Les émeutes de Los Angeles 1992
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Quand le type dit à sa femme de prendre à manger et la TV pour aller dans la salle de bains, nous dirions "radio" ; il voulait sans doute qu'elle se tienne au courant puisque leur quartier était en direct à la TV.
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Il est un temps—court--pour tomber,
et un temps--très long--pour se relever.
.
BOB de Mado
mado- Modérateur
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Tout dépend du calibre utilisé et de la munition. Cette arme a été développée dans l'esprit de remplacer un M16 défaillant lors d'une attaque, et devenir l'arme principale. J'ai eu l'occasion de voir utiliser, et de tester, c'est sympathique. Le gars qui l'a testé avant moi s'est incrusté le guidon métallique au bout du canon sur le front, et est tombé assomé par le choc. Le recul est chouette.Philippe13 a écrit:Le type a un "desert Eagle" israëlien un truc énorme, 2 kilos, pas pratique, curieux choix. Principale utilisation: épater les copains au club de tir...
SavageBeast- Membre
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
honnetement je suis dubitatif: les israeliens qui savent ce qu'il font et testent en réel arment leurs vétérants de troisième réserve (+ 50 ans sécurisation locale seulement ) de carabine USM1. J'ai utilisé: léger, monte à l'épaule tout seule, guidon à oreilles pour une prise de visée instinctive, la munition est bien sur légere et limite les dégats colatéraux.
Invité- Invité
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Dans le respect des règles du forum, merci de ne plus debattre des armes à feu sur ce post.
Merci beaucoup
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"Il est plus facile de ne laisser aucune trace
Que de marcher sans toucher le sol"
Tchouang Tseu
Tabula Rasa- Membre Premium
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Difficile à évacuer,c'est un non dit dans la survie.....on tourne autour du pot...et encore je suis un légaliste.
Invité- Invité
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
D'une manière générale (le sujet des a à f etant parfois latent sur divers messages du forum) et sans vouloir (mais alors vraiment pas ) entrer dans un débat.
Je pense que si effectivement le sujet peut etre abordé dans le cadre du survivalisme, de très nombreux forums et sites peuvent permettrent d'en debatre, de s'en informer, de s'y faire conseiller.
La charte du forum imposant d'eviter le sujet et ce qui s'en rapproche, à chacun de se faire violence pour l'eviter
Je pense que si effectivement le sujet peut etre abordé dans le cadre du survivalisme, de très nombreux forums et sites peuvent permettrent d'en debatre, de s'en informer, de s'y faire conseiller.
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DeLaPerouse- Membre Premium
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Emploi : Sécurité...
Date d'inscription : 16/06/2008
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Bon, je ne vous raconterai plus mes souvenirs du service militaire...les souvenirs de chasse sous-marine on peut?
A propos des émeutes type Los-Angelès la c'est intéressant. Les sorties d'émeutes massives sont des situations qui se sont déja produites et se produiront. Je pense que si la situation économique se dégrade encore -et ele va se dégrader- les banlieues vont encore s'allumer. Que faire alors: rester chez soi ou évacuer?
Je ne vois pas mon quartier s'enflamer sauf si le gouvernement interdisait la commercialisation du nuoc-mam. Même dans les fêtes du nouvel-an chinois au milieu de la foule asiatique on ne ressent pas de menace. Les jeunes asiatiques rêvent informatique, électronique ou expertise comptable pas de frustration ni de rancune.
Je n'en dirai pas autant de l'autre coté du périphérique, je suis certain que cela va peter de nouveau. Le tout c'est de ne pas y être et si on y est par obligation comment en sortir. On ne connait pas toujours le coin ou on travaille en fait, juste le trajet boulot-déjeuner-transport. Je vivrai dasn un de ces quartier je me poserai quelques questions: rester chez soi ou évacuer, évacuer avec quoi et ou?
Il ya quelques années j'ai fait une mission avec un controleur de gestion dans une ces banlieues, le responsable financier avait un peu de mal à recruter vu le quartier et posait la question suivante: vous avez vu l'environnement, si je vous demande de faire des heures sup les ferez vous?
