Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
+4
Griffon
Catharing
hildegarde
albertspetz
8 participants
Page 1 sur 1
Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Vous avez de bons rapports avec votre médecin ? Et avec votre Pharmacien ?
La résilience c'est aussi gérer un stock de médicaments (traitement quotidien et urgence)
Cf à ce propos les échanges, de ces derniers jours, sur la composition d'une Trousse de soins Topic Travail sur Fiche « Préparer son sac d’urgence »
Bien prendre en compte, dans le lien ci-dessous :
http://www.romandie.com/news/n/_Medicaments_en_rupture_de_stock_un_phenomene_inquietant_en_hausse27200320131211.asp
La résilience c'est aussi gérer un stock de médicaments (traitement quotidien et urgence)
Cf à ce propos les échanges, de ces derniers jours, sur la composition d'une Trousse de soins Topic Travail sur Fiche « Préparer son sac d’urgence »
Bien prendre en compte, dans le lien ci-dessous :
- Chaque jour, 5% des médicaments commandés par les pharmaciens de ville
sont en rupture de stock, avec la moitié des interruptions dépassant les
4 jours. - Il peut s'agir d'une difficulté d'approvisionnement en matières
premières pharmaceutiques, d'autant plus difficile à compenser que 60 à
80% des principes actifs sont aujourd'hui fabriqués hors d'Europe,
principalement en Inde et en Chine, contre 20% il y a trente ans.
http://www.romandie.com/news/n/_Medicaments_en_rupture_de_stock_un_phenomene_inquietant_en_hausse27200320131211.asp
albertspetz- Membre Premium
- Nombre de messages : 1883
Localisation : Sud Est
Date d'inscription : 14/06/2012
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
un grand nombre de maladie peuvent être soignées par la phytothérapie. d'ailleurs 50 % de médicament de la pharmacopée occidentale sont à base de plantes.
Le problème c'est que peu de médecins sont formés à ça....et pas vraiment beaucoup de pharmaciens non plus, qui ne font finalement maintenant plus que de la revente suite a des "conseils" des gros labos... et la phytothérapie s'accommode mal de l'automédication.
Le problème c'est que peu de médecins sont formés à ça....et pas vraiment beaucoup de pharmaciens non plus, qui ne font finalement maintenant plus que de la revente suite a des "conseils" des gros labos... et la phytothérapie s'accommode mal de l'automédication.
________________________________________________________
Site...clic. clic - Page Fb clic...
Aide à l'identification des plantes et autres infos végetales clic...
Pour commander mon Guide Pratique des plantes sauvages comestibles
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Salut,
Merci pour l'article ,à mettre en relation avec :
- http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/03/18/20078-plusieurs-medicaments-risquent-rupture-stocks
- http://www.francesoir.fr/actualite/societe/medicaments-alerte-penurie-136602.html
Quelques remarques,
Cette pénurie touche surtout les produits à visée hospitalière et les vaccins.
Ces ruptures de stock sont de différentes natures,pour l’hôpital il s'agit souvent d’arrêt de fabrication par manque de matière première ou bien par manque de rentabilité .
Je cite:
Pour les vaccins,c'est une autre paire de manches ,ils sont fabriqués pour la plupart aux USA ,France (Merck/Sanofi) et en Belgique (GSK) ,les cas de "manque fabriquant" s’expliquent soit par une production qui n'arrive pas à suivre ( production sur un site pour toute l'Europe,cas de pandémie ) ou des lots qui sont ne sont pas conformes or dans ce cas là ,la production ne se fait pas sur un claquement de doigt...
Sinon pour les spécialités habituellement délivrées en officine de ville,il y a d'autres paramètres et interactions à intégrer.
- La guerre commerciale entre les labos et les grossistes ( quotas par spécialité,mise en place de ventes directes par les laboratoires...)
- La concurrence entre grossistes ( contrats d'exclusivité avec pharmaciens,...)
