Dystopie sexuelle et métavers porno
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Résilient a écrit:
Oui, notamment, avec aussi la volonté politique d'avoir 80% d'une classe d'âge titulaire du baccalauréat.
J'avais mon BTS en poche depuis un moment mais en 2008 le ministère de l'educnat' ou supérieur(je ne sais plus) avait fait passer une circulaire affichant un objectif de 80% de BAC+2, à la fin de mon contrat de travail je suis directement allé à l'université pour préserver mon "avantage concurrentiel".
Le nouveau BACpro en 3 ans est une catastrophe.
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Le matin du grand soir il y aura de la confiture de bisounours au petit déjeuner.
Nous avons deux souverains, Dame Physique et Sire Temps.
Nul ne réveille celui qui feint le sommeil.
merlin06- Membre Premium
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Mes grands parents appartenaient à l'élite ouvrière à la limite du métier d'art, pas des gens si moyens que ça. Je n'ai donc pas d'élément pour comparer le niveau moyen mais je me souviens d'avoir lu que le taux de réussite au certificat d'étude était inférieur à 50 %KrAvEn a écrit:
N'empêche que quand tu regardes les cahiers de nos parents et grands parents, même s'ils avaient stoppé au certificat d'étude et bien tu constates un tout autre niveau d'écriture et d'orthographe.
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Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
quelle plaisir de voir une discussion sur les rapports hommes femmes qui remet en cause toutes les foutaises que l'on a ancré dans l'inconscient collectif
voici un article de je ne sais plus ou qui rapporte la vison de paola tabet que je trouve franchement lucide et réaliste
"Beaucoup de femmes trouvent normal qu'un inconnu leur offre un verre pour «rompre la glace». D'autres estiment que si un homme veut sortir avec elles, il doit offrir le restaurant. Pour elles, c'est le «minimum de la galanterie». A l'homme de raquer. Est-ce juste ?
Dans les années 1980, une anthropologue, Paola Tabet, remet complètement en cause la distinction habituelle entre sexualité vénale et sexualité sentimentale. Dans le spectre large qu'elle nomme «l'échange économico-sexuel» et qui va de la passe au mariage, il devient difficile de séparer, aussi nettement qu'avant, les femmes que l'on paye (pour une fellation de 10 minutes) et celles que l'on épouse («jusqu'à ce que la mort nous sépare»). Chaque fois qu'un homme aborde une inconnue, – que cela soit sur un trottoir, dans un bar, sur Internet ou à la sortie de la messe –, si l'homme a des vues sur elle, il empruntera le chemin détourné de la négociation.
Pour Paola Tabet, l'accès à la sexualité fait TOUJOURS l'objet d'une transaction qui implique l'argent à un niveau ou à un autre. «Dans un contexte général de domination des hommes sur les femmes, les rapports entre les sexes ne constituent pas un échange réciproque de sexualité», dit-elle. C'est-à-dire que les femmes sont éduquées à demander non pas du plaisir quand elles en donnent, mais autre chose : une protection, un foyer… Il est extrêmement mal vu qu'une femme se mette en quête d'un mâle juste pour avoir sa dose de plaisir sexuel.
Historiquement, c'est une question de survie, explique Paola Tabet. Dans les sociétés qui interdisent aux femmes l'accès au travail, à l'autonomie financière ou au patrimoine, les femmes n'ont pas d'autre choix que de monnayer la seule et unique ressource qui leur reste : leur corps. Dans les sociétés marquées par «la division sexuelle du travail et l'accès différencié des hommes et des femmes aux ressources», où le monopole des richesses revient aux hommes, les femmes sont réduites littéralement aux dernières extrémités : elles utilisent la sexualité comme monnaie d'échange – parce que c'est la seule chose dont elles puissent effectivement disposer. «Dès lors les relations sexuelles prennent un relief tout asymétrique, devenant à la fois symbole et verrou de l'inégalité des sexes» (1).