Les jeunes femmes candidates on toutes répondu non, moi je lui ai dit OK mais je ne m'habillerai pas comme il est de coutume dans ce job. J'ai donc mis la tenue que je mets pour faire les inventaires de garages ou aller au marché le samedi, ne me suis plus rasé tous les jours et lu "l'équipe" plutot que "le monde" en attendant le train le soir, sacoche publicitaire plutot que cartable en cuir.....
A propos des émeutes type Los-Angelès la c'est intéressant. Les sorties d'émeutes massives sont des situations qui se sont déja produites et se produiront. Je pense que si la situation économique se dégrade encore -et ele va se dégrader- les banlieues vont encore s'allumer. Que faire alors: rester chez soi ou évacuer?
Je ne vois pas mon quartier s'enflamer sauf si le gouvernement interdisait la commercialisation du nuoc-mam. Même dans les fêtes du nouvel-an chinois au milieu de la foule asiatique on ne ressent pas de menace. Les jeunes asiatiques rêvent informatique, électronique ou expertise comptable pas de frustration ni de rancune.
Je n'en dirai pas autant de l'autre coté du périphérique, je suis certain que cela va peter de nouveau. Le tout c'est de ne pas y être et si on y est par obligation comment en sortir. On ne connait pas toujours le coin ou on travaille en fait, juste le trajet boulot-déjeuner-transport. Je vivrai dasn un de ces quartier je me poserai quelques questions: rester chez soi ou évacuer, évacuer avec quoi et ou?
Il ya quelques années j'ai fait une mission avec un controleur de gestion dans une ces banlieues, le responsable financier avait un peu de mal à recruter vu le quartier et posait la question suivante: vous avez vu l'environnement, si je vous demande de faire des heures sup les ferez vous?
Les jeunes femmes candidates on toutes répondu non, moi je lui ai dit OK mais je ne m'habillerai pas comme il est de coutume dans ce job. J'ai donc mis la tenue que je mets pour faire les inventaires de garages ou aller au marché le samedi, ne me suis plus rasé tous les jours et lu "l'équipe" plutot que "le monde" en attendant le train le soir, sacoche publicitaire plutot que cartable en cuir.....
Invité- Invité
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Il faisait froid et sombre sous le parasol mais j'avais une vue imprenable sur la rue devant la maison. J'ai regardé durant les heures suivantes les pillards qui descendaient la rue les bras chargés de marchandises. Parfois ils trainaient un cabas ou un chariot remplis jusqu'en haut de leurs butins.
A l'occasion ils semblait qu'ils voulaient se garer dans ma rue, je les visais avec ma carabine mais il semblaient avoir un sixiéme sens et à chaque fois se déplacaient alors que j'hésitais si mon doigt allait appuyer ou non sur la gachette.
Curieusement la rue s'est vidée pour le reste de la journée , les gens semblaient l'éviter comme la peste. Je continuais de craindre que les incendiaires reviennent.
Parfois je me levais pour me dérouiller les jambes et marchais le long du toit, je regardais directement en bas pour voir si quelqu'un se serait appuyé contre le mur en dessous et partirait furtivement vers notre maison.
Aprés une longue période sous le parasol a regarder les gens passer, soudainement un grand gars noir a sauté la clôture en passant et regardait ça et là en vérifiant si quelqu'un regardait. Il a fait un pas et s'est arrété sur un de nos piéges à nuisibles. Il est resté raide comme un piquet, a délicatement soulevé son pied, puis a jeté un cri. Il s'est fait griffé et tomba sur ses coudes contre la clôture et fis une plainte bizarre. J'ai du mettre ma main sur ma bouche pour m'empécher de rire, des larmes vinrent à mes yeux. il s'est finalement mis en colére et est partie sur le trottoir à cloche pied en laissant une piste de gouttes de sang derrière lui.
Je me rappelais de ne pas oublier de faire un examen du tétanos, certaines des dents du piége était couvertes de rouilles.
Je ne me suis pas tout à fait endormi sous le parasol, mais parfois j'ai somnolais par moment , me réveillant lorsque passaient des pillards ou des émeutiers.
Quand j'ai ouvert les yeux, j'ai vu qu'un groupe d'Hispano-Américain avait garé les fesses de leur voiture en travers de la route et remontaient leurs capuchons. Ils ont fait ouvrir des boites de biens de consommations tout autour d'eux et avaient décidé d'évaluer leurs valeurs.