- Vente à flux tendu par les pharmaciens ( possibilité d’être réapprovisionner une à deux fois par jour pour les officines de ville,droit de substitution ...)
La situation n'est pas simple ,ce qui m’inquiète plus au delà des ruptures c'est la "délocalisation massive de la production (et du savoir faire) des matières premières pharmaceutiques.
Car comme il est mentionné dans ces différents articles,le médicament devient un produit lambda avec tout ce que cela peut impliquer.
Merci pour l'article ,à mettre en relation avec :
- http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/03/18/20078-plusieurs-medicaments-risquent-rupture-stocks
- http://www.francesoir.fr/actualite/societe/medicaments-alerte-penurie-136602.html
Quelques remarques,
Cette pénurie touche surtout les produits à visée hospitalière et les vaccins.
Ces ruptures de stock sont de différentes natures,pour l’hôpital il s'agit souvent d’arrêt de fabrication par manque de matière première ou bien par manque de rentabilité .
Je cite:
Car à vouloir en permanence restreindre les bénéfices des industriels du médicament, on a oublié l'un des fondamentaux du marché: il faut qu'un produit soit rentable pour être viable. L'État a bien tenté de résoudre le problème par voie législative en 2009, mais la disposition prévue dans la loi de financement de la Sécurité sociale s'était fait retoquer par le Conseil constitutionnel. Impossible d'obliger un fabricant à produire ce qu'il ne veut plus faire.
Pour les vaccins,c'est une autre paire de manches ,ils sont fabriqués pour la plupart aux USA ,France (Merck/Sanofi) et en Belgique (GSK) ,les cas de "manque fabriquant" s’expliquent soit par une production qui n'arrive pas à suivre ( production sur un site pour toute l'Europe,cas de pandémie ) ou des lots qui sont ne sont pas conformes or dans ce cas là ,la production ne se fait pas sur un claquement de doigt...
Sinon pour les spécialités habituellement délivrées en officine de ville,il y a d'autres paramètres et interactions à intégrer.
- La guerre commerciale entre les labos et les grossistes ( quotas par spécialité,mise en place de ventes directes par les laboratoires...)
- La concurrence entre grossistes ( contrats d'exclusivité avec pharmaciens,...)
- Vente à flux tendu par les pharmaciens ( possibilité d’être réapprovisionner une à deux fois par jour pour les officines de ville,droit de substitution ...)
La situation n'est pas simple ,ce qui m’inquiète plus au delà des ruptures c'est la "délocalisation massive de la production (et du savoir faire) des matières premières pharmaceutiques.
Car comme il est mentionné dans ces différents articles,le médicament devient un produit lambda avec tout ce que cela peut impliquer.
La semaine dernière, Le Quotidien du médecinrévélait qu'en 2012, 41% des inspections réalisées sur des sites de fabrication hors Europe par les inspecteurs de la Direction européenne de la qualité du médicament s'étaient avérées non conformes. C'était le cas de 34 % des sites en 2009. Sans oublier que les sites inspectés sont volontaires, donc engagés dans une évidente démarche qualité. Mais que penser de la multiplication d'acteurs moins scrupuleux? Il existe en Chine plus de 5000 sites, sans compter les sous-traitants. «Les médicaments ne sont pas une simple marchandise», disait un ancien directeur général de l'OMS.
________________________________________________________
"Le problème avec ce monde est que les personnes intelligentes sont pleines de doutes tandis que les personnes stupides sont pleines de confiance."
"Quand on se fait vieux, on se réveille chaque matin avec l'impression que le chauffage ne marche pas."
C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose.
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
hildegarde a écrit:
Le problème c'est que peu de médecins sont formés à ça....et pas vraiment beaucoup de pharmaciens non plus,
Je confirme...
qui ne font finalement maintenant plus que de la revente suite a des "conseils" des gros labos...
Nan,nan,pas d'accord ,les labos font du business ,ben oui fallait pas leur laisser les coudées franches sur la recherche,la fabrication et la commercialisation ...
