[Trucs et astuces] Résister à la douleur
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Olduvaï :: Survie & premiers secours (réservé aux membres s'étant présentés) :: Les bases de la survie
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[Trucs et astuces] Résister à la douleur
Une blessure, une maladie, peuvent amener à devoir supporter une douleur importante le temps que les secours arrivent. Conserver une emprise sur la douleur peut être un enjeu vital : moins le blessé / malade panique et s'agite, plus son état reste stable. Toutefois, en l'absence de tout moyen médical, la tâche peut sembler impossible. Les techniques présentées ci-après ne requièrent aucun matériel et permettent, dans une certaine mesure, d’atténuer la douleur. Je précise avoir créé cette compilation suite à la lecture de plusieurs études scientifiques et statistiques sur le sujet, malheureusement pour certaines j’ai omis de noter les sources.
1. L'aguerrissement
Cette technique est à mettre en place bien avant que le malheur ne frappe. Elle consiste à s'habituer progressivement à la douleur au gré des incidents du quotidien (visite chez le dentiste, bobo…). Cet apprentissage de la douleur se fait sur plusieurs années, certains élevés à la dure pratiquant depuis tout petit. L'idée est qu’avec de l’aguerrissement, la résistance à la douleur est plus grande. A titre d’exemple, avant leur quasi annihilation, les jeunes amérindiens devaient passer plusieurs épreuves pour devenir des hommes. Durant toute leur enfance et adolescence ils s’entraînaient à cette fin, par exemple en laissant se consumer des aiguilles de sapins sur la peau.
"Nous sortions, ramassions des aiguilles sèches de sapin, revenions au tipi et nous asseyions en cercle autour du feu. Alors nous allumions les aiguilles, les placions sur le dos de nos mains, et attendions pour voir celui qui serait capable de les laisser brûler jusqu'à ce qu'elles soient réduites en cendres.
Quand la chair était à vif, nous retirions parfois nos chemises de peau et demandions aux autres de mettre des aiguilles sur notre dos et les laissions se consumer. Si l'un de nous ne pouvait supporter la douleur, nous le couvrions de sarcasmes, en lui affirmant qu'il ne serait jamais un guerrier.
Parfois, nous prenions les aiguilles d'os aiguës avec lesquelles nos mères cousaient les peaux, et nous nous faisions réciproquement des estafilades sur les jambes jusqu'à voir le sang couler, pour les laver ensuite à l'eau fraîche."
Extrait de "Long Lance ou l’éducation d’un jeune indien"
L'épreuve terrible de la danse du soleil :
"La pratique médicale courante apprend vite à découvrir que l'intensité, la signification et l'expression de la douleur sont très différentes chez un être socialement frustre, "dur au mal", habitué aux travaux pénibles, malmené par la vie, victime de nombreux petits maux ou traumatismes, et chez un cadre supérieur à la vie facile, bien protégé par le cocon d'une entreprise paternaliste, l'affection d'une famille sans problème, l'assurance d'un avenir tranquille. La douleur physique surviendra chez ce second sujet comme un coup de tonnerre dans un ciel sans nuage, et sera d'autant plus mal supportée. Il en parlera encore des années plus tard, alors que le sujet fruste ne compte plus ses cicatrices et a bien souvent oublié leur origine. Je me souviens d'un ouvrier pakistanais qui s'était tranché la cuisse jusqu'au fémur avec une tronçonneuse, et qui accepta sans sourciller d'être recousu jusqu'à l'os pendant plus d'une heure sans anesthésie générale. La même plaie béante chez un occidental se serait soldée par une opération, sous anesthésie générale, avec 2 mois d'arrêt de travail. Dix jours plus tard, mon Pakistanais travaillait à nouveau, comme il le réclamait. Une étude comparative des réactions à la douleur a été faite en temps de guerre chez des blessés combattants et des civils blessés lors de bombardements. Pour des blessures comparables, 80% des civils réclament des antalgiques alors que 25% seulement des soldats le font. On connaît aussi la différence que représente sur le plan de la douleur un accouchement chez une rurale acculturée et une citadine sophistiquée.