On pourrait penser que notre société, plus «égalitaire», réserverait un sort meilleur aux femmes. N’ont-elles pas le droit de disposer d’un compte en banque, d’hériter des biens familiaux et d’effectuer tous les métiers qu’elles veulent ? Hélas. Les mentalités n’ont guère bougé. Pour la plupart des gens, le sexe-pour-le-sexe, ce n’est pas très «féminin».
Les jeunes filles sont élevées dans l'idée qu'elles doivent être «sérieuses», ce qu'il faut traduire : «Ne joue pas avec le sexe. Ne t'amuse pas». Seuls les hommes ont le droit de prendre du bon temps. Les femmes, elles, sont tenues de «s'investir» (le terme est loin d'être innocent). On attend d'elles une implication affective, c'est-à-dire la mise en œuvre opérationnelle d'un projet conjugal. Il faut qu'elles trouvent le type fiable avec qui construire le couple. Elles n'ont pas droit aux «plans cul», mais seulement aux «business plans». Et pour cela tous les moyens sont bons : «se mettre en valeur avec le décolleté ouvert» puis faire mine de n'avoir pas envie, prendre l'air distraite ou distante («les hommes raffolent des femmes difficiles, un challenge dont ils sont fiers»), se refuser le premier soir, n'accorder qu'un baiser le deuxième, lancer des promesses allusives («mordre timidement sa lèvre charnue, montrer furtivement une aisselle sexy»), faire durer l'attente («lui dire non: l'homme est subjugué par la femme qui a du tempérament !»)
Toutes ces techniques dont les magazines pour ados et les sites de coaching amoureux ne cessent de vanter les vertus ont quelque chose d'odieux. Car de quoi s'agit-il au fond si ce n'est de nier ses propres envies (2) pour faire monter toujours plus haut les enchères ? Aux jeunes filles, on apprend que leur corps représente un capital. A elles de le faire fructifier. Aux femmes adultes, on répète qu'elles ne valent rien si un homme n'est pas prêt à payer pour elles : «Que serions-nous enfin, sans cet empressement de l'homme à nous satisfaire, à nous offrir le petit (ou le gros) cadeau ?».
Malgré les acquis obtenus depuis les années 60, malgré la pilule, les injonctions sociales sont donc toujours les mêmes : il faut que la sexualité de la femme reste monnayable. On ne dit pas aux adolescentes : «Explore ton corps, exprime tes envies, trouve-toi de bons amants.» On leur dit : «Ne sois pas facile. Si tu te donnes trop vite, aucun homme ne voudra de toi». Ce faisant, on leur met dans la tête qu'elles seraient des putes si elles faisaient comme les garçons. Mais au fond, quelle fille est la plus pute ? Celle qui veut juste se taper un bon coup ? Ou celle qui exige, – pour «coucher» –, qu'on lui offre fleurs, dîners, sorties, voyages et mariage de standing ?
Et puis surtout : à qui profite ce petit jeu de marchandage sexuel ? Qui est gagnant dans l'affaire ? L'homme forcé de payer pour un peu «d'amour» ? Ou la femme qui doit «faire jouer ses atouts» pour obtenir un statut social ou une promotion ? Paola Tabet, incisive, dénonce le marché de dupe. C'est la femme qui se fait flouer, dit-elle. Quand elle croit être gagnante, en réalité, elle se fait arnaquer. Les thèses de Paola Tabet ont d'ailleurs été réunies en 2004 sous le titre «La grande arnaque».