Mes pharmaciens sont aussi dans le business,marges et rentabilité sont des mots qui font partie intégrante de leur métier.
Aujourd'hui un pharmacien qui n'est pas avant tout un bon gestionnaire plie boutique (voir le nombre de pharmacies qui ferment et voit aussi les groupements d'achats ainsi que le concept 'Lafayette" pratiqué par un nombre de plus en plus important de pharmaciens..)
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Catharing a écrit:qui ne font finalement maintenant plus que de la revente suite a des "conseils" des gros labos...
Nan,nan,pas d'accord ,les labos font du business ,ben oui fallait pas leur laisser les coudées franches sur la recherche,la fabrication et la commercialisation ...
Mes pharmaciens sont aussi dans le business,marges et rentabilité sont des mots qui font partie intégrante de leur métier.
Aujourd'hui un pharmacien qui n'est pas avant tout un bon gestionnaire plie boutique (voir le nombre de pharmacies qui ferment et voit aussi les groupements d'achats ainsi que le concept 'Lafayette" pratiqué par un nombre de plus en plus important de pharmaciens..)
ben c'est bien ce que je dis...fini les prepa magistrale, les petits onguents sur ordonnance et tutti quanti, ce sont des COMMERCANTS AVANT TOUT.
________________________________________________________
Site...clic. clic - Page Fb clic...
Aide à l'identification des plantes et autres infos végetales clic...
Pour commander mon Guide Pratique des plantes sauvages comestibles
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
hildegarde a écrit:
ben c'est bien ce que je dis...fini les prepa magistrale, les petits onguents sur ordonnance et tutti quanti, ce sont des COMMERCANTS AVANT TOUT.
...Oui et ils n'ont pas attendu les labos.....
https://www.le-projet-olduvai.com/t6999-medicaments-en-rupture-de-stock-un-phenomene-inquietant-en-ha
Pour certains médicaments, c'est un phénomène qui n'est pas nouveau mais aussi pour lequel on en cherche pas de solution.
Exemple : la Dépakine, traitement contre l'épilepsie.
C'est un fait connu que le médicament générique n'a pas l'effet voulu...
Or la Dépakine est fabriqué par un labo qui préfère vendre ailleurs qu'en France parce que cela lui rapporte plus de vendre ailleurs (je crois me rappeler qu'il y a deux ans e le bénéfice était de x2 pour une ventre en Allemagne par rapport à la France).
Résultat les pharmacies françaises sont souvent en rupture, il faut commander à l'avance or comme il faut une ordonnance et que les prescriptions sont datées...
Donc si le phénomène prend de l'ampleur, il ne faut pas compter sur le bon sens des personnes "responsables" pour y remédier.
Exemple : la Dépakine, traitement contre l'épilepsie.
C'est un fait connu que le médicament générique n'a pas l'effet voulu...
Or la Dépakine est fabriqué par un labo qui préfère vendre ailleurs qu'en France parce que cela lui rapporte plus de vendre ailleurs (je crois me rappeler qu'il y a deux ans e le bénéfice était de x2 pour une ventre en Allemagne par rapport à la France).
Résultat les pharmacies françaises sont souvent en rupture, il faut commander à l'avance or comme il faut une ordonnance et que les prescriptions sont datées...
Donc si le phénomène prend de l'ampleur, il ne faut pas compter sur le bon sens des personnes "responsables" pour y remédier.
Griffon- Membre Premium
- Nombre de messages : 491
Date d'inscription : 09/04/2012
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
la majorité des médocs consommés sont soient des placebos, soit ils rendent un service inférieur à leurs inconvénients (effets secondaires, incompatibilités, etc). Ce qui rend bien moins inquiétante une éventuelle pénurie
grosminet- Membre Premium
- Nombre de messages : 2305
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Salut !