Où voulons-nous en venir ? Que ce qui fait la douleur, c'est l'expérience acquise. Que si notre cadre supérieur et délicat faisait des travaux de force durant ses week-end et de la boxe pendant ses loisirs, lui aussi deviendrait plus "dur au mal". Que la douleur crée l'anxiété, mais que l'anxiété aggrave la douleur. L'anxiété est un état d'âme qui s'éduque, et sans prétendre nier et mépriser la douleur comme semblent y parvenir certaines sectes hindoues, nous pensons qu'il est possible de la modérer."
Extrait de "Survivre, comment vaincre en milieu hostile" de feu Xavier Maniguet.
Cet aguerrissement à la douleur est toutefois long, et suppose une motivation certaine. Bref, si la tâche vous paraît trop ardue, autant passer aux techniques suivantes !
2. La colère
Réagir avec colère à une blessure permettrait d’atténuer la sensation de douleur, selon une étude statistique.
N’hésitez donc plus à proférer des tombereaux de jurons en cas de bobo, vous n’en aurez que moins
mal !
3. Le détournement d'attention
Cette technique est enseignée par tous les organismes de formation aux premiers soins : engager une discussion avec le blessé permet de détourner son attention et de le maintenir, dans la mesure du possible, conscient. A mettre en œuvre sans modération donc. Mais quid si vous êtes seul ???
Le secret s’appelle le Zen. Ou la méditation. Rien de spirituel dans tout cela, juste une technique mêlant relâchement musculaire et concentration de l’attention sur un élément extérieur afin de se détourner sciemment de la douleur. C’est compliqué ? En fait non : la technique consiste à trouver un point d’attention sur lequel poser un de ses sens. Cela peut être un objet, une lueur, un bruit régulier et répétitif comme le vent ou l’écoulement de l’eau, etc. En général, après quelques minutes d’intense concentration, passées à ne penser qu’au bidule, on s’aperçoit que certains muscles sont inutilement contractés. La prochaine étape consiste donc à décontracter tous ses muscles, tout en restant concentré sur le bidule auquel on accorde toute son attention. Pour la mise en pratique, rien de tel qu’une séance chez le dentiste (testé et approuvé) !
4. Le contact d'un proche
Des études statistiques ont montré que la douleur ressentie est moindre lorsqu’un proche est présent au côté du souffrant. Il importe toutefois qu’il y ait contact physique (genre tenue de main) entre ce dernier et son proche. Si je me souviens bien du contexte de l’étude, plusieurs configuration avaient été testées : contact visuel avec un étranger, contact physique avec un étranger, contact visuel avec un proche, contact physique avec un proche. C’est cette dernière configuration qui avait permis d’obtenir les meilleurs résultats.
Finalement, cela sert bien à quelque chose de tenir la main de sa moitié en salle d’accouchement !
5. Le brouillage de stimulus
Notre épiderme est truffé de capteurs nerveux sensibles au moindre stimulus : chaleur, froid, caresse, etc. Des stimuli de différentes origines transitent en outre par le même réseau nerveux du fait de leur proximité. L’idée est donc de profiter de cette caractéristique pour brouiller le signal douloureux par du signal apaisant, via notamment des caresses appliquées directement dans la zone en amont ou à proximité de la blessure.
Voilà les quelques techniques que j’avais retenues lors de mes lectures et expériences. Si vous connaissez d'autres trucs, n'hésitez pas à poster !
