marche en forêt).
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Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Orange pour moi. Ce n'est pas un outil que je destine à un raid commando... Plutôt du loisir.
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Déjà perdu une torche en foret à cause de sa couleur.
Elle s'est eteinte en tombant (filament de l'ampoule ?) et en pleine nuit c'est pas terrible.
Donc je privilegie aussi les couleurs qui "pètent" un peu pour certains objets.
Elle s'est eteinte en tombant (filament de l'ampoule ?) et en pleine nuit c'est pas terrible.
Donc je privilegie aussi les couleurs qui "pètent" un peu pour certains objets.
iota- Membre Premium
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Re: Couteau de survie
Une question se pose : en K2KK faut-il se fondre dans la nature pour échapper à des agresseurs ou plutôt faire en sorte d'être facilement repéré par des secours et donc bien visible ?
Ce sont deux philosophies opposées, certains voudront du matos couleur kaki, d'autres du orange...
Et tout dépend de la catastrophe envisagée... Zombies ou tsunami ?
Dans mon cas, je privilégie le matos discret, en tout cas pas tape à l'œil.
Ce sont deux philosophies opposées, certains voudront du matos couleur kaki, d'autres du orange...
Et tout dépend de la catastrophe envisagée... Zombies ou tsunami ?
Dans mon cas, je privilégie le matos discret, en tout cas pas tape à l'œil.
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Je pense que c'est le juste milieu.Zanzibar a écrit:...en tout cas pas tape à l'œil.
iota- Membre Premium
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Re: Couteau de survie
ce couteau (l'outdoor d'opinel) est un outil pour sportifs, pour la voile, la spéléo, éventuellement l'escalade, des sports ou on a besoin de manipuler des cordes, et ou on a souvent affaire à l'eauZanzibar a écrit:Une question se pose : en K2KK faut-il se fondre dans la nature pour échapper à des agresseurs ou plutôt faire en sorte d'être facilement repéré par des secours et donc bien visible ?
Ce sont deux philosophies opposées, certains voudront du matos couleur kaki, d'autres du orange...
Et tout dépend de la catastrophe envisagée... Zombies ou tsunami ?
Dans mon cas, je privilégie le matos discret, en tout cas pas tape à l'œil.
alors, dans l'idée d'un sportif plaisancier, ou spéléologue, ou autre, est ce que le couteau a les qualités qu'on attend ?
sa couleur, est un avantage, qu'il tombe à l'eau, dans un trou, dans un fourré, on peux le retrouver facilement, un insert phosphorescent en plus serais top, mais ça augmenterai beaucoup le prix, reste la possibilité de coller un point de peinture phosphorescente quelque part sur le manche (pour encore mieux le voir dans un trou, ou de nuit)
je ne suis pas fan de la scie du manche, mais le démanilleur est un outil bien pratique dans certains cas, et là, il est intégré proprement
le sifflet permet de se signaler efficacement, sans pièce d'usure, donc increvable, donc c'est un plus
à confirmer, mais, de mémoire, le modèle avais une flottation positive, et un passage dans le manche pour un bout (le coté marin du truc), ce qui permettais de ne pas avoir à plonger pour le récupérer quand il tombe à l'eau, si on rajoute un bout flottant, il devient très facile à récupérer dans l'eau
alors, oui, pour un commando, ce n'est pas un outil utile, un mora like basique, avec une pierre à feu basique ferai plus l'affaire (couper+chauffer)
mais pour le sportif, ne pas perdre son couteau, et pouvoir utiliser le sifflet pour se signaler n'est il pas plus important que faire du feu avec (en sorties voiles, comme en spéléo, j'ai rarement eu l'occasion d'improviser un feu ... sauf une fois revenu sur la terre ferme/sorti du trou)
la survie, ce n'est pas seulement la verte, le combat et le fombec, en mode urbain et encore plus dans certains sport, plus on est facile à trouver en cas d'accident, mieux c'est
et puis les problemes, ils ne prennent pas rendez vous, donc on peux difficilement scénariser le probleme qui peux arriver à l'avance pour adapter ses outils ... donc avoir des outils adaptés à chaque activité (quand on peux se les payer), c'est encore le mieux
je dis ça, mais, même après sa sortie je n'ai jamais porté ce couteau là
pourtant, je faisais de la voile et de la spéléo, et du kayak, mais le plastique et la lame inox ne m'attirais pas, je préférais mon opinel numéro 10 à manche retaillé, plus confortable en main (mais que de boulot pour entretenir les lames carbones en environnement mouillé)
opinel que je ne porte quasiment plus, depuis que j'ai trouvé un couteau en inox, ouvrable d'une main, avec une lame qui me plais ... l'ouverture/fermeture d'une main, plus un bon verrou, c'est quand même le top (pas sur qu'un uniforme apprécierai autant que mon opinel, mais bon)
agralil- Membre Premium
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Re: Couteau de survie
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Re: Couteau de survie
Voici mon Nontron, il a un vingtaine d'années. Environ deux fois plus cher qu'un Opinel donc quand même pas excessif ni exclusif par son prix il lui est supérieur. Pas trouvable partout loin de la, l'achat sur le net s'impose.
