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Rammstein

Pauvreté : ils ramassent les légumes pour survivre



Rien de neuf sous le soleil en fait : un documentaire était sorti en 2000 sur cette vieille pratique qu'est le glanage : Les Glaneurs et la Glaneuse.



Rammstein

Rammstein a écrit:Pauvreté : ils ramassent les légumes pour survivre
[...]
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Pas besoin d'être pauvre pour glaner. Je ramasse des noix, des châtaignes, des mûres, des pommes et des glands parfois (je glande donc). Mon beau-père ramassait des pissenlits, des champignons. C'est plutôt une façon maline de faire des économies, de profiter de la nature et de renouer avec elle, de découvrir des goûts différents.

pvo12 a écrit:

Rammstein a écrit:Pauvreté : ils ramassent les légumes pour survivre
[...]
Rammstein

Pas besoin d'être pauvre pour glaner. Je ramasse des noix, des châtaignes, des mûres, des pommes et des glands parfois (je glande donc). Mon beau-père ramassait des pissenlits, des champignons. C'est plutôt une façon maline de faire des économies, de profiter de la nature et de renouer avec elle, de découvrir des goûts différents.

Ce n'est pas du glanage au sens juridique du terme, ça. 
Le glanage, c'est ramasser dans un champ cultivé ce qui a été laissé sur pied par l'agriculteur une fois la récolte terminée.

20 après le film d'Agnès Varda, le glanage s'est diversifié, s'est intensifié, et la glanure "urbaine" a pris une nouvelle dimension ...
chez moi, il y a  même une association qui gère des marchés de la récup, 
où les membres revendent à même le sol tout un tas de breloques et bricoles récupérées le plus souvent dans les poubelles.
bien que ce ne soit pas autorisé, on y trouve aussi de l'alimentaire, certains vendent des fruits ou légumes de leur jardin, d'autres des noix ou châtaignes ramassées en forêt, d'autres encore revendent des boites de conserves qu'ils ont obtenues lors de distributions d'aides alimentaires;   
c'est clair, la France se paupérise d'un côté, et de l'autre, quelques happy fews pour qui tout va très bien, et qui vivent en "entre soi" ...