[Menace terroriste]

Depuis sa sortie de détention en 2015, Cherif Chekatt faisait l'objet d'un suivi effectif de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Il était inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) depuis janvier 2016, fichier qui recense les personnes surveillées au titre de leur radicalisation islamiste.
En juin 2016, lors de la Fête de la musique, il avait été contrôlé, à Strasbourg, avec un autre homme. Il avait été placé en garde à vue, après des propos inquiétants prononcés devant des policiers, selon les informations de franceinfo. Il avait déclaré vouloir "tuer du flic". Cherif Chekatt avait été mis en examen pour "apologie du terrorisme", mais un non-lieu avait été rendu, faute d’éléments probants.
http://michelpeyret.canalblog.com/archives/2018/12/15/36943705.html

Il y a cependant un élément qui a vraisemblablement précipité le passage à l’acte de plusieurs terroristes : leur faire savoir qu’ils sont surveillés.
C’est le cas lorsqu’un contrôle routier se prolonge un peu trop ou si le fiché S reçoit une convocation d’un service de police, voire d’un service de renseignement.
Le fait de ne pas avoir mis sous surveillance active Radouane Lakdim, le tueur de l’Aude, après qu’il ait été convoqué par la DGSI, est indéniablement une erreur.
D’autant qu’il y a des précédents : Adam Djaziri, mort dans l’attentat manqué des Champs-Élysées perpétré le jour de sa convocation par la DGSI ou Mohamed Merah…
http://moreas.blog.lemonde.fr/2018/04/01/la-fiche-s-bien%E2%80%89//

Entre 15 000 et 16 000 hommes, femmes et mineurs, sont aujourd'hui enregistrés au sein du fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
Une précieuse base de données nationale, créée au mois de mars 2015 par un décret non rendu public, et qui recense les islamistes radicaux français ou résidents sur le territoire.
Au mois de novembre dernier, 5 325 « radicalisés » domiciliés à Paris ou dans les sept autres départements franciliens figuraient dans ce fichier : 4 030 d'entre eux font l'objet d'un suivi plus soutenu.
Un chiffre considéré comme « stable » et qui ne semble plus devoir évoluer.
Ces personnes ont été identifiées, notamment après l'exploitation des appels téléphoniques adressés par des particuliers à la plate-forme de signalement du Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR).
[...]
En Ile-de-France, sur les 5 325 inscrits, 4 030 font l'objet d'une prise en compte active par les services antiterroristes.
 
Ce même fichier recense également huit métiers dits à « risque » pour lesquels les radicalisés ainsi recensés sont soit employés sur des « sites sensibles » ou au contact d'un large public.
En Ile-de-France, au regard de la densité du maillage du réseau des transports en commun, c'est dans ce secteur d'activité que le nombre de personnes inscrites au FSPRT est le plus important.
Juste derrière arrivent les métiers de la sécurité privée puis, dans une moindre mesure, les administrations publiques, comme la santé et l'éducation.

Lab2 a écrit:...
Moi ce qui m'interpelle c'est le nombre total, 15 à 16000 individus sur le territoire qui ont été signalés et sont inscrits comme radicalisés à risque.
Ca reste une inscription administrative, il faudrait voir les critères (sans doute larges pour ne pas risquer d'exclure un risque possible ?) et les moyens et modalités de contrôle mais l'ordre de grandeur me laisse songeur.

Eco.foxtrot a écrit:Gentil papa barbe rousse - Sans papier - 5400€/mois à la CAF - 2 femmes - 12 enfants tous fichés S ...

Le mec au poil ....

Eco.foxtrot a écrit:Gentil papa barbe rousse - Sans papier - 5400€/mois à la CAF - 2 femmes - 12 enfants tous fichés S ...

Le mec au poil ....

Kyraly a écrit:Une conséquence de la situation en Allemagne, quand aux agressions en hausse dues à une partie des migrants :

https://www.ouest-france.fr/europe/allemagne/allemagne-patrouilles-d-extreme-droite-apres-des-agressions-par-des-migrants-6157624

Je m'interroge si cette situation est symptomatique d'une montée de l’extrême droite ou le résultat d'une incapacité a gérer le problème par les autorités.  (ou les 2)

Conclusion: Detailed analysis of notification data shows that the tuberculosis situation in Germany is mainly influenced by migratory movements and demographic changes in the population.