@Hilde : en n'oubliant pas la disparition de l'alcool à 90° non modifié des pharmacies....exit donc les préparations à base de macération....à moins de passer par les chartreuses
@Hilde : en n'oubliant pas la disparition de l'alcool à 90° non modifié des pharmacies....exit donc les préparations à base de macération....à moins de passer par les chartreuses
Attention, dans ce fil on parle des hôpitaux qui tirent la sonnette d'alarme, et des pharmacies qui sont en pénurie entre autres de :grosminet a écrit:la majorité des médocs consommés sont soient des placebos, soit ils rendent un service inférieur à leurs inconvénients (effets secondaires, incompatibilités, etc). Ce qui rend bien moins inquiétante une éventuelle pénurie
Le simple cas de l'insuline est problématique.anticancéreux, hypnotiques, antidiabétiques, antihypertenseurs [...] antirétroviraux [...] pilules contraceptives…
________________________________________________________
L'expérience est une lumière qui n'éclaire que ceux qu'elle a déjà brûlés. Cédric Dassas
Récapitulatif des projets électroniques - [Chroniques du Bunker de L'Apocalypse] - Projet Geiger - Culture ethnobotanique en France - 甩葱歌 - 古箏 - Distant Pulsar - Un Mauvais Fils - 25 Years of Zelda - Machinarium
tarsonis- Administrateur
- Nombre de messages : 10770
Age : 38
Localisation : Grand Est
Loisirs : Trek, ethnobotanique, électronique DIY, nucléaire, médecine, post apo.
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
grosminet a écrit:la majorité des médocs consommés sont soient des placebos, soit ils rendent un service inférieur à leurs inconvénients (effets secondaires, incompatibilités, etc). Ce qui rend bien moins inquiétante une éventuelle pénurie
si c'est inquiétant, car actuellement la majorité des gens sont soignés ainsi, et peu de professionnels sauraient faire sans...
tarsonis a écrit:
anticancéreux, hypnotiques, antidiabétiques, antihypertenseurs [...] antirétroviraux [...] pilules contraceptives…
sûr que dans le contexte de pratique du soin actuel, sans ce type de médocs, les médecins sont totalement démunis. Alors qu'il serait si simple de bosser en aval, sur la prévention, la diétetique...
rhalala, ...si au moins ils faisaient plus de recherches sur les plantes justement pour ces pathologies...
ça fait des années qu'on parle du nostoc comme anticancereux prometteur...mais rien de concret au final...et il y en a d'autres..
et combien de plantes hypoglycémiantes et/ou regulatrices de la sécrétion d'insuline...comme l'ortie, le saule, etc...qui pourrait être utilisées à bonne fin par les diabétiques.
sans parler de l'aubépine et d'autres.. antihypertensives..
et le gremil ?? en lieu et place de la pillule !
________________________________________________________
Site...clic. clic - Page Fb clic...
Aide à l'identification des plantes et autres infos végetales clic...
Pour commander mon Guide Pratique des plantes sauvages comestibles
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Salut,
Ce phénomène de rupture de médocs n'est pas nouveau,déjà relaté dans cet article datant de 2011.
http://www.docbuzz.fr/2011/09/09/123-les-ruptures-de-stock-de-medicaments-ne-font-que-debuter-un-resultat-previsible-de-la-politique-du-medicament/
Sur le rôle des "short liners"
La suite de l'article donne une explication rationnelle et pessimiste et ouvre le débat..
“Il y a une rupture de stock. Je pense remplacer vos médicaments par 8 calins par jours avant et après les repas.”
Ce phénomène de rupture de médocs n'est pas nouveau,déjà relaté dans cet article datant de 2011.
http://www.docbuzz.fr/2011/09/09/123-les-ruptures-de-stock-de-medicaments-ne-font-que-debuter-un-resultat-previsible-de-la-politique-du-medicament/
L’Europe est elle aussi dorénavant affectée par le problème des ruptures de stock de médicaments.Le 18 aout 2011, La Société française d’anesthésie et de réanimation s’inquiétait,[... ] des ruptures de stock régulière et de l’arrêt de fabrication de médicaments essentiels pour la prise en charge des patients. Ces ruptures de stock, “récurrentes depuis plusieurs années“, “pénuries temporaires ou de la décision des laboratoires de cesser la fabrication“,impliquent des produits utilisés pour réaliser des anesthésies locales,obstétricales ou générales ainsi que des antalgiques utilisés en soins d’urgence, précisait le courrier.