Rammstein
1. L'aguerrissement
Cette technique est à mettre en place bien avant que le malheur ne frappe. Elle consiste à s'habituer progressivement à la douleur au gré des incidents du quotidien (visite chez le dentiste, bobo…). Cet apprentissage de la douleur se fait sur plusieurs années, certains élevés à la dure pratiquant depuis tout petit. L'idée est qu’avec de l’aguerrissement, la résistance à la douleur est plus grande. A titre d’exemple, avant leur quasi annihilation, les jeunes amérindiens devaient passer plusieurs épreuves pour devenir des hommes. Durant toute leur enfance et adolescence ils s’entraînaient à cette fin, par exemple en laissant se consumer des aiguilles de sapins sur la peau.
"Nous sortions, ramassions des aiguilles sèches de sapin, revenions au tipi et nous asseyions en cercle autour du feu. Alors nous allumions les aiguilles, les placions sur le dos de nos mains, et attendions pour voir celui qui serait capable de les laisser brûler jusqu'à ce qu'elles soient réduites en cendres.
Quand la chair était à vif, nous retirions parfois nos chemises de peau et demandions aux autres de mettre des aiguilles sur notre dos et les laissions se consumer. Si l'un de nous ne pouvait supporter la douleur, nous le couvrions de sarcasmes, en lui affirmant qu'il ne serait jamais un guerrier.
Parfois, nous prenions les aiguilles d'os aiguës avec lesquelles nos mères cousaient les peaux, et nous nous faisions réciproquement des estafilades sur les jambes jusqu'à voir le sang couler, pour les laver ensuite à l'eau fraîche."
Extrait de "Long Lance ou l’éducation d’un jeune indien"
L'épreuve terrible de la danse du soleil :
"La pratique médicale courante apprend vite à découvrir que l'intensité, la signification et l'expression de la douleur sont très différentes chez un être socialement frustre, "dur au mal", habitué aux travaux pénibles, malmené par la vie, victime de nombreux petits maux ou traumatismes, et chez un cadre supérieur à la vie facile, bien protégé par le cocon d'une entreprise paternaliste, l'affection d'une famille sans problème, l'assurance d'un avenir tranquille. La douleur physique surviendra chez ce second sujet comme un coup de tonnerre dans un ciel sans nuage, et sera d'autant plus mal supportée. Il en parlera encore des années plus tard, alors que le sujet fruste ne compte plus ses cicatrices et a bien souvent oublié leur origine. Je me souviens d'un ouvrier pakistanais qui s'était tranché la cuisse jusqu'au fémur avec une tronçonneuse, et qui accepta sans sourciller d'être recousu jusqu'à l'os pendant plus d'une heure sans anesthésie générale. La même plaie béante chez un occidental se serait soldée par une opération, sous anesthésie générale, avec 2 mois d'arrêt de travail. Dix jours plus tard, mon Pakistanais travaillait à nouveau, comme il le réclamait. Une étude comparative des réactions à la douleur a été faite en temps de guerre chez des blessés combattants et des civils blessés lors de bombardements. Pour des blessures comparables, 80% des civils réclament des antalgiques alors que 25% seulement des soldats le font. On connaît aussi la différence que représente sur le plan de la douleur un accouchement chez une rurale acculturée et une citadine sophistiquée.
Où voulons-nous en venir ? Que ce qui fait la douleur, c'est l'expérience acquise. Que si notre cadre supérieur et délicat faisait des travaux de force durant ses week-end et de la boxe pendant ses loisirs, lui aussi deviendrait plus "dur au mal". Que la douleur crée l'anxiété, mais que l'anxiété aggrave la douleur. L'anxiété est un état d'âme qui s'éduque, et sans prétendre nier et mépriser la douleur comme semblent y parvenir certaines sectes hindoues, nous pensons qu'il est possible de la modérer."
Extrait de "Survivre, comment vaincre en milieu hostile" de feu Xavier Maniguet.
Cet aguerrissement à la douleur est toutefois long, et suppose une motivation certaine. Bref, si la tâche vous paraît trop ardue, autant passer aux techniques suivantes !
2. La colère
Réagir avec colère à une blessure permettrait d’atténuer la sensation de douleur, selon une étude statistique.