Le manche en buis non verni ne glisse pas beaucoup , le buis ne prend pas les odeurs de cuisine, le manche en forme de canoë est beaucoup plus discret dans la poche, la lame en inox est moins affutable que celle des Opinel en acier mais assez affutable pour les usages domestiques courants, au niveau des opinel inox. Sa forme en feuille de sauge la rend pratique pour découper un poulet et récupérer toutes les lamelles de chair adhérentes.
Le manche en buis non verni ne glisse pas beaucoup , le buis ne prend pas les odeurs de cuisine, le manche en forme de canoë est beaucoup plus discret dans la poche, la lame en inox est moins affutable que celle des Opinel en acier mais assez affutable pour les usages domestiques courants, au niveau des opinel inox. Sa forme en feuille de sauge la rend pratique pour découper un poulet et récupérer toutes les lamelles de chair adhérentes.
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Re: Couteau de survie
Pour moi couteau de poche au quotidien longtemps, et le couteau de pique-nique. Depuis pour le port quotidien j'ai pris encore plus plat.
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Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Salut
On m'a offert il y a quelque temps un ouvrage sympathique :
Coutellerie de poche de Dominique Pascal. Précisons que je n'ai pas d'actions chez Amaz*n, mais c'est pour donner des sources...
C'est un petit ouvrage sympathique avec beaucoup de photos, et j'en air surtout retiré un enseignement global : la plupart des couteaux français du début du vingtième siècle ont à un moment de leur histoire été fabriqué (voire créés de toutes pièces) par des couteliers de la régions de Thiers qui se sont spécialisés dans la fournitures de toutes sortes de "spécialités locales"... Ils ont même lancé des spécialités "étrangères" ou "locales" (Douk-Douk, vendetta corses, rouennais, etc.) et l'auteur précise que les fabriquants ont anticipé les pratiques chinoises actuelles (un modèle, une copie, on inonde le marché à la demande, et on reste le plus gros producteur...)
Je trouve le Nontron très joli et le seul couteau que j'ai forgé dans ma vie ( reconstitution médiévale oblige...) a un manche en buis, c'est un bois qui a une vie sympa (fibre, toucher, sensation tactile), un aspect agréable et une dureté qui le rend agréable à travailler (ça pue moins que la corne au ponçage !!!). Mais je ne suis ni spécialiste de la forge, ni des couteaux, je conseille juste à tous ceux qui le peuvent d'essayer un jour de travailler le métal avec des spécialistes et de se fabriquer leur propre couteau, c'est très instructif, c'est magique et l'objet devient autre chose quand on l'a fabriqué soi-même : il prend vie. Bon, pour moi il a pris vie à la manière d'une créature de Frankenstein, et je ne conseillerai à personne de confier sa survie à cette "chose", mais j'ai appris beaucoup sur l'ergonomie, sur le temps de travail d'une pièce artisanale, sur ce qui convient à ma main, sur l'attention qu'on peut porter à un objet qu'on aime (il n'est pas fluo, mais je ne l'ai jamais perdu, ni perdu de vue en fait...)
Attention à l'attachement sentimental à un couteau qui vous plaît, c'est contre-productif et irrationnel !
Cordialement
Fokeltok
(Bon, je vais essayer de prendre en photo "mon" couteau, ça fera marrer les spécialistes!!!)
On m'a offert il y a quelque temps un ouvrage sympathique :
Coutellerie de poche de Dominique Pascal. Précisons que je n'ai pas d'actions chez Amaz*n, mais c'est pour donner des sources...