Il y avait la voiture de Trotsky en face, mon ami de l'aasociation antiarme . Je pouvais voir Trotsky regarder attentivement derrière ses rideaux en jetant un regard furtif toutes les deux ou trois secondes , trop effrayé pour sortir.
Aussi sûrement que des bactéries encodées dans une simulation informatique, dés que les premiers ont été dormir dans la tente sur le capot de la voiture, d'autres pillards ont commencés à faire de même.
Ils campaient.
Je n'ai eu besoin de personne pour me dire que ce n'était pas bien. S'ils campent , ils vont peut étre commencer par une petite sieste. Alors peut étre qu'ils vont s'ennuyer et chercher des problémes. Vous voulez que ces gars bougent de là.
J'entrainais le fusil sur un gars qui fumait appuyé du côté chauffeur et qui regardait un ordinateur portatif qu'il avait volé. Il lancait plusieurs déchets d'emballage par terre , la valise , le manuel et n'importe quoi qu'il n'avait pas voulu prendre. Une vraie béte.
Les gars agissait remontés à bloc. C'était la voiture de quelqu'un qu'il pillaient.
Si je tirais ces gars là de sang froid avec le fisul, j'irais sûrement en prison. Cela serait convenable mais non considéré comme de l'autodéfense raisonable.
Je devrais descendre et les affronter.
J'ai descendu jusqu'en bas de l'échelle et suis renter dans la maison. Ma femme a été heureuse de ma voir et m'a questionné à propos de ce qui se passait.
J'ai pris mon fusil à pompe de chasse Remington derrière la chaudière. Je l'avais acheté trois mois plus tôt à l'insu de ma femme. sans l'avoir utilisée, avec deux boites de cartouches. Les yeux de ma femme se sont élargis lorsque je l'ai sorti et ai commencé à pousser les cartouches dans la culasse.
J'éspére que tu ne penses pas sortir avec ça , dit elle, parce que je divorce si tu le fais.
Je lui ai dit, ma chérie , si tu ne me vois pas revenir, viens me chercher
Quand je suis arrivé devant la porte, mes nerfs ont lâchés. j'ai regardé attentivement par la fenétre. Il y avait beaucoup de Mexicains dans la rue. Je savais que si je restais ici trop longtemps je ne sortirais pas. J'ai du me faire justice pour regarder dehors. On ne pouvais pas les laisser prendre le contrôle du quartier comme ça et s'assoir sur les voiture comme ça.
Comme je suis descendu par l'allée de devant, j'ai tenu le fusil derrière ma jambe. Les Mexicains ont regardé vers ma porte lorsque je suis sorti et suis allé vers eux, mais à cause de la clôture de grillage et de la haie de buissons ils n'ont pas vus le fusil quand ils ont compris que je venais leur parler.
"Vous les mecs, n'auriez vous pas mieux à aller ailleurs", dis je en allant vers eux, "n'importe ou mais ici c'est un bon début"
Le typé hispanique qui fumait a ricané et pris une longue bouffée de sa cigarette. " Qu"est ce que ça peut te foutre, mec ?" dit il , ses copains bougérent tous leur mains vers leur entrejambe comme s'ils voulaient serrer leurs testicules pour amener plus de sang au cerveau. Ils ont tous commencé ce geste à serrer leurs testicules.
Alors le gars le plus prés de la clôture a vu le fusil dans mon dos et son sourire a disparu. Ils se sont tous levés avec force et sont descendus des capots ou ils étaient.
"Vous les mecs ne camptez pas d'ici, ce n'est pas un coin pour personnes de couleurs "( pas sûr de la traduction..) ai je dis en levant le fusil au niveau de ma taille et en le pointant vers eux. J'ai ouvert le portail et suis sortie dans la rue. "Vous allez vous casser du quartier maintenant". Je transpirais de peur , ça tombait goutte à goutte devant mes yeux. " Quoi ? "a demandé le gars qui fumait, son visage devint pâle, "Hein?"
J'ai dis que "j'étais un blanc avec la migraine et un fusil de chasse et que je ne voulais pas écouter leur charabia. Pas parlé espagnol". Il ont tous commencer à reculer. C'est comique de regarder 50 Mexicains qui reculent avec la main à l'entrejambe. Certains d'entre eux se sont retournés et sont passés par le sud, quittant leur marchandises dans la rue ou sur les capots des voitures.