La grande arnaque, dit Paola, c'est qu'au lieu d'avoir du plaisir en échange de plaisir, la femme obtient une rétribution en échange d'un travail : la voilà «prestataire de services». «L'échange est inégal», souligne Paola, car la femme devient une subalterne sur le plan sexuel. Elle doit fournir de bonnes performances au lit. L'homme offre une compensation, en «généreux donateur» (3). Elle doit remercier. S'il ne l'a pas fait jouir, impossible pour elle de se plaindre. On ne peut pas tout avoir dans la vie. Il faut choisir : le beurre et l'argent du beurre ? De toute manière, cela tombe très bien : dans notre société, les jeunes filles sont éduquées à nier leurs désirs. On les maintient dans la méconnaissance de leur corps et de leur sexualité. Elles n'ont jamais appris à demander du plaisir. Elles ont appris à croire – ou faire croire – qu'elles voulaient juste «une épaule d'homme sincère». Des diamants et des câlins, c'est tout ce dont une femme a besoin n'est-ce pas… Voilà comment on «exproprie les femmes de leur corps», conclut Paola Tabet. En les encourageant à «ne se donner qu'au plus offrant». Alors qu'elles devraient choisir le meilleur baiseur, celui dont le cerveau fécond, plein d'étincelles magiques…
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voici un article de je ne sais plus ou qui rapporte la vison de paola tabet que je trouve franchement lucide et réaliste
"Beaucoup de femmes trouvent normal qu'un inconnu leur offre un verre pour «rompre la glace». D'autres estiment que si un homme veut sortir avec elles, il doit offrir le restaurant. Pour elles, c'est le «minimum de la galanterie». A l'homme de raquer. Est-ce juste ?
Dans les années 1980, une anthropologue, Paola Tabet, remet complètement en cause la distinction habituelle entre sexualité vénale et sexualité sentimentale. Dans le spectre large qu'elle nomme «l'échange économico-sexuel» et qui va de la passe au mariage, il devient difficile de séparer, aussi nettement qu'avant, les femmes que l'on paye (pour une fellation de 10 minutes) et celles que l'on épouse («jusqu'à ce que la mort nous sépare»). Chaque fois qu'un homme aborde une inconnue, – que cela soit sur un trottoir, dans un bar, sur Internet ou à la sortie de la messe –, si l'homme a des vues sur elle, il empruntera le chemin détourné de la négociation.
Pour Paola Tabet, l'accès à la sexualité fait TOUJOURS l'objet d'une transaction qui implique l'argent à un niveau ou à un autre. «Dans un contexte général de domination des hommes sur les femmes, les rapports entre les sexes ne constituent pas un échange réciproque de sexualité», dit-elle. C'est-à-dire que les femmes sont éduquées à demander non pas du plaisir quand elles en donnent, mais autre chose : une protection, un foyer… Il est extrêmement mal vu qu'une femme se mette en quête d'un mâle juste pour avoir sa dose de plaisir sexuel.
Historiquement, c'est une question de survie, explique Paola Tabet. Dans les sociétés qui interdisent aux femmes l'accès au travail, à l'autonomie financière ou au patrimoine, les femmes n'ont pas d'autre choix que de monnayer la seule et unique ressource qui leur reste : leur corps. Dans les sociétés marquées par «la division sexuelle du travail et l'accès différencié des hommes et des femmes aux ressources», où le monopole des richesses revient aux hommes, les femmes sont réduites littéralement aux dernières extrémités : elles utilisent la sexualité comme monnaie d'échange – parce que c'est la seule chose dont elles puissent effectivement disposer. «Dès lors les relations sexuelles prennent un relief tout asymétrique, devenant à la fois symbole et verrou de l'inégalité des sexes» (1).
On pourrait penser que notre société, plus «égalitaire», réserverait un sort meilleur aux femmes. N’ont-elles pas le droit de disposer d’un compte en banque, d’hériter des biens familiaux et d’effectuer tous les métiers qu’elles veulent ? Hélas. Les mentalités n’ont guère bougé. Pour la plupart des gens, le sexe-pour-le-sexe, ce n’est pas très «féminin».