N’hésitez donc plus à proférer des tombereaux de jurons en cas de bobo, vous n’en aurez que moins
mal !
3. Le détournement d'attention
Cette technique est enseignée par tous les organismes de formation aux premiers soins : engager une discussion avec le blessé permet de détourner son attention et de le maintenir, dans la mesure du possible, conscient. A mettre en œuvre sans modération donc. Mais quid si vous êtes seul ???
Le secret s’appelle le Zen. Ou la méditation. Rien de spirituel dans tout cela, juste une technique mêlant relâchement musculaire et concentration de l’attention sur un élément extérieur afin de se détourner sciemment de la douleur. C’est compliqué ? En fait non : la technique consiste à trouver un point d’attention sur lequel poser un de ses sens. Cela peut être un objet, une lueur, un bruit régulier et répétitif comme le vent ou l’écoulement de l’eau, etc. En général, après quelques minutes d’intense concentration, passées à ne penser qu’au bidule, on s’aperçoit que certains muscles sont inutilement contractés. La prochaine étape consiste donc à décontracter tous ses muscles, tout en restant concentré sur le bidule auquel on accorde toute son attention. Pour la mise en pratique, rien de tel qu’une séance chez le dentiste (testé et approuvé) !
4. Le contact d'un proche
Des études statistiques ont montré que la douleur ressentie est moindre lorsqu’un proche est présent au côté du souffrant. Il importe toutefois qu’il y ait contact physique (genre tenue de main) entre ce dernier et son proche. Si je me souviens bien du contexte de l’étude, plusieurs configuration avaient été testées : contact visuel avec un étranger, contact physique avec un étranger, contact visuel avec un proche, contact physique avec un proche. C’est cette dernière configuration qui avait permis d’obtenir les meilleurs résultats.
Finalement, cela sert bien à quelque chose de tenir la main de sa moitié en salle d’accouchement !
5. Le brouillage de stimulus
Notre épiderme est truffé de capteurs nerveux sensibles au moindre stimulus : chaleur, froid, caresse, etc. Des stimuli de différentes origines transitent en outre par le même réseau nerveux du fait de leur proximité. L’idée est donc de profiter de cette caractéristique pour brouiller le signal douloureux par du signal apaisant, via notamment des caresses appliquées directement dans la zone en amont ou à proximité de la blessure.
Voilà les quelques techniques que j’avais retenues lors de mes lectures et expériences. Si vous connaissez d'autres trucs, n'hésitez pas à poster !
Rammstein
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Rammstein- Membre fondateur
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
très stéréotypé ce discours..."l'affection d'une famille sans problème.....une rurale acculturée
je suis issu d'une famille sans problème et pas douillet .par contre dès petit on m'a appris à pas chouiner au premier petit bobo et à pas me croire à l'article de la mort sous prétexte que cela pisse un peu le sang.
La première à me faire remarquer que c'est une coupure de rien du tout donc que j’arrête de faire la comédie était ma grand-mère ,ancienne institutrice, donc le coté inculture...
amha ,une part non négligeable du ressenti après une blessure est due au fait que l'on se fait une fixation dessus ou non.seul il suffit de se concentrer sur autre chose genre une distance à franchir ,une tache à finir etc...
s’engueuler sois même marche pas trop mal pour remiser cela dans un coin ,genre" tu vas pas commencer à faire ta pucelle comme même?avance"
voilà voilà
troisgriffes- Membre
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
A rajouter l'adrénaline..(générée par la colère comme citée plus haut ou la peur)
Perso (déjà raconté accident de bécane ,cotes pétées,genou et épaule out mais debout ..jusqu'à l'arrivée des pompiers et que j'essaye de monter dans camion..)
Exemple plus récent d'un surfer
http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Fabien-Mon-corps-a-corps-avec-le-requin-157762
[..]Il tirait sur ma jambe comme sur un morceau de poisson, avec de secs mouvements de tête latéraux. Je la voyais se déchirer, partir en lambeaux, mais je ne ressentais aucune douleur. » Le surfeur est anesthésié par l’adrénaline.[..]