C'est un petit ouvrage sympathique avec beaucoup de photos, et j'en air surtout retiré un enseignement global : la plupart des couteaux français du début du vingtième siècle ont à un moment de leur histoire été fabriqué (voire créés de toutes pièces) par des couteliers de la régions de Thiers qui se sont spécialisés dans la fournitures de toutes sortes de "spécialités locales"... Ils ont même lancé des spécialités "étrangères" ou "locales" (Douk-Douk, vendetta corses, rouennais, etc.) et l'auteur précise que les fabriquants ont anticipé les pratiques chinoises actuelles (un modèle, une copie, on inonde le marché à la demande, et on reste le plus gros producteur...)
Je trouve le Nontron très joli et le seul couteau que j'ai forgé dans ma vie ( reconstitution médiévale oblige...) a un manche en buis, c'est un bois qui a une vie sympa (fibre, toucher, sensation tactile), un aspect agréable et une dureté qui le rend agréable à travailler (ça pue moins que la corne au ponçage !!!). Mais je ne suis ni spécialiste de la forge, ni des couteaux, je conseille juste à tous ceux qui le peuvent d'essayer un jour de travailler le métal avec des spécialistes et de se fabriquer leur propre couteau, c'est très instructif, c'est magique et l'objet devient autre chose quand on l'a fabriqué soi-même : il prend vie. Bon, pour moi il a pris vie à la manière d'une créature de Frankenstein, et je ne conseillerai à personne de confier sa survie à cette "chose", mais j'ai appris beaucoup sur l'ergonomie, sur le temps de travail d'une pièce artisanale, sur ce qui convient à ma main, sur l'attention qu'on peut porter à un objet qu'on aime (il n'est pas fluo, mais je ne l'ai jamais perdu, ni perdu de vue en fait...)
Attention à l'attachement sentimental à un couteau qui vous plaît, c'est contre-productif et irrationnel !
Cordialement
Fokeltok
(Bon, je vais essayer de prendre en photo "mon" couteau, ça fera marrer les spécialistes!!!)
fokeltok- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Un couteau dont on est "amoureux", il faut l'avoir en double pour le garder intact et en même temps le faire travailler sans arrière pensée.
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Salut
J'ai hésité à poster ici car il ne s'agit pas à proprement parler d'un couteau "de survie", et aussi suite à quelques réflexions faites récemment à certains membres au sujet du syndrome "montrer qu'on a le plus gros couteau", c'est toujours assez amusant de se prêter au jeu, sans prétention...
Pourtant, je vous présente "MON" couteau, c'est à dire un couteau forgé par mes soins.
Pourquoi présenter ça dans le fil dédié aux "couteaux de survie" ?
Parce qu'en cas de crise, de chute du système... (remplissez les cases selon votre scénario...) je sais désormais FABRIQUER un outil utile, même s'il est loin d'être parfait, cela fait partie d'un savoir faire que je trouvais intéressant d'acquérir (et qui m'a ouvert sur de nombreux autres usages)
Je précise : je n'ai travaillé à la forge que dans le cadre d'une activité de reconstitution historique médiévale, et seulement de manière anecdotique et ponctuelle, mais j'ai eu l'occasion d'échanger un peu sur le sujet avec quelques forgerons amateurs et quelques pros.
Mon idée de départ :
Fabriquer mon couteau de A à Z, ou presque. Avoir un couteau "historiquement correct". posséder un outil qui coupe et qui me permette de manger pendant mon activité de loisirs favorite (la reconstitution historique m'a occupé une partie de ces vingt dernières années, mais je me soigne...) et toutes sortes de choses qu'on demande à un couteau habituellement (cuisine, bricolage, décapsuler une bière, couper un bout de corde, tailler une cheville ou un cure-dent,etc)...
Mon choix: un profil archéologique tiré des fouilles de Londres du milieu du XVeme siècle, légèrement modifié question dimensions.
L'objet est forgé dans une vieille lime de récup (acier dur) sur une forge simple (une caisse de bois remplie de briques réfractaires, une tuyère en tuyau d'acier, avec un soufflet fait de bois et de cuir, rien de très compliqué) forgé au charbon de forge (depuis je suis passé au charbon de bois pour le bricolage, c'est suffisant et moins cher). L'enclume et le marteau n'avaient rien de particulier.
J'ai pas mal raté une partie de la lame : un coup de marteau malheureux a réduit l'épaisseur un peu trop fortement à un endroit et je n'ai pas su rattraper le coup.