Les jeunes filles sont élevées dans l'idée qu'elles doivent être «sérieuses», ce qu'il faut traduire : «Ne joue pas avec le sexe. Ne t'amuse pas». Seuls les hommes ont le droit de prendre du bon temps. Les femmes, elles, sont tenues de «s'investir» (le terme est loin d'être innocent). On attend d'elles une implication affective, c'est-à-dire la mise en œuvre opérationnelle d'un projet conjugal. Il faut qu'elles trouvent le type fiable avec qui construire le couple. Elles n'ont pas droit aux «plans cul», mais seulement aux «business plans». Et pour cela tous les moyens sont bons : «se mettre en valeur avec le décolleté ouvert» puis faire mine de n'avoir pas envie, prendre l'air distraite ou distante («les hommes raffolent des femmes difficiles, un challenge dont ils sont fiers»), se refuser le premier soir, n'accorder qu'un baiser le deuxième, lancer des promesses allusives («mordre timidement sa lèvre charnue, montrer furtivement une aisselle sexy»), faire durer l'attente («lui dire non: l'homme est subjugué par la femme qui a du tempérament !»)
Toutes ces techniques dont les magazines pour ados et les sites de coaching amoureux ne cessent de vanter les vertus ont quelque chose d'odieux. Car de quoi s'agit-il au fond si ce n'est de nier ses propres envies (2) pour faire monter toujours plus haut les enchères ? Aux jeunes filles, on apprend que leur corps représente un capital. A elles de le faire fructifier. Aux femmes adultes, on répète qu'elles ne valent rien si un homme n'est pas prêt à payer pour elles : «Que serions-nous enfin, sans cet empressement de l'homme à nous satisfaire, à nous offrir le petit (ou le gros) cadeau ?».
Malgré les acquis obtenus depuis les années 60, malgré la pilule, les injonctions sociales sont donc toujours les mêmes : il faut que la sexualité de la femme reste monnayable. On ne dit pas aux adolescentes : «Explore ton corps, exprime tes envies, trouve-toi de bons amants.» On leur dit : «Ne sois pas facile. Si tu te donnes trop vite, aucun homme ne voudra de toi». Ce faisant, on leur met dans la tête qu'elles seraient des putes si elles faisaient comme les garçons. Mais au fond, quelle fille est la plus pute ? Celle qui veut juste se taper un bon coup ? Ou celle qui exige, – pour «coucher» –, qu'on lui offre fleurs, dîners, sorties, voyages et mariage de standing ?
Et puis surtout : à qui profite ce petit jeu de marchandage sexuel ? Qui est gagnant dans l'affaire ? L'homme forcé de payer pour un peu «d'amour» ? Ou la femme qui doit «faire jouer ses atouts» pour obtenir un statut social ou une promotion ? Paola Tabet, incisive, dénonce le marché de dupe. C'est la femme qui se fait flouer, dit-elle. Quand elle croit être gagnante, en réalité, elle se fait arnaquer. Les thèses de Paola Tabet ont d'ailleurs été réunies en 2004 sous le titre «La grande arnaque».
La grande arnaque, dit Paola, c'est qu'au lieu d'avoir du plaisir en échange de plaisir, la femme obtient une rétribution en échange d'un travail : la voilà «prestataire de services». «L'échange est inégal», souligne Paola, car la femme devient une subalterne sur le plan sexuel. Elle doit fournir de bonnes performances au lit. L'homme offre une compensation, en «généreux donateur» (3). Elle doit remercier. S'il ne l'a pas fait jouir, impossible pour elle de se plaindre. On ne peut pas tout avoir dans la vie. Il faut choisir : le beurre et l'argent du beurre ? De toute manière, cela tombe très bien : dans notre société, les jeunes filles sont éduquées à nier leurs désirs. On les maintient dans la méconnaissance de leur corps et de leur sexualité. Elles n'ont jamais appris à demander du plaisir. Elles ont appris à croire – ou faire croire – qu'elles voulaient juste «une épaule d'homme sincère». Des diamants et des câlins, c'est tout ce dont une femme a besoin n'est-ce pas… Voilà comment on «exproprie les femmes de leur corps», conclut Paola Tabet. En les encourageant à «ne se donner qu'au plus offrant». Alors qu'elles devraient choisir le meilleur baiseur, celui dont le cerveau fécond, plein d'étincelles magiques…
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mathieu frank- Membre
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
La malédiction de la femme c'est son sexe appel naturel (hyper-stimuli lié à ses formes) ; la malédiction de l'homme c'est de devoir devenir un homme (prouver des choses à ses pairs et aux femmes).mathieu frank a écrit:"Beaucoup de femmes trouvent normal qu'un inconnu leur offre un verre pour «rompre la glace». D'autres estiment que si un homme veut sortir avec elles, il doit offrir le restaurant. Pour elles, c'est le «minimum de la galanterie». A l'homme de raquer. Est-ce juste ?