Perso (déjà raconté accident de bécane ,cotes pétées,genou et épaule out mais debout ..jusqu'à l'arrivée des pompiers et que j'essaye de monter dans camion..)
Exemple plus récent d'un surfer
http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Fabien-Mon-corps-a-corps-avec-le-requin-157762
[..]Il tirait sur ma jambe comme sur un morceau de poisson, avec de secs mouvements de tête latéraux. Je la voyais se déchirer, partir en lambeaux, mais je ne ressentais aucune douleur. » Le surfeur est anesthésié par l’adrénaline.[..]
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"Le problème avec ce monde est que les personnes intelligentes sont pleines de doutes tandis que les personnes stupides sont pleines de confiance."
"Quand on se fait vieux, on se réveille chaque matin avec l'impression que le chauffage ne marche pas."
C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose.
Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
Il s'agit de la "théorie de la porte" ou "théorie du gate control" décrit par Patrick Wall et Ronald Melzack en 1965Rammstein a écrit:
5. Le brouillage de stimulus
Notre épiderme est truffé de capteurs nerveux sensibles au moindre stimulus : chaleur, froid, caresse, etc. Des stimuli de différentes origines transitent en outre par le même réseau nerveux du fait de leur proximité. L’idée est donc de profiter de cette caractéristique pour brouiller le signal douloureux par du signal apaisant, via notamment des caresses appliquées directement dans la zone en amont ou à proximité de la blessure.
"Le message « douloureux » est modulé tout au long de son cheminement par des systèmes régulateurs : au niveau de la moelle épinière, il existe un filtre modulateur de très grande importance appelé la « porte ».
Le message « douloureux » transite par cette porte qui peut être plus ou moins ouverte : le débit du message douloureux peut donc être augmenté, réduit ou même totalement interrompu. Plus la porte est ouverte, plus le message douloureux est perçu comme intense.
Cette théorie a permis de comprendre les effets de certaines réactions face à la douleur, comme par exemple mettre de l’eau fraîche sur une brûlure, qui peut effectivement soulager une douleur en provoquant la fermeture de la porte."
source
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"Le problème avec ce monde est que les personnes intelligentes sont pleines de doutes tandis que les personnes stupides sont pleines de confiance."
"Quand on se fait vieux, on se réveille chaque matin avec l'impression que le chauffage ne marche pas."
C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose.
Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
Il y a une autre technique qui consiste à ne pas essayer de rejeter la douleur. La laisser pénétrer sont corps comme le courant qui passe dans un fil de cuivre et à la longue elle disparait. Je pense que c'etait une technique pratiquée par les samouraïs.
C'est donc en acceptant la douleur et non en la rejetant qu'on la supporte le mieux.
C'est donc en acceptant la douleur et non en la rejetant qu'on la supporte le mieux.
Dernière édition par Aristote le Ven 13 Sep 2013 - 12:51, édité 1 fois
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Aristote- Modérateur
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
exemple d'aguerrissement : les légionnaires romains s'endurcissaient , entre autre, en se fouettant avec des orties. Ils faisaient ça aussi pour augmenter leur "virilité"....messieurs, si ça vous tente...
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
Eprouvé, faire une douleur inoffensive en amont du chemin nerveux par rapport au point douloureux, utile pour les extrémités, mais pas pour les dents...
Ex: entorse au poignet, on se tape le coude
Les transmetteurs de douleur sont en fait bridés ou modérés par la capacité de douleur transmissible.
On peut user du même principe pour tout le corps, pendant une séance de boxe française (par exemple éprouvé), une fêlure de maxilaire (machoire), accompagné d'une luxation bénigne sont étourdissants mais peu douloureux, tout le corps étant endolori ; Le référentiel étant plus élevé.