Le manche est en buis, découpé dans une branche au séchage assez ancien, merci papa.
Deux plaques de buis taillées à la scie à métaux, un bon ponçage pour avoir une surface bien plane contre la soie en métal, et le reste à la lime.
La soie fait la taille et la forme du manche.
Le polissage a demandé pas mal d'huile de coude, une bonne lime et des papiers de différents grains, puis une meule pour l'affutage, pas très historique mais j'avais pas tout le temps libre que je voulais à l'époque... Et le résultat n'est pas un "poli miroir", même si au départ il rendait assez sympa.
On voit bien sur la photo ci-dessus le décalage des "joues" en laiton (je ne me souviens même plus du terme technique !), que je n'ai pas réussi à ajuster correctement. Le rivetage est réalisé avec des clous en laitons, sans rosette (ces "rondelles" que l'on rajoute généralement sur des matériaux assez tendre comme le bois), le buis peut s'en passer étant donné sa dureté.
Le buis était passé de temps en temps à l'huile d'olive pour protéger, mais avec le temps il a acquis une "patine" qui rend cela presque inutile.
La trempe a été faite avant tout le travail du manche, bien sûr. Les ouvrages spécialisés sur le sujet et un bon moteur de recherche vous donneront tout un tas d'indication (trempe à l'huile, etc.), je ne serais pas à la hauteur pour vous faire un cours là dessus.
Question utilisation, il me suit depuis plus de douze ans, mais pas en usage intensif. Il remplit sa fonction sans être le meilleur de sa catégorie, il garde bien l'affûtage même si les débuts furent laborieux (apprendre à affûter me semble plus difficile que d'apprendre à faire un couteau...)
Voilà, si vous avez l'occasion de vous lancer un jour, créer son propre outil apporte un autre regard sur le monde. On se sent capable de tout essayer, il suffit de fabriquer l'outil adéquat... à condition bien sûr de reconnaître les limites de l'exercice (on n'atteint pas le niveau de qualité d'un artisan d'art ni d'un procédé industriel de qualité en quelques tâtonnements)
@zanzibar :
Un couteau dont on est "amoureux" mais qu'on a fait soi-même n'existe qu'en un seul exemplaire...
Cordialement
Fokeltok
J'ai hésité à poster ici car il ne s'agit pas à proprement parler d'un couteau "de survie", et aussi suite à quelques réflexions faites récemment à certains membres au sujet du syndrome "montrer qu'on a le plus gros couteau", c'est toujours assez amusant de se prêter au jeu, sans prétention...
Pourtant, je vous présente "MON" couteau, c'est à dire un couteau forgé par mes soins.
Pourquoi présenter ça dans le fil dédié aux "couteaux de survie" ?
Parce qu'en cas de crise, de chute du système... (remplissez les cases selon votre scénario...) je sais désormais FABRIQUER un outil utile, même s'il est loin d'être parfait, cela fait partie d'un savoir faire que je trouvais intéressant d'acquérir (et qui m'a ouvert sur de nombreux autres usages)
Je précise : je n'ai travaillé à la forge que dans le cadre d'une activité de reconstitution historique médiévale, et seulement de manière anecdotique et ponctuelle, mais j'ai eu l'occasion d'échanger un peu sur le sujet avec quelques forgerons amateurs et quelques pros.
Mon idée de départ :
Fabriquer mon couteau de A à Z, ou presque. Avoir un couteau "historiquement correct". posséder un outil qui coupe et qui me permette de manger pendant mon activité de loisirs favorite (la reconstitution historique m'a occupé une partie de ces vingt dernières années, mais je me soigne...) et toutes sortes de choses qu'on demande à un couteau habituellement (cuisine, bricolage, décapsuler une bière, couper un bout de corde, tailler une cheville ou un cure-dent,etc)...
Mon choix: un profil archéologique tiré des fouilles de Londres du milieu du XVeme siècle, légèrement modifié question dimensions.
L'objet est forgé dans une vieille lime de récup (acier dur) sur une forge simple (une caisse de bois remplie de briques réfractaires, une tuyère en tuyau d'acier, avec un soufflet fait de bois et de cuir, rien de très compliqué) forgé au charbon de forge (depuis je suis passé au charbon de bois pour le bricolage, c'est suffisant et moins cher). L'enclume et le marteau n'avaient rien de particulier.