Celui qui fumait, sans lacher le portable, tu ne tireras sur personne, mon gars. Tu peux pas nous tuer tous, aller quelqu'un prend son fusil et lui fout un coup de pied au cul, a t'il marmonnait, mais je pense qu'il bluffait.
Je commencais à déclencher la sécurité du fusil. "Tu as raison , burrito le singe, je suppose que si j'arme la culasse je tirerais assez d'entre vous si j'appuie sur la gachette. Je bluffais simplement. Ils ont commencés à tous se retourner, de plus en plus d'entre eux se sont éloignés en courant.
Le gars à la cigarette a lancer sa cigarette et s'est reculé. J'étais bien à 100 métres de la maison maintenant. T'es pas le ( ??? ) gringo. Un de ces jours à cet endroit tu seras baisé gros porc. Je te retrouverais un de ces jours."
Il s'est retourné et est partie en courant. Je suis resté là et j'ai gardé le fusil contre moi jusqu'à ce que la rue soit vide. Alors j'ai fait demi tour et suis retourné devant chez moi.
Trotsky est venu de chez lui, enfin. Il semblait terrifié. "La violence ne résoud rien, mon gars" , croassa t'il.
Je l'ai regardé un long moment avant de dire " j'espére que vous ne croyez pas que nous sommes amis. Je peux faire mieux que vous pour des amis. J'ai fait semblant d'étre courtois avec vous auparavent, mais dans l'avenir je veux que vous m'évitiez . Vous et moi ne sommes pas pareils et ne le seront jamais." Alors je me suis retourné et suis rentré dans la maison.
Je finirais avec un épilogue de ce qui s'est passé ce soir là et les semaines suivantes dans mon dernier post.
Ps: il y a 2 petits morceaux à la traduction non clairs, si quelqu'un à une idée ?
A l'occasion ils semblait qu'ils voulaient se garer dans ma rue, je les visais avec ma carabine mais il semblaient avoir un sixiéme sens et à chaque fois se déplacaient alors que j'hésitais si mon doigt allait appuyer ou non sur la gachette.
Curieusement la rue s'est vidée pour le reste de la journée , les gens semblaient l'éviter comme la peste. Je continuais de craindre que les incendiaires reviennent.
Parfois je me levais pour me dérouiller les jambes et marchais le long du toit, je regardais directement en bas pour voir si quelqu'un se serait appuyé contre le mur en dessous et partirait furtivement vers notre maison.
Aprés une longue période sous le parasol a regarder les gens passer, soudainement un grand gars noir a sauté la clôture en passant et regardait ça et là en vérifiant si quelqu'un regardait. Il a fait un pas et s'est arrété sur un de nos piéges à nuisibles. Il est resté raide comme un piquet, a délicatement soulevé son pied, puis a jeté un cri. Il s'est fait griffé et tomba sur ses coudes contre la clôture et fis une plainte bizarre. J'ai du mettre ma main sur ma bouche pour m'empécher de rire, des larmes vinrent à mes yeux. il s'est finalement mis en colére et est partie sur le trottoir à cloche pied en laissant une piste de gouttes de sang derrière lui.
Je me rappelais de ne pas oublier de faire un examen du tétanos, certaines des dents du piége était couvertes de rouilles.
Je ne me suis pas tout à fait endormi sous le parasol, mais parfois j'ai somnolais par moment , me réveillant lorsque passaient des pillards ou des émeutiers.
Quand j'ai ouvert les yeux, j'ai vu qu'un groupe d'Hispano-Américain avait garé les fesses de leur voiture en travers de la route et remontaient leurs capuchons. Ils ont fait ouvrir des boites de biens de consommations tout autour d'eux et avaient décidé d'évaluer leurs valeurs.
Il y avait la voiture de Trotsky en face, mon ami de l'aasociation antiarme . Je pouvais voir Trotsky regarder attentivement derrière ses rideaux en jetant un regard furtif toutes les deux ou trois secondes , trop effrayé pour sortir.
Aussi sûrement que des bactéries encodées dans une simulation informatique, dés que les premiers ont été dormir dans la tente sur le capot de la voiture, d'autres pillards ont commencés à faire de même.
Ils campaient.