La femme prend plus de risques que l'homme lors de la relation (risque de tomber enceinte et, dans ce cas, de ne pouvoir retomber enceinte avant plusieurs mois ; risque de mourir en couche, etc) ; elle est donc plus réservée quant au choix de ses partenaires et de leur nombre.
L'homme (plus fort physiquement, non "handicapé" par les effets d'une grossesse...) est plus investi dans son rôle de créateur/producteur de richesses (matérielle, etc) et, s'il doit s'engager, il recherche une femme qui lui garantira d'être le père de ses enfants.
Bon, c'est très caricatural et non valable dans toutes les sociétés ayant existé mais, génétiquement parlant, hommes et femmes n'ont pas tout à fait le même rôle.
Après, depuis l'avènement de la société de consommation, qui pare à tous nos besoins sans trop se mettre en danger, ou sans trop se fouler (bouffe prête à consommer et dispo en rayon), les codes et les habitudes ont bien changés et les hommes comme les femmes peuvent s'affranchir de certaines lois (reproductrices, etc) de la nature.
Seulement, voilà ! Les nouvelles normes, l'anonymat de la société urbaine, la facilité de rencontres via les réseaux sociaux, etc, font que l'on peut multiplier les rencontres, les partenaires sexuels et, corolaire à cela, on assiste à l'étiolement de l'engagement de la part des hommes. Autrefois, pour fidéliser une femme, il lui fallait s'engager sur le long terme ; aujourd'hui il est plus facile de trouver chaussure à son pied pour du court terme. Plus besoin, donc, de faire des efforts sur le moyen terme pour mettre une femme dans son lit. On multiplie les relations et, amha, les femmes sont les grandes perdantes de cette révolution sexuelle là. Les hommes (enfin, une partie, en occident) ne s'engagent plus parce que les femmes (une partie) sont plus facilement disponibles et sans trop d'effort.
Pour revenir au sujet cité : amha il est normal que celui qui invite raque ; que ce soit l'homme ou la femme.
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Canis Lupus aime ce message
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
pour moi a la base c'est juste que pour les hommes le sexe se suffit a lui meme et que pour les femmes c'est un moyen pas un fin
les hommes tombent "amoureux" de ce qu'ils voient et les femmes de ce qu'elles attendent
les hommes tombent "amoureux" de ce qu'ils voient et les femmes de ce qu'elles attendent
mathieu frank- Membre
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Date d'inscription : 10/12/2011
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Je rajouterai que l'homme qui paie (lors du premier rendez-vous, etc) est dans un rôle d'homme "traditionnel" (schéma culturel de l'homme près-société de conso) et, la femme qui se fait inviter, dans un rôle de femme "traditionnelle" (post ménagère au foyer typique des années 50).
Toutefois, quand la femme moderne exige de l'homme moderne d'être traitée comme l'était la femme tradi, on entre dans une forme de dissonance.
La femme moderne se veut "indépendante" (autonome, en fait) et, de ce fait, si on veut rester logique, devrait assumer ce statu en payant à moitié.
Mais les vieilles habitudes ont la vie dure.
Au delà de ces deux extrêmes (homme et femme tradi, ou modernes), la réalité des couples est plus nuancée ; le couple est plus certainement une alliance basée sur la complémentarité (et une certaine ressemblance : même culture, milieu social, etc)... voir, d'un certain côté, une coopération économique (l'argent et les ressources y jouent un certain rôle).
Toutefois, quand la femme moderne exige de l'homme moderne d'être traitée comme l'était la femme tradi, on entre dans une forme de dissonance.
La femme moderne se veut "indépendante" (autonome, en fait) et, de ce fait, si on veut rester logique, devrait assumer ce statu en payant à moitié.