J'ai pas mal raté une partie de la lame : un coup de marteau malheureux a réduit l'épaisseur un peu trop fortement à un endroit et je n'ai pas su rattraper le coup.
Le manche est en buis, découpé dans une branche au séchage assez ancien, merci papa.
Deux plaques de buis taillées à la scie à métaux, un bon ponçage pour avoir une surface bien plane contre la soie en métal, et le reste à la lime.
La soie fait la taille et la forme du manche.
Le polissage a demandé pas mal d'huile de coude, une bonne lime et des papiers de différents grains, puis une meule pour l'affutage, pas très historique mais j'avais pas tout le temps libre que je voulais à l'époque... Et le résultat n'est pas un "poli miroir", même si au départ il rendait assez sympa.
On voit bien sur la photo ci-dessus le décalage des "joues" en laiton (je ne me souviens même plus du terme technique !), que je n'ai pas réussi à ajuster correctement. Le rivetage est réalisé avec des clous en laitons, sans rosette (ces "rondelles" que l'on rajoute généralement sur des matériaux assez tendre comme le bois), le buis peut s'en passer étant donné sa dureté.
Le buis était passé de temps en temps à l'huile d'olive pour protéger, mais avec le temps il a acquis une "patine" qui rend cela presque inutile.
La trempe a été faite avant tout le travail du manche, bien sûr. Les ouvrages spécialisés sur le sujet et un bon moteur de recherche vous donneront tout un tas d'indication (trempe à l'huile, etc.), je ne serais pas à la hauteur pour vous faire un cours là dessus.
Question utilisation, il me suit depuis plus de douze ans, mais pas en usage intensif. Il remplit sa fonction sans être le meilleur de sa catégorie, il garde bien l'affûtage même si les débuts furent laborieux (apprendre à affûter me semble plus difficile que d'apprendre à faire un couteau...)
Voilà, si vous avez l'occasion de vous lancer un jour, créer son propre outil apporte un autre regard sur le monde. On se sent capable de tout essayer, il suffit de fabriquer l'outil adéquat... à condition bien sûr de reconnaître les limites de l'exercice (on n'atteint pas le niveau de qualité d'un artisan d'art ni d'un procédé industriel de qualité en quelques tâtonnements)
@zanzibar :
Un couteau dont on est "amoureux" mais qu'on a fait soi-même n'existe qu'en un seul exemplaire...
Cordialement
Fokeltok
fokeltok- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Couteau de survie
Effectivement, fokeltok, un couteau unique n'a pas de clone... Il est d'autant plus précieux. Forger doit être une activité fascinante.
Zanzibar- Membre
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Re: Couteau de survie
Comparatif SPYDERCO / ONTARIO
Chine contre USA !
On commence avec le Spyderco Tenacious
Couteau pliant fabriqué an Chine avec une qualité de finition irréprochable.
Prix de 40 à 50 euros.
Lame de 85 mm en acier inoxydable 8CR13MOV, large et aiguisée sur toute sa longueur, pas un mm de perdu.
Epaisseur du dos 3 mm, c'est costaud.
Cette lame incurvée sur toute sa longueur a une forme pointue de dague (qui se prête éventuellement à la défense).
Sa forme typique Spyderco est originale, impressionnante par sa largeur et finalement pas toujours pratique à utiliser.
Elle ne permet pas d'éplucher un fruit facilement, on le réservera donc aux travaux n'exigeant pas trop de minutie
(là où un Laguiole s'en sort à la perfection avec sa lame mince).
L'ergonomie est vraiment bien pensée pour une ouverture rapide d'une main avec le pouce placé dans le rond découpé de la lame.
Liner lock net et précis, aucun jeu. Clip de ceinture à 4 positions pour satisfaire tous les goûts.
Le manche quasi plat est bien large et se cale dans la paume pour ne plus bouger. Le dos de lame relevé reçoit le pouce avec bonheur.
Et c'est parti. On a en main un outil fait pour tailler, trancher, couper sans compromis.
Un peu impressionnant à table ou en cuisine, on ne sortira ce couteau qu'en extérieur car son look est un tantinet agressif.
Il existe en diverses versions avec des serrations partielles ou complètes.
Pour les grandes mains ou les amateurs de grande lame, il faut choisir le Spyderco Résilience.