Je n'ai eu besoin de personne pour me dire que ce n'était pas bien. S'ils campent , ils vont peut étre commencer par une petite sieste. Alors peut étre qu'ils vont s'ennuyer et chercher des problémes. Vous voulez que ces gars bougent de là.
J'entrainais le fusil sur un gars qui fumait appuyé du côté chauffeur et qui regardait un ordinateur portatif qu'il avait volé. Il lancait plusieurs déchets d'emballage par terre , la valise , le manuel et n'importe quoi qu'il n'avait pas voulu prendre. Une vraie béte.
Les gars agissait remontés à bloc. C'était la voiture de quelqu'un qu'il pillaient.
Si je tirais ces gars là de sang froid avec le fisul, j'irais sûrement en prison. Cela serait convenable mais non considéré comme de l'autodéfense raisonable.
Je devrais descendre et les affronter.
J'ai descendu jusqu'en bas de l'échelle et suis renter dans la maison. Ma femme a été heureuse de ma voir et m'a questionné à propos de ce qui se passait.
J'ai pris mon fusil à pompe de chasse Remington derrière la chaudière. Je l'avais acheté trois mois plus tôt à l'insu de ma femme. sans l'avoir utilisée, avec deux boites de cartouches. Les yeux de ma femme se sont élargis lorsque je l'ai sorti et ai commencé à pousser les cartouches dans la culasse.
J'éspére que tu ne penses pas sortir avec ça , dit elle, parce que je divorce si tu le fais.
Je lui ai dit, ma chérie , si tu ne me vois pas revenir, viens me chercher
Quand je suis arrivé devant la porte, mes nerfs ont lâchés. j'ai regardé attentivement par la fenétre. Il y avait beaucoup de Mexicains dans la rue. Je savais que si je restais ici trop longtemps je ne sortirais pas. J'ai du me faire justice pour regarder dehors. On ne pouvais pas les laisser prendre le contrôle du quartier comme ça et s'assoir sur les voiture comme ça.
Comme je suis descendu par l'allée de devant, j'ai tenu le fusil derrière ma jambe. Les Mexicains ont regardé vers ma porte lorsque je suis sorti et suis allé vers eux, mais à cause de la clôture de grillage et de la haie de buissons ils n'ont pas vus le fusil quand ils ont compris que je venais leur parler.
"Vous les mecs, n'auriez vous pas mieux à aller ailleurs", dis je en allant vers eux, "n'importe ou mais ici c'est un bon début"
Le typé hispanique qui fumait a ricané et pris une longue bouffée de sa cigarette. " Qu"est ce que ça peut te foutre, mec ?" dit il , ses copains bougérent tous leur mains vers leur entrejambe comme s'ils voulaient serrer leurs testicules pour amener plus de sang au cerveau. Ils ont tous commencé ce geste à serrer leurs testicules.
Alors le gars le plus prés de la clôture a vu le fusil dans mon dos et son sourire a disparu. Ils se sont tous levés avec force et sont descendus des capots ou ils étaient.
"Vous les mecs ne camptez pas d'ici, ce n'est pas un coin pour personnes de couleurs "( pas sûr de la traduction..) ai je dis en levant le fusil au niveau de ma taille et en le pointant vers eux. J'ai ouvert le portail et suis sortie dans la rue. "Vous allez vous casser du quartier maintenant". Je transpirais de peur , ça tombait goutte à goutte devant mes yeux. " Quoi ? "a demandé le gars qui fumait, son visage devint pâle, "Hein?"
J'ai dis que "j'étais un blanc avec la migraine et un fusil de chasse et que je ne voulais pas écouter leur charabia. Pas parlé espagnol". Il ont tous commencer à reculer. C'est comique de regarder 50 Mexicains qui reculent avec la main à l'entrejambe. Certains d'entre eux se sont retournés et sont passés par le sud, quittant leur marchandises dans la rue ou sur les capots des voitures.
Celui qui fumait, sans lacher le portable, tu ne tireras sur personne, mon gars. Tu peux pas nous tuer tous, aller quelqu'un prend son fusil et lui fout un coup de pied au cul, a t'il marmonnait, mais je pense qu'il bluffait.
