Documentaires, docu-fictions et reportages

KrAvEn a écrit:Le gars fait des émules... à Paris. Même type de vidéo à Panam. "Sans nul doute, la plus spectaculaire réalisation de @Anne_Hidalgo à Paris: créer en 4 mois et 2 décisions les conditions de l’installation du plus grand village du CRACK d’Europe en plein cœur de la ville. Vidéo du 18/09

ARTE Découverte

Au coeur d’une des dernières régions sauvages d’Europe, une tribu de huit experts tente de survivre en utilisant les techniques des hommes de l’âge de pierre. Une aventure en trois volets, pour mieux comprendre le mode de vie de nos ancêtres.

L'aventure commence au fond d'une vallée fluviale façonnée par les siècles. Équipés de peaux de bête, de quelques vivres et d'un canoë, les huit experts en techniques primitives qui composent la tribu s'adonnent à la cueillette, à la pêche et créent des équipements à l’aide d’outils préhistoriques. Alors que Dan et Manse se lancent dans une expédition de chasse, l'inquiétude et la faim grandissent au sein du groupe. Face à l'insuffisance de nourriture, les membres de la tribu décident de partir. Ils doivent alors bâtir des embarcations pour descendre le courant, avant de s'enfoncer dans les montagnes en quête de gibier.

Retour à l'âge de pierre
Série documentaire de Natalie Wilkinson (Royaume-Uni, 2020, 53mn)

Sur M6, l’émission « Dossier tabou » interroge les limites des énergies vertes

Faut-il déforester ou forer en zone marine protégée pour implanter des éoliennes et des panneaux solaires ? Le magazine « Dossier tabou : La face noire des énergies vertes » interroge. À voir ce dimanche 5 décembre, à 21 h 05, sur M6.

Quelles sont les limites écologiques des projets éoliens ou solaires ?

Ce film n’est pas une remise en cause de la transition énergétique ni du développement des énergies renouvelables. Ce n’est pas non plus un plaidoyer en faveur du nucléaire. Mais cette transition de grande ampleur engendre des nuisances qui ne sont pas que visuelles et sonores, mais aussi écologiques, relevées par les riverains ou élus. Les implantations de sites éoliens ou solaires sont décidées entre l’État, le promoteur et le propriétaire du terrain, une commune ou un particulier, qui perçoit un loyer. C’est un gros gâteau subventionné, qui attire des promoteurs pas toujours soucieux d’écologie.

En quoi le projet éolien de la baie de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) illustre ces failles ?

Il soulève d’importantes interrogations. Pourquoi un tel projet émerge au milieu d’une zone de reproduction de cinquante-neuf espèces protégées, dont des dauphins, phoques et marsouins, grâce à une dérogation ministérielle ? L’ONG de défense des océans Sea Shepherd fait état de la présence de coraux, des gorgones, filmés sur le site. Pourquoi un tel site s’impose en pleine zone de pêche, à moins de 15 km des côtes, alors que les éoliennes offshore sont habituellement implantées autour de 45 km des côtes européennes ? Le choix de l’opérateur Iberdrola interroge aussi. Le Conseil d’État a jugé illégale l’attribution du marché, en avril 2012, à ce géant de l’énergie. Et le parquet national financier a ouvert une enquête. Iberdrola a déjà été visé par diverses enquêtes dans plusieurs pays. Et son PDG est mis en examen dans le plus gros scandale financier espagnol.

Pourquoi ce géant espagnol bénéficie-t-il du prix d’achat de l’électricité le plus haut ?

Le prix d’achat du kilowattheure produit par Iberdrola en baie de Saint-Brieuc a été fixé en 2012 pour vingt ans. Une rente très fructueuse à 155 €/KWh, trois fois plus que le prix du marché. L’énergie nucléaire a aussi été subventionnée. Mais aujourd’hui, sur un marché dérégulé, les subventions bénéficient à des sociétés privées.

Les vaccins contre le Covid-19 ont donné lieu à la plus grande campagne de vaccination mondiale de l’histoire.
Mais ils ont aussi suscité crainte et colère. Se rendant aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne, les réalisateurs ont mené l’enquête sur le mouvement antivax, minoritaire mais très actif.
Ils se sont également intéressés au commerce lucratif de traitements alternatifs potentiellement dangereux. Marc Garmirian et Lise Barnéoud donnent la parole à des spécialistes, mais aussi à des personnes qui doutent des prétendus bienfaits de la vaccination.

Richement étayé et agrémenté de mises en perspectives pertinentes, un documentaire tout-à-fait passionnant sur la résistance vaccinale.
Comme le rappelle justement le sociologue Jérémy Ward : “La vaccination engage de manière très intime la confiance de l’individu dans tout un tas d’institutions”.
Or, beaucoup de citoyens n’ont plus confiance en leurs dirigeants… Mais les réalisateurs rappellent aussi que certains profitent des peurs alimentées par le mouvement antivax.

Rammstein a écrit:France 3 annonce la programmation prochaine d'un reportage - à charge ? - sur le survivalisme :

KrAvEn a écrit:Pinaise ! Encore Bertrand Vidal ; sociologue et référence dans l'étude du survivalisme.

Avec l’enchaînement des catastrophes – climatique, sanitaire, géopolitique –, de plus en plus de Français se préparent à un effondrement de la société.

Comme ce jeune homme, qui stocke des pâtes, des conserves de cassoulet et des armes, tandis qu’une mère de deux enfants a aménagé la voiture familiale pour pouvoir y vivre s’il faut partir en vitesse.

Dans une communauté du sud de la France, on fait pousser des légumes et on trouve des solutions en cas de restrictions d’eau.

Dans On fait quoi si tout s’effondre ?, Martin Weill présente les solutions très concrètes des survivalistes de tout âge, tout milieu et rencontrés partout en France. Certains croient à la coopération, d’autres pensent qu’il sera indispensable de se défendre