Passons à l'Ontarion RAT 1 (Randall's Adventure Training)
Couteau pliant fabriqué aux USA, un chouia mieux fini que le Spyderco car plus doux dans son maniement. Prix 40 à 50 euros aussi.
Lame de 10 cm en acier inoxydable AUS8, aiguisée sur 8,7 cm.
La forme traditionnelle des Ontario se retrouve ici, une partie plate et un arrondi qui remonte vers la pointe.
C'est très fonctionnel à l'usage, très pratique en toute situation.
Epaisseur du dos 3 mm, pareil que le Spyderco.
L'ergonomie est moins spectaculaire que chez Spyderco mais tout aussi efficace.
Le pouce trouve sa place sur le dos de lame, la tenue en main est parfaite. Le liner lock est précis, doux et net. Aucun jeu.
L'ouverture d'une main est une formalité mais s'avère moins évidente que sur le Spyderco car on utilise un ergot qu'il faut pousser au lieu du système à trou.
Grand découpeur, trancheur, tailladeur, ce couteau est un parfait compagnon de Bushcraft mais il sait se montrer civilisé à l'heure du repas où son physique ne fait peur à personne ou presque.
Existe en de nombreuses couleurs et avec ou sans serrations. Clip de ceinture à 4 positions comme le chinois.
Un couteau attachant au fonctionnement d'une douceur exemplaire, à l'efficacité évidente et à l'aspect sans prétention.
Au final, deux couteaux aux qualités énormes, faciles, bien conçus et bien finis. D'une ergonomie très proche, légers, robustes, tranchants et quasi bons à tout.
Pas de vainqueur, juste un choix à faire en fonction des aspirations de chacun.
A posséder dans son EDC ou BOB ou ailleurs...
Chine contre USA !
On commence avec le Spyderco Tenacious
Couteau pliant fabriqué an Chine avec une qualité de finition irréprochable.
Prix de 40 à 50 euros.
Lame de 85 mm en acier inoxydable 8CR13MOV, large et aiguisée sur toute sa longueur, pas un mm de perdu.
Epaisseur du dos 3 mm, c'est costaud.
Cette lame incurvée sur toute sa longueur a une forme pointue de dague (qui se prête éventuellement à la défense).
Sa forme typique Spyderco est originale, impressionnante par sa largeur et finalement pas toujours pratique à utiliser.
Elle ne permet pas d'éplucher un fruit facilement, on le réservera donc aux travaux n'exigeant pas trop de minutie
(là où un Laguiole s'en sort à la perfection avec sa lame mince).
L'ergonomie est vraiment bien pensée pour une ouverture rapide d'une main avec le pouce placé dans le rond découpé de la lame.
Liner lock net et précis, aucun jeu. Clip de ceinture à 4 positions pour satisfaire tous les goûts.
Le manche quasi plat est bien large et se cale dans la paume pour ne plus bouger. Le dos de lame relevé reçoit le pouce avec bonheur.
Et c'est parti. On a en main un outil fait pour tailler, trancher, couper sans compromis.
Un peu impressionnant à table ou en cuisine, on ne sortira ce couteau qu'en extérieur car son look est un tantinet agressif.
Il existe en diverses versions avec des serrations partielles ou complètes.
Pour les grandes mains ou les amateurs de grande lame, il faut choisir le Spyderco Résilience.
Passons à l'Ontarion RAT 1 (Randall's Adventure Training)
Couteau pliant fabriqué aux USA, un chouia mieux fini que le Spyderco car plus doux dans son maniement. Prix 40 à 50 euros aussi.
Lame de 10 cm en acier inoxydable AUS8, aiguisée sur 8,7 cm.
La forme traditionnelle des Ontario se retrouve ici, une partie plate et un arrondi qui remonte vers la pointe.
C'est très fonctionnel à l'usage, très pratique en toute situation.
Epaisseur du dos 3 mm, pareil que le Spyderco.
L'ergonomie est moins spectaculaire que chez Spyderco mais tout aussi efficace.
Le pouce trouve sa place sur le dos de lame, la tenue en main est parfaite. Le liner lock est précis, doux et net. Aucun jeu.
L'ouverture d'une main est une formalité mais s'avère moins évidente que sur le Spyderco car on utilise un ergot qu'il faut pousser au lieu du système à trou.
Grand découpeur, trancheur, tailladeur, ce couteau est un parfait compagnon de Bushcraft mais il sait se montrer civilisé à l'heure du repas où son physique ne fait peur à personne ou presque.