Je commencais à déclencher la sécurité du fusil. "Tu as raison , burrito le singe, je suppose que si j'arme la culasse je tirerais assez d'entre vous si j'appuie sur la gachette. Je bluffais simplement. Ils ont commencés à tous se retourner, de plus en plus d'entre eux se sont éloignés en courant.
Le gars à la cigarette a lancer sa cigarette et s'est reculé. J'étais bien à 100 métres de la maison maintenant. T'es pas le ( ??? ) gringo. Un de ces jours à cet endroit tu seras baisé gros porc. Je te retrouverais un de ces jours."
Il s'est retourné et est partie en courant. Je suis resté là et j'ai gardé le fusil contre moi jusqu'à ce que la rue soit vide. Alors j'ai fait demi tour et suis retourné devant chez moi.
Trotsky est venu de chez lui, enfin. Il semblait terrifié. "La violence ne résoud rien, mon gars" , croassa t'il.
Je l'ai regardé un long moment avant de dire " j'espére que vous ne croyez pas que nous sommes amis. Je peux faire mieux que vous pour des amis. J'ai fait semblant d'étre courtois avec vous auparavent, mais dans l'avenir je veux que vous m'évitiez . Vous et moi ne sommes pas pareils et ne le seront jamais." Alors je me suis retourné et suis rentré dans la maison.
Je finirais avec un épilogue de ce qui s'est passé ce soir là et les semaines suivantes dans mon dernier post.
Ps: il y a 2 petits morceaux à la traduction non clairs, si quelqu'un à une idée ?
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Les habitants ne croient plus en l'avenir. Pourtant notre civilisation est éternelle , nous sommes les élus. Nous avons la science et la vérité " dit le scribe à Pharaon. ( texte écrit sur un papyrus - 2500 av j.c.)
La prochaine révolution ne sera pas celle du travail !!!
un ptit breton- Modérateur
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Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Le .50 AE (un des calibres utilisé par le pistolet EAGLE de IMI) est un pur "joke" destiné aux collectionneurs ou aux tireurs du dimanche / à ce jour aucune armée ou aucun service de police au monde ne l'a retenu en dotation ... Même les chasseurs et trappeurs de l'extrême lui préfère un revolver chambré en .454 Casull ou en .500 S&W (C.Q.F.D.).
J'en ai vendu trois à des guignols du temps ou j'étais armurier ... moins de 6 mois après, les gus revenaient en général pour le revendre d'occaze (trop lourd, trop incontrôlable, trop cher en munitions ...).
;-)
(juste une appartée ...)
Rq. : si quelqu'un me parle de Dirty Harry et de son .44 Automag je m'énerve ;-) - par ailleurs les armes du ciné c'est ICI
J'en ai vendu trois à des guignols du temps ou j'étais armurier ... moins de 6 mois après, les gus revenaient en général pour le revendre d'occaze (trop lourd, trop incontrôlable, trop cher en munitions ...).
;-)
(juste une appartée ...)
Rq. : si quelqu'un me parle de Dirty Harry et de son .44 Automag je m'énerve ;-) - par ailleurs les armes du ciné c'est ICI
Wasicun- Membre Premium
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Loisirs : Boit Sans Soif (und ewig)
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Wasicun a écrit:
Rq. : si quelqu'un me parle de Dirty Harry et de son .44 Automag je m'énerve ;-)
C'est pas plutôt Charles Bronson, qui a exhibé un Automag dans un des nombreux opus du "Justicier"
Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Bjr,
Dirty Harry utilise un revolver en 44mag canon 6 ou 8 pouces, sauf dans le 3ème film là c'est bien un Automag, enfin je crois je ne suis pas spécialiste de ce dont on ne doit pas parler ici
A+
Dirty Harry utilise un revolver en 44mag canon 6 ou 8 pouces, sauf dans le 3ème film là c'est bien un Automag, enfin je crois je ne suis pas spécialiste de ce dont on ne doit pas parler ici
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billebaude- Membre Premium
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Emploi : en recherche
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
Le justicier...a ne pas dépasser le deuxième opus, les effets des armes et la précison possible sont irréaliste comme d'habitude.
Invité- Invité
Wasicun- Membre Premium
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Re: Les émeutes de Los Angeles 1992
bon je vais mettre une commentaire sur les arbalettes de peche sous marine voir discussion pêche et chasse.
Invité- Invité
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