Ces infections se sont déjà déclarées dans des camps de réfugiés : la rougeole en France et en Turquie, la gale aux Pays-Bas, la salmonelle en Allemagne et le SAMR, une infection de la peau résistante aux antibiotiques, en Suisse

Une explosion et des coups de feu ont été entendus dans un complexe hôtelier de Nairobi. Il s'agirait du DusitD2, un établissement de luxe fréquenté par de nombreux hommes d'affaires, touristes et vacanciers. 

Mickaël Chiolo, un détenu radicalisé, a donné plusieurs coups de couteau à deux surveillants de la prison d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) ce mardi 5 mars. L’agression s’est déroulée dans une unité de vie familiale, où il venait de passer le week-end avec sa compagne, et où ils étaient tous les deux retranchés. Peu après 19 h 30, le ministre de l’Intérieur a indiqué que les deux suspects avaient été interpellés, blessés, par le Raid. Selon nos informations, la compagne serait décédée.
Un détenu radicalisé a agressé à l’arme blanche deux surveillants  de la prison d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne), « en criant Allahou Akbar », , ce mardi 5 mars, dans la matinée. Les faits se sont déroulés dans l’unité de vie familiale (UVF) de la prison.
Le suspect, qui s’était retranché avec sa compagne, se nomme Mickaël Chiolo, 28 ans, condamné à vingt-huit ans de réclusion. Une peine prononcée en juillet 2014 par la cour d’assises de Moselle pour avoir, en 2012, séquestré, torturé et tué, avec deux complices, un octogénaire dans le but de le voler.
Le détenu et sa compagne ont été interpellés par le Raid dans la soirée, a annoncé le ministre de l’Intérieur. L’intervention a été lancée vers 18 h 30.
La ministre de la Justice Nicole Belloubet a qualifié d' « attaque terroriste » cette agression. Le parquet antiterroriste de Paris s’est saisi de l’enquête dans la matinée. Le détenu aurait déclaré se revendiquer du groupe État islamique, selon nos informations. Lui et sa compagne avaient ensuite annoncé vouloir mourir en martyrs.

Les forces de l'ordre italiennes ont sauvé de justesse 51 collégiens pris en otages et ligotés dans un bus près de Milan. Leur chauffeur, un Italien d'origine sénégalaise, a invoqué le sort des migrants morts en Méditerranée, avant d'incendier le bus, mercredi 20 mars.

Armé de deux bidons d'essence et d'un briquet, il a menacé de massacrer les enfants, leur a pris leurs téléphones portables et a demandé à leurs accompagnateurs de les ligoter à leurs sièges avec du fil électrique. "J'ai perdu trois enfants en mer", a affirmé l'homme

le chauffeur "se retournait et versait de l'essence par terre"et qu'il a aussi brandi "un pistolet et un couteau". "Puis les carabiniers sont arrivés et nous ont sauvés".

le procureur de Milan, Francesco Grec, précisant ne pas exclure "l'hypothèse du terrorisme". 

Le chauffeur, blessé et transporté dans un hôpital pour des brûlures aux mains, a été interpellé sous les chefs de "prise d'otages, massacre et incendie" avec la circonstance aggravante de "terrorisme". Le chef de la cellule antiterroriste de Milan a elle aussi été chargée de l'enquête.

L'objectif de Bâle aurait été choisi pour provoquer une « catastrophe économique », selon le Sunday Times. L'attaque aurait dû avoir lieu en janvier 2019, probablement menée par une cellule opérant depuis l'Allemagne. Mais les plans sont restés vagues. De plus, les réservoirs mentionnés sur les documents avaient déjà été démantelés lorsque Daech a imaginé son projet.

Le BKA a confirmé à la Badische Zeitung l'existence du disque dur et des documents correspondants. Des experts en sécurité de Grande-Bretagne et d'Allemagne sont en train de vérifier l'authenticité des informations qu'ils contiennent. Mais selon les informations de nos collègues allemands, le disque dur pourrait simplement contenir des enregistrements de conversations et d'idées informelles.