Aussi, par rapport à l'entraînement à la douleur, chaque type de douleur n'entraîne presque que lui même, s'entraîner à la coupure permet de mieux assimiler celles-ci, mais pas les coups, enfin, d'expérience perso et empirique...
Ex: entorse au poignet, on se tape le coude
Les transmetteurs de douleur sont en fait bridés ou modérés par la capacité de douleur transmissible.
On peut user du même principe pour tout le corps, pendant une séance de boxe française (par exemple éprouvé), une fêlure de maxilaire (machoire), accompagné d'une luxation bénigne sont étourdissants mais peu douloureux, tout le corps étant endolori ; Le référentiel étant plus élevé.
Aussi, par rapport à l'entraînement à la douleur, chaque type de douleur n'entraîne presque que lui même, s'entraîner à la coupure permet de mieux assimiler celles-ci, mais pas les coups, enfin, d'expérience perso et empirique...
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...N'est pas mort ce qui à jamais dort et au cours des ères peut mourir même la Mort... Briarée-Erèbe
Ash- Membre Premium
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
intéressant, je comprends mieux le phénomène.
j'ai eu le cas lors de ma dernière année de judo;
en entraînement, j'ai eu une violente douleur à l'avant bras lors d'une chute, sensation de chaleur etc!!
les profs pensent à une entorse, me laisse sur le coté durant un certains temps, puis je reprends les combats. le problème, le soir même, lorsque tout s'est refroidi, la douleur est revenu... j'avais en fait une fêlure sur un des os de l'avant bras. donc plâtre durant 1 mois.
par contre, ce n'ai plus dans notre culture de devoir aguerrir les jeunes gens..à part au japon, peut être. j'ai vu un reportage ou des enfants de primaire ou maternelle qui effectuait une course à pied torse nu alors qu'il y avait de la neige....
j'ai eu le cas lors de ma dernière année de judo;
en entraînement, j'ai eu une violente douleur à l'avant bras lors d'une chute, sensation de chaleur etc!!
les profs pensent à une entorse, me laisse sur le coté durant un certains temps, puis je reprends les combats. le problème, le soir même, lorsque tout s'est refroidi, la douleur est revenu... j'avais en fait une fêlure sur un des os de l'avant bras. donc plâtre durant 1 mois.
par contre, ce n'ai plus dans notre culture de devoir aguerrir les jeunes gens..à part au japon, peut être. j'ai vu un reportage ou des enfants de primaire ou maternelle qui effectuait une course à pied torse nu alors qu'il y avait de la neige....
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--Editions L'Antre du Khaos
--On pensait être prêt, mais ce qui se passa était pire que tout ce que l'on avait pu imaginer!!--(les Chroniques du Khaos)
--BP : Be Prepared (Baden Powell)
--Mon EDC
Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
dans la même veine.
se n''est pas une douleur .....quoique que
Je fais du velo avec des cuissard court ....même en hiver j'y suis habituer, les gens me regarde avec des yeux
comme ................sa mais je fais sa qu'a cotes de chez moi.............
car j'ai des crampes et des que j'arrive chez moi, je prend une bonne douche chaude( truc de cycliste;)
Pour les grandes rando .........cuissard long
se n''est pas une douleur .....quoique que
Je fais du velo avec des cuissard court ....même en hiver j'y suis habituer, les gens me regarde avec des yeux
comme ................sa mais je fais sa qu'a cotes de chez moi.............
car j'ai des crampes et des que j'arrive chez moi, je prend une bonne douche chaude( truc de cycliste;)
Pour les grandes rando .........cuissard long
ricemo14- Animateur
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Re: [Trucs et astuces] Résister à la douleur
Je suis endurant au froid, je roule à vélo le 3/4 de l'année en tatanes à trou-trous "Jacques Anquetil" et les mois les plus froids en jogging ordinaires. Au polygone d'entrainement les autres en sont aux surchaussure en néoprène.
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Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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