Existe en de nombreuses couleurs et avec ou sans serrations. Clip de ceinture à 4 positions comme le chinois.
Un couteau attachant au fonctionnement d'une douceur exemplaire, à l'efficacité évidente et à l'aspect sans prétention.
Au final, deux couteaux aux qualités énormes, faciles, bien conçus et bien finis. D'une ergonomie très proche, légers, robustes, tranchants et quasi bons à tout.
Pas de vainqueur, juste un choix à faire en fonction des aspirations de chacun.
A posséder dans son EDC ou BOB ou ailleurs...
Zanzibar- Membre
- Nombre de messages : 276
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Date d'inscription : 24/06/2013
Re: Couteau de survie
Je me permets de déterrer ce sujet, au demeurant bien fourni pour demander aux spécialistes quelques précisions.
je souhaite acquérir d'ici peu 3 couteaux à répartir entre plusieurs endroits stratégiques (sur moi, voiture, et appartement). Cédant au bon sens énoncé plus haut qui veut que le meilleur couteau soit "celui que l'on a sur soit et dont on sait se servir" mon choix se porte plutôt vers un opinel (n) 7 ou 8) voir un MORA 2000 ou un companion F.
Mais plusieurs questions restent en suspens :
- étant novice et avec une utilisation à priori non quotidienne, mon choix doit il se porter plutôt sur de l'acier inoxydable ?
- je vous ai vu parler de qualité d'acier
quelqu'un pourrait il me faire un rapide résumer svp (genre quel type d'acier de qualité pour de l'acier carbone et pour l'acier inoxydable) ? Car malheureusement sur les sites marchand (Ama*** et Eb**) la qualité des descriptions n'est pas au rdv. Et pour être déjà aller dans une armurie, comment dire... c'est un peu comme chez le garagiste le sexisme est roi ("elle veut un couteau suisse rose la demoiselle?" ).
je souhaite acquérir d'ici peu 3 couteaux à répartir entre plusieurs endroits stratégiques (sur moi, voiture, et appartement). Cédant au bon sens énoncé plus haut qui veut que le meilleur couteau soit "celui que l'on a sur soit et dont on sait se servir" mon choix se porte plutôt vers un opinel (n) 7 ou 8) voir un MORA 2000 ou un companion F.
Mais plusieurs questions restent en suspens :
- étant novice et avec une utilisation à priori non quotidienne, mon choix doit il se porter plutôt sur de l'acier inoxydable ?
- je vous ai vu parler de qualité d'acier
Zanzibar a écrit:Elle est en acier 12C27 Sandvik (excellent acier inoxydable).
quelqu'un pourrait il me faire un rapide résumer svp (genre quel type d'acier de qualité pour de l'acier carbone et pour l'acier inoxydable) ? Car malheureusement sur les sites marchand (Ama*** et Eb**) la qualité des descriptions n'est pas au rdv. Et pour être déjà aller dans une armurie, comment dire... c'est un peu comme chez le garagiste le sexisme est roi ("elle veut un couteau suisse rose la demoiselle?" ).
Epine- Membre
- Nombre de messages : 107
Date d'inscription : 26/03/2019
Re: Couteau de survie
Salut, quel cadre d'emplois envisages tu avec tes couteaux?
Quelles fréquences d'utilisation?
Quelles fréquences d'utilisation?
________________________________________________________
Si le "plan A" ne fonctionne pas, il reste 25 lettres dans l'alphabet!
montargie- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
- Nombre de messages : 809
Date d'inscription : 19/12/2016
Re: Couteau de survie
montargie a écrit:Salut, quel cadre d'emplois envisages tu avec tes couteaux?
Quelles fréquences d'utilisation?
Merci de ta rapidité Montargie !
Je pense m'en servir dans al vie de tous les jours (ouvrir des enveloppe, ouvrir des colis etc) et en randonnées (tailler une branche, couper des champignons si l'occasion ce présente). Rien de bien fameux
L'utilisation risque par conter d'être épisodique : 2-3 fois par semaine pour celui que j'aurais sur moi, quasi jamais pour les autres. Mais je pensais éventuellement prendre des modèle différent, pour faire une rotation et me familiariser avec chacun d'entre eux.
Epine- Membre
- Nombre de messages : 107
Date d'inscription : 26/03/2019
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