Comme aux Etats-Unis, ces ruptures de stock concernent d’anciens médicaments qui sont “sûrs, aux effets documentés et au rapport bénéfice/risque éprouvé et qui ont pour point commun d’avoir un coût très faible et d’être produits par des fabricants de génériques“. La société Française d’anesthésie prend l’exemple du thiopental (Pentothal), utilisé depuis 1936 en anesthésie et en neurologie qui “a cessé d’être commercialisé par le laboratoire américain qui approvisionnait les établissements hospitaliers français alors qu’aucun autre produit ne permet, dans les indications du thiopental, d’assurer une sécurité équivalente au patient”.
La société savante précise que d’autres médicaments sont menacés de ruptures de stock, donnant deux exemples. Astra Zeneca cesse la production de la lidocaïne adrénalinée, la Xylocaïne, un anesthésique rapide extrêmement utilisé, mais dont le prix a été tellement abaissé par les autorités de santé, qu’il générait moins de 2 millions d’euros de chiffre d’affaire annuel en France. Il n’y a personne pour en reprendre la production et aucun équivalent sur le marché à ce jour
Sur le rôle des "short liners"
Mais ces ruptures de stocks ne touchent pas que les génériques, là aussi du fait d’une loi particulière qui autorise les « importations
parallèles » au sein de l’Union Européenne. Le principe est simple. Si un médicament coûte 60 euros en Espagne et 40 euros en
France, un intermédiaire appelé short liner, achètera un stock en France qu’il revendra à son bénéfice en Espagne avec un gain conséquent. Le
seul problème est que le stock manquera en France et créera une pénurie[.......]
La suite de l'article donne une explication rationnelle et pessimiste et ouvre le débat..
Car si pour l’Afssaps,”Les difficultés d’approvisionnement transitoires ou définitives en médicaments indispensables sont
principalement liées à des difficultés de production, à des arrêts de commercialisation décidés par les firmes dans un but stratégique, à des
exportations parallèles ou non au sein de l’Europe et à des aléas de stockage, distribution, transport” (AFSSAPS 19/08/2011), c’est bien la politique de santé low cost basé sur des prix toujours plus bas et une prédominance des génériques, qui est à la source des problèmes rencontrés aujourd’hui par les médecins pour soigner et par les patients pour se faire soigner, comme l’analysait justement la société française d’anesthésie.
“Il y a une rupture de stock. Je pense remplacer vos médicaments par 8 calins par jours avant et après les repas.”
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
je pense qu'on est sur deux niveaux la le mode ma vie avec les médicament aujourd'hui et ma vie avec les médicaments en mode survivaliste.
pour ma vie aujourd'hui :c'est une pénurie plus ou moin organisée, qui est inacceptable dans notre monde moderne, car seule l'argent gère la distribution des traitements et pas le bénéfice a la populations. Imaginé certaine populations n'ont pas accès aux traitements par manque d'argents (afrique asie amérique du sud) et d'autre ont l'argent mais plus le produit car il ne génère pas de bénéfice ou pas asssez :c'est révoltant. et donc ca se passe au niveau de l'engagement citoyens.
en mode survie seule les traitement cours termes ont de la valeur (antibio antiseptique anti douleur) le reste on parle de traitement a vie ou a long terme. donc cela implique stockage énorme donc absolument pas imaginable.et puis sans connaissance pratique l'usage de médoc c'est du délire.
c'est assez rude comme idée mais c'est réaliste.