Mais les vieilles habitudes ont la vie dure.
Au delà de ces deux extrêmes (homme et femme tradi, ou modernes), la réalité des couples est plus nuancée ; le couple est plus certainement une alliance basée sur la complémentarité (et une certaine ressemblance : même culture, milieu social, etc)... voir, d'un certain côté, une coopération économique (l'argent et les ressources y jouent un certain rôle).
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
C'est plus complexe, amha.mathieu frank a écrit:pour moi a la base c'est juste que pour les hommes le sexe se suffit a lui meme et que pour les femmes c'est un moyen pas un fin
les hommes tombent "amoureux" de ce qu'ils voient et les femmes de ce qu'elles attendent
Le sexe est aussi, pour les hommes, un moyen d'accéder à l'affectivité (parfois refoulée et, souvent, un moyen pour obtenir de l'affection détournée). Les hommes aussi ont besoin d'amour et de câlins.
Pour les femmes, le sexe est, parfois, un moyen pour obtenir de l'intérêt et de l'affection de la part des hommes.
Sinon, on dit que les hommes s'intéressent aux femmes et que les femmes s'intéressent aux bébés. Je ne sais pas s'il y a du vrai là dedans.
On di aussi que : "Les hommes ont peur que les femmes se moquent d'eux. Les femmes ont peur que les hommes les tuent !" Margaret Atwood.
Les hommes sont attirés par les belles et jeunes femmes, garantes d'une certaine fertilité et les femmes par les hommes qui ont prouvés leur valeur, garantes d'une protection et d'un accès aux ressources pour fonder une famille.
Mais ça c'était avant.
Aujourd'hui on recherche le bonheur, l'épanouissement perso... Et on fait, amha, trop souvent reposer la réussite, ou l'échec, de ce doux espoir/rêve sur son/sa partenaire et cela fragilise la relation sur le moyen/long terme.
Les aléas de la société d'hyper consommation, au sein de laquelle tout est consommable et jetable. D'où une augmentation de la solitude, malgré une pop hyperconnectée (déconnectée de la réalité, de ses limites, de ses impondérables...).
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Je sais, je m'auto-cite.KrAvEn a écrit:Je rajouterai que l'homme qui paie (lors du premier rendez-vous, etc) est dans un rôle d'homme "traditionnel"
Dans les faits, puisque c'est l'homme qui fait, la plupart du temps, le premier (risqué et couteux) pas, il est logique que, dans la majorité des cas, ce soit lui qui invite et, donc, qui pait.
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
"ca c'était avant "
pour moi c'est le problème de base , notre conscience s'est superposée a nos instincts , autant l'on peut faire rentrer ce que l'on veux dans la conscience , autant les instincts restent ce qu'ils sont
la reproduction et donc ce qui pousse une bonne partie des rapports hommes femmes est un instinct et un des plus puissant
l'instinct de reproduction de l'homme est satisfait pas le rapport sexuel et celui de la femmes pas la grossesse
pour avoir une grossesse il faut passer par un rapport sexuel ce que recherche l'homme , je pense que c'est clair
les mœurs ont changés mais pas nos instincts , l'homme attend la plupart du temps du sexe et la femme a besoin d'une raison pour y consentir
pour moi c'est le problème de base , notre conscience s'est superposée a nos instincts , autant l'on peut faire rentrer ce que l'on veux dans la conscience , autant les instincts restent ce qu'ils sont
la reproduction et donc ce qui pousse une bonne partie des rapports hommes femmes est un instinct et un des plus puissant
l'instinct de reproduction de l'homme est satisfait pas le rapport sexuel et celui de la femmes pas la grossesse
pour avoir une grossesse il faut passer par un rapport sexuel ce que recherche l'homme , je pense que c'est clair
les mœurs ont changés mais pas nos instincts , l'homme attend la plupart du temps du sexe et la femme a besoin d'une raison pour y consentir
mathieu frank- Membre
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Date d'inscription : 10/12/2011
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Instincts, culture, intérêts économiques (mariages arrangés, etc), valeurs, qu'en dira t-on (pressions sociales), etc , ça a toujours été et l'instinct peut être, en partie tout au moins, court-circuité par l'environnement.mathieu frank a écrit:"ca c'était avant "
pour moi c'est le problème de base , notre conscience s'est superposée a nos instincts , autant l'on peut faire rentrer ce que l'on veux dans la conscience , autant les instincts restent ce qu'ils sont
Pas certain que l'instinct de reproduction de la femme soit satisfait par une grossesse. L'homme est généralement beaucoup plus chaud pour avoir du sexe (testostérone, etc) que la femme ; la femme a besoin d'être "chauffée" (pardon pour ce terme) et, donc, de preuves d'affection, de câlins, de préliminaires... La femme, elle aussi, généralement, prend du plaisir, surtout quand elle est dans une relation affective forte. Par ailleurs, les femmes secrètent des hormones de l'attachement lors des rapports.la reproduction et donc ce qui pousse une bonne partie des rapports hommes femmes est un instinct et un des plus puissant
l'instinct de reproduction de l'homme est satisfait pas le rapport sexuel et celui de la femmes pas la grossesse
pour avoir une grossesse il faut passer par un rapport sexuel ce que recherche l'homme
Ainsi, l'homme est généralement plus entreprenant et plus demandeur et la femme demande plus d'attentions, d'affection, de préparation...
La femme a, amha, surtout besoin de preuves de la valeur de l'homme pour s'engager. La femme est, généralement, plus sélective ; l'homme moins, car moins engagé dans la procréation (la grossesse et ses risques).les mœurs ont changés mais pas nos instincts , l'homme attend la plupart du temps du sexe et la femme a besoin d'une raison pour y consentir
Avec la pilule, etc, la donne a radicalement changée et les femmes accèdent à la possibilité de vivre une sexualité plus libérée (plus semblable à celle des hommes).
Ainsi, l'instinct, la récompense (orgasme, etc + chimie (dopamine, etc)) liée au sexe, nécessaires pour pousser les humains (les animaux, etc) à se reproduire, sont court-circuités par la chimie moderne. Ce qui change radicalement la donne.
Et l'accès au sexe libre devint la norme, pour les hommes et pour les femmes. Mais pas sans corolaires. Et, ça, c'est un autre sujet.
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
A propos de l'ocytocine, lors des câlins, de l'orgasme et, chez la femme, de l'accouchement.
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Tant que tu ne t'autocite pas en parlant de toi à la troisième personne ça vaKrAvEn a écrit:Je sais, je m'auto-cite.KrAvEn a écrit:Je rajouterai que l'homme qui paie (lors du premier rendez-vous, etc) est dans un rôle d'homme "traditionnel"
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
forcément que la nature pour qui le but est la perpétuation de l’espèce a dotée les hommes d'une libido permanente pour la simple est bonne raison qu'il fallait qu'il soit toujours prêt , ne pouvant se permettre de laisser passer une occasion de transmettre ses gênes , il pouvait mourir une heure après
alors que la femme devait avoir un environnement propice a sa grossesse (nourriture , abris )
notre environnement a changé mais pas nos instincts et donc notre libido
après je ne dois pas vivre au bon endroit car l’accès libre au sexe je connais pas , il y a toujours un prix a payer
alors que la femme devait avoir un environnement propice a sa grossesse (nourriture , abris )
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après je ne dois pas vivre au bon endroit car l’accès libre au sexe je connais pas , il y a toujours un prix a payer
mathieu frank- Membre
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Avec énormément de cynisme, Reiser (je crois...) avait résumé tout ça par cette formule :
" Les femmes doivent coucher pour réussir, les hommes doivent réussir pour coucher".
Ca ne fait pas avancer le schmilblich, mais ça colle bien avec le thème.
Je suis déjà dehors
" Les femmes doivent coucher pour réussir, les hommes doivent réussir pour coucher".
Ca ne fait pas avancer le schmilblich, mais ça colle bien avec le thème.
Je suis déjà dehors
modl- Membre Premium
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Wasicun aime ce message
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
C'est le cas d'une minorité d'hommes et de femmes. Question de valeurs. Toutefois, nous n'avons pas tous les mêmes valeurs.modl a écrit:" Les femmes doivent coucher pour réussir, les hommes doivent réussir pour coucher".
Pour en revenir à la Teutone, un domaine où sa vision de l'avenir se réalise : le porno virtuel massif pour les hommes. Petite copine virtuelle (IA), Tik Tok, Pornhub... et futur casque à réalité augmentée. Un max d'hommes (plus addicts au porno que les femmes) se font prendre dans l'engrenage de la machine à distribuer de la dopamine à bas coût.
AMHA, ça fait parti de la préparation prepper : se débrancher de toutes ces béquilles virtuelles. L'autonomie, c'est aussi se lever de son canapé, se débrancher (du virtuel), se couper des médias de masse et de la dépendance à la malbouffe et se reprendre en main (faire des putains d'efforts pour acquérir de l'expérience, se créer un réseau, etc).
Le monde rêvé de la teutone et de nos chères élites de la bourgeoisie financière, c'est la soumission à des intérêts qui ne sont pas les nôtres et l'aliénation.
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Da, daeron, victor81 et Aristote aiment ce message
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Merveilleux (ironie) Faire l'amour avec un robot ? Près d'un homme sur deux serait partant - neonmag.fr
Messieurs, un homme sur 2 est prêt à sortir de la compétition pour les femmes.
Messieurs, un homme sur 2 est prêt à sortir de la compétition pour les femmes.
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Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
KrAvEn a écrit:Merveilleux (ironie) Faire l'amour avec un robot ? Près d'un homme sur deux serait partant - neonmag.fr
Messieurs, un homme sur 2 est prêt à sortir de la compétition pour les femmes.
Tu vas un peu vite, c'est juste un step au-dessus de la branlette. Si tous les hommes qui pratiquent l'onanisme se retiraient de la compétition pour les femmes, je crois que l'humanité ne serait pas allée bien loin.
Par contre, il est clair que l’apparition de ce genre de robot mettrait sérieusement en déséquilibre le rapport bénéfice/contrainte dans les relations hommes/femmes. Car à une époque de gourgandines incultes, inutiles et dépensières hissées en parangon de la féminité, les robots sexuels vaincraient par chaos.
Dernière édition par Da le Mar 10 Oct 2023 - 10:32, édité 2 fois
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un ptit breton aime ce message
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
alors d'un coté la recherche et la pérennisation d'une sexualité, c'est tellement sans fin et épuisant que je pourrais y penser , mais d'un autre coté si du coup l'offre masculine se raréfiait ca serait peut etre plus simple , c'est bien résumé par le message au dessus
il y a pas mal d'années j'avais vu un reportage sur les poupées réalistes pour adulte et cela m'avais intrigué
j'ai fait des recherches et je suis tombé sur un forum francais , ce fus tres surprenant et une communauté tres intéressante
il y a pas mal d'années j'avais vu un reportage sur les poupées réalistes pour adulte et cela m'avais intrigué
j'ai fait des recherches et je suis tombé sur un forum francais , ce fus tres surprenant et une communauté tres intéressante
mathieu frank- Membre
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Date d'inscription : 10/12/2011
Re: Dystopie sexuelle et métavers porno
Yep ! Mais un robot couplé à une IA, aie !Da a écrit:u vas un peu vite, c'est juste un step au-dessus de la branlette. Si tous les hommes qui pratique l'onanisme se retiraient de la compétition pour les femmes, je crois que l'humanité ne serait pas allé bien loin.
Il y a quand même un phénomène inquiétant, amha, depuis peu : celui des simps. Les simps couplés aux influenceuses IA et aux petites amies virtuelles, une quintessence de la misère affective contemporaine.
Il y a des gars et des filles qui fuient les vraies relations ; réseaux sociaux et autres applications simplifiant les rencontres virtuelles oblige.
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