pour ma vie aujourd'hui :c'est une pénurie plus ou moin organisée, qui est inacceptable dans notre monde moderne, car seule l'argent gère la distribution des traitements et pas le bénéfice a la populations. Imaginé certaine populations n'ont pas accès aux traitements par manque d'argents (afrique asie amérique du sud) et d'autre ont l'argent mais plus le produit car il ne génère pas de bénéfice ou pas asssez :c'est révoltant. et donc ca se passe au niveau de l'engagement citoyens.
en mode survie seule les traitement cours termes ont de la valeur (antibio antiseptique anti douleur) le reste on parle de traitement a vie ou a long terme. donc cela implique stockage énorme donc absolument pas imaginable.et puis sans connaissance pratique l'usage de médoc c'est du délire.
c'est assez rude comme idée mais c'est réaliste.
LEROUX- Membre Premium
- Nombre de messages : 195
Localisation : A L'OUEST
Emploi : IDE
Date d'inscription : 23/11/2009
Re: Médicaments en rupture de stock: un phénomène inquiétant en hausse
Bonjour,
Je me demande si il n'est pas utile parfois de trouver des solutions de backup pour les médicaments préconisés... si possibilité... au sujet de la dépakine.... il faudrai demander si dilantin est équivalent.
le principe actif de la depakine étant "ancien", peut être se tourner vers des molècules ou préparation de molècule plus récente.
Mais le post permets de prendre conscience que les labos peuvent parfois prendre en otage....
bonne journée
RS
Je me demande si il n'est pas utile parfois de trouver des solutions de backup pour les médicaments préconisés... si possibilité... au sujet de la dépakine.... il faudrai demander si dilantin est équivalent.
le principe actif de la depakine étant "ancien", peut être se tourner vers des molècules ou préparation de molècule plus récente.
Mais le post permets de prendre conscience que les labos peuvent parfois prendre en otage....
bonne journée
RS
________________________________________________________
the quieter you become, the more you are able to hear...
Rsurvival- Membre
- Nombre de messages : 7
Localisation : Brx
Emploi : mil
Loisirs : sport, electronique, informatique
Date d'inscription : 14/03/2013
https://www.le-projet-olduvai.com/t6999-medicaments-en-rupture-de-stock-un-phenomene-inquietant-en-ha
J'ai des doutes mais cela vaut le coup de se renseigner mais cela rajoute beaucoup de contraintes :
- administration par voie intraveineuse exclusivement
donc pour un traitement quotidien cela ajoute un savoir-faire technique et du matériel médical en stock suffisant
- il y a une vitesse d'administration à respecter en mg/kg/min
Je précise aussi que pour la Dépakine, le générique ne remplace pas le médicament d'origine (phénomène connu et reconnu, qui s'applique à quelques rares médicaments et certainement pas aux médicaments génériques de manière générale)
Je m'orienterais plus volontiers vers un mélange d'herbes médicinales même si les effets sont moins fort. Est-ce que cela existe ?
- administration par voie intraveineuse exclusivement
donc pour un traitement quotidien cela ajoute un savoir-faire technique et du matériel médical en stock suffisant
- il y a une vitesse d'administration à respecter en mg/kg/min
Je précise aussi que pour la Dépakine, le générique ne remplace pas le médicament d'origine (phénomène connu et reconnu, qui s'applique à quelques rares médicaments et certainement pas aux médicaments génériques de manière générale)
Je m'orienterais plus volontiers vers un mélange d'herbes médicinales même si les effets sont moins fort. Est-ce que cela existe ?
Griffon- Membre Premium
- Nombre de messages : 491
Date d'inscription : 09/04/2012
Sujets similaires
» [Stock] Reflexion sur le stock minimum dans un Abri anti atomique !
» Attaque informatique massive
» [Stock] Alimentation Kcal, matières grasses & stock
» Le phénomène des milices, des groupes de défense et de la justice expéditive
» [Stock] Début de stock : contenus et contenants ...
» Attaque informatique massive
» [Stock] Alimentation Kcal, matières grasses & stock
» Le phénomène des milices, des groupes de défense et de la justice expéditive
» [Stock] Début de stock : contenus et contenants ...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum