[Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
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Olduvaï :: Définition des risques & préparation matérielle (réservé aux membres s'étant présentés) :: Préparation : hygiène & santé :: Santé
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[Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Voilà un sujet qui devrait plaire aux mâles, mais pas que ! On peut s‘interroger sur l’utilité d’une telle démarche : quel est le lien entre la testostérone et l’anticipation des risques ? Un petit tour sur wikipédia permet d’y voir un peu plus clair. On y apprend que la testostérone est une hormone sexuelle, mais aussi un stéroïde anabolisant naturel.
Chez l'homme, la testostérone joue un rôle clé dans la santé et le bien-être, en particulier dans le fonctionnement sexuel. Entre autres exemples ces effets peuvent être une libido plus importante, une énergie accrue, une augmentation de la production de cellules sanguines et une protection contre l'ostéoporose. En moyenne, un homme adulte produit environ 40 à 60 fois plus de testostérone qu'une femme adulte, mais les femmes sont d'un point de vue comportemental (plus que d'un point de vue anatomique ou biologique), plus sensibles à l'hormone. Cependant à l'échelle d'une population, les gammes de concentration pour les hommes et les femmes sont très étendues, de telle sorte qu'elles se chevauchent respectivement pour les valeurs basses et hautes.
Autre passage :
La testostérone et surtout la DHT interviennent dans la virilisation via leur récepteur (la voix devient plus grave, la pousse des poils est stimulée). La testostérone joue un rôle dans le désir sexuel (la libido), de façon certaine chez l'homme, et plus ou moins chez la femme. Son rôle dans l'activité - voire l'agressivité - est établi chez les rats. Contrairement à une croyance populaire, la testostérone n'est pas associée à une augmentation de l'agressivité sauf l'agressivité territoriale chez les animaux. Cependant, elle est associée à la compétition sociale et aux comportements de dominance. Elle augmente durant l'anticipation d'activités sportives et après la victoire. Elle accentue aussi la réaction autonome aux visages menaçants. Elle produit aussi une réduction des réactions de peur et de stress. Elle réduit le
réflexe de sursaut et l'orientation aux stimuli aversifs. Elle réduit aussi la réponse hormonale au stress.
Enfin :
L'apport externe en testostérone a un effet bénéfique sur les sportifs dopés car c'est un psychostimulant qui augmente le potentiel de motivation du sportif. Elle permet également d'augmenter la masse musculaire et la force ainsi que la résistance à la fatigue (augmentation de l'intensité de l'entraînement).
Comme on le voit, la testostérone présente une multitude de propriétés à mêmes de rendre de grands services, aussi bien en situation d’urgence qu'au quotidien :
- rôle virilisant,
- augmentation de la production de cellules sanguines,
- augmentation de l’énergie,
- atténuation des sensations de peur et de stress,
- augmentation de l’esprit de compétition et de domination (des atouts face à un danger),
- psychostimulant,
- augmentation de la motivation,
- augmentation de la masse musculaire,
- augmentation de la force,
- augmentation de la résistance à la fatigue.
Il s’agit donc véritablement d’un dopant naturel, qu’il serait dommage de négliger dans le cadre d’une préparation physique complète.
Malheureusement la production de testostérone est menacée. Des études réalisées auprès de milliers de mâles occidentaux ont montré que son taux est en chute libre ! Quelles sont les raisons de cette véritable débâcle ? Les causes sont multiples mais toutes liées de près ou de loin à notre mode de vie et – plus généralement – à ce que l’on pourrait appeler le progrès. En voici une liste non exhaustive…
- Le travail physique a cédé la place au travail robotisé / mécanisé. Le travailleur du 21e siècle, contrairement à ses prédécesseurs, ne se dépense plus, passe souvent des heures assis devant un écran et n’utilise ainsi qu’une fraction minimale de son potentiel musculaire. Pas d’effort musculaire, pas de testostérone !
- Le progrès, c’est l’électricité dans tous les foyers, et par conséquent la lumière toute la nuit au besoin ! Mais comment dormir et se reposer suffisamment lorsqu’il est possible de se distraire jusqu’à très tard dans la nuit avec sa Xbox, en faisant totale abstraction des cycles naturels jour / nuit ? Pas de sommeil, pas de testostérone !
- L’obésité est devenue une épidémie mondiale, touchant quasiment tous les pays (en tête les USA et les pays arabes). Et qui dit obésité, dit faible taux de testostérone !
- L’alimentation d’antan, riche en cholestérol, a cédé la place à l’alimentation industrielle, riche en hydrates de carbone. Le cholestérol est en outre diabolisé depuis des décennies par une partie du monde médical, qui lui attribue des propriétés néfastes (et en profite au passage pour vendre des pilules miracles contre le cholestérol). Or : pas de cholestérol, pas de testostérone !
- Auparavant marginale, la consommation de drogues de toutes sortes s’est aujourd’hui démocratisée (+50% de consommateurs de cannabis en France par exemple !). Qui dit drogues, dit faible taux de testostérone !
- La présence dans notre environnement de nombreux perturbateurs endocriniens – à commencer par les œstrogènes dans l’eau - fait que la production hormonale des individus mâles est perturbée.
Comment stopper le carnage et se forger - naturellement ! - un taux de testostérone digne d’un guerrier spartiate ? Tout simplement, en suivant les 6 conseils suivants !
1. Faire de l’exercice physique
Plus vous sollicitez votre musculature, plus votre corps doit s’adapter et mettre en place des stratégies pour améliorer son rendement et se rendre la tâche facile. La testostérone est ainsi sécrétée afin de permettre la croissance de la masse musculaire nécessaire à l’accomplissement de l’effort. Attention toutefois au surmenage, car une fatigue excessive perturbe la production hormonale !
2. Dormir longtemps et profondément
La sécrétion de testostérone intervient lors des phases de sommeil profond. Plus vous dormez, plus vous fabriquez de la testostérone !
3. Réduire son taux de graisse corporelle
Les cellules graisseuses produisent quantité d’œstrogènes néfastes. Les individus mâles souffrant d’obésité présentent d’ailleurs systématiquement un taux de testostérone ridiculement bas. Logiquement, moins vous êtes gras, plus vous maintenez un taux de testostérone élevé !
4. Manger du gras !
La testostérone est synthétisée à partir du cholestérol. Consommer des aliments riches en cholestérol (œufs, fromages, poissons, viandes, noix et fruits à coque) est donc parfait pour booster la sécrétion de la fameuse hormone.
5. Adopter une hygiène de vie saine
Ne pas boire, ne pas fumer, ne pas se droguer, telles sont les règles ! Le tabac empêche en effet la conversion du cholestérol en testostérone. Les boissons alcoolisées, sous certaines formes (la bière notamment, sniff…), contiennent des phytœstrogènes (œstrogènes végétaux) qui se transforment facilement en œstrogènes une fois absorbés. Et comme tout le monde le sait, les œstrogènes sont les
ennemis absolus de la testostérone. Quant aux drogues, elles s’attaquent pour la plupart au foie, dont une des fonction est de produire les enzymes à même de combattre les œstrogènes. Droguez-vous, et vous serez sans défense face aux méchantes hormones femelles !
6. Ne pas prendre de compléments hormonaux
Typiquement, les stéroïdes dont se gavent les culturistes inhibent le système endocrinien et la production de testostérone. Cette inhibition, temporaire, peut devenir permanente lorsque les prises de stéroïdes sont répétées et massives. Le phénomène est certes marginal en France et sans doute confiné au milieu culturiste, mais beaucoup plus problématique dans d’autres pays où l’usage des stéroïdes est
largement répandu (cf. l’excellent documentaire Bigger, Stronger, Faster sur la consommation de stéroïdes parmi les culturistes américains). Si le décolleté de Bob (cf. Fight Club) n’est pas une option pour vous, évitez les stéroïdes !
Maintenant vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Rammstein
PS : Ce petit blabla est directement inspiré d’un chapitre de l’excellent ouvrage de Paul "Coach" Wade : C-Mass - Calisthenics-Mass - How to Maximize Muscle.
PS2 : Bigger, Stronger, Faster => https://www.youtube.com/watch?v=IPnT1ZSXfaU
Chez l'homme, la testostérone joue un rôle clé dans la santé et le bien-être, en particulier dans le fonctionnement sexuel. Entre autres exemples ces effets peuvent être une libido plus importante, une énergie accrue, une augmentation de la production de cellules sanguines et une protection contre l'ostéoporose. En moyenne, un homme adulte produit environ 40 à 60 fois plus de testostérone qu'une femme adulte, mais les femmes sont d'un point de vue comportemental (plus que d'un point de vue anatomique ou biologique), plus sensibles à l'hormone. Cependant à l'échelle d'une population, les gammes de concentration pour les hommes et les femmes sont très étendues, de telle sorte qu'elles se chevauchent respectivement pour les valeurs basses et hautes.
Autre passage :
La testostérone et surtout la DHT interviennent dans la virilisation via leur récepteur (la voix devient plus grave, la pousse des poils est stimulée). La testostérone joue un rôle dans le désir sexuel (la libido), de façon certaine chez l'homme, et plus ou moins chez la femme. Son rôle dans l'activité - voire l'agressivité - est établi chez les rats. Contrairement à une croyance populaire, la testostérone n'est pas associée à une augmentation de l'agressivité sauf l'agressivité territoriale chez les animaux. Cependant, elle est associée à la compétition sociale et aux comportements de dominance. Elle augmente durant l'anticipation d'activités sportives et après la victoire. Elle accentue aussi la réaction autonome aux visages menaçants. Elle produit aussi une réduction des réactions de peur et de stress. Elle réduit le
réflexe de sursaut et l'orientation aux stimuli aversifs. Elle réduit aussi la réponse hormonale au stress.
Enfin :
L'apport externe en testostérone a un effet bénéfique sur les sportifs dopés car c'est un psychostimulant qui augmente le potentiel de motivation du sportif. Elle permet également d'augmenter la masse musculaire et la force ainsi que la résistance à la fatigue (augmentation de l'intensité de l'entraînement).
Comme on le voit, la testostérone présente une multitude de propriétés à mêmes de rendre de grands services, aussi bien en situation d’urgence qu'au quotidien :
- rôle virilisant,
- augmentation de la production de cellules sanguines,
- augmentation de l’énergie,
- atténuation des sensations de peur et de stress,
- augmentation de l’esprit de compétition et de domination (des atouts face à un danger),
- psychostimulant,
- augmentation de la motivation,
- augmentation de la masse musculaire,
- augmentation de la force,
- augmentation de la résistance à la fatigue.
Il s’agit donc véritablement d’un dopant naturel, qu’il serait dommage de négliger dans le cadre d’une préparation physique complète.
Malheureusement la production de testostérone est menacée. Des études réalisées auprès de milliers de mâles occidentaux ont montré que son taux est en chute libre ! Quelles sont les raisons de cette véritable débâcle ? Les causes sont multiples mais toutes liées de près ou de loin à notre mode de vie et – plus généralement – à ce que l’on pourrait appeler le progrès. En voici une liste non exhaustive…
- Le travail physique a cédé la place au travail robotisé / mécanisé. Le travailleur du 21e siècle, contrairement à ses prédécesseurs, ne se dépense plus, passe souvent des heures assis devant un écran et n’utilise ainsi qu’une fraction minimale de son potentiel musculaire. Pas d’effort musculaire, pas de testostérone !
- Le progrès, c’est l’électricité dans tous les foyers, et par conséquent la lumière toute la nuit au besoin ! Mais comment dormir et se reposer suffisamment lorsqu’il est possible de se distraire jusqu’à très tard dans la nuit avec sa Xbox, en faisant totale abstraction des cycles naturels jour / nuit ? Pas de sommeil, pas de testostérone !
- L’obésité est devenue une épidémie mondiale, touchant quasiment tous les pays (en tête les USA et les pays arabes). Et qui dit obésité, dit faible taux de testostérone !
- L’alimentation d’antan, riche en cholestérol, a cédé la place à l’alimentation industrielle, riche en hydrates de carbone. Le cholestérol est en outre diabolisé depuis des décennies par une partie du monde médical, qui lui attribue des propriétés néfastes (et en profite au passage pour vendre des pilules miracles contre le cholestérol). Or : pas de cholestérol, pas de testostérone !
- Auparavant marginale, la consommation de drogues de toutes sortes s’est aujourd’hui démocratisée (+50% de consommateurs de cannabis en France par exemple !). Qui dit drogues, dit faible taux de testostérone !
- La présence dans notre environnement de nombreux perturbateurs endocriniens – à commencer par les œstrogènes dans l’eau - fait que la production hormonale des individus mâles est perturbée.
Comment stopper le carnage et se forger - naturellement ! - un taux de testostérone digne d’un guerrier spartiate ? Tout simplement, en suivant les 6 conseils suivants !
1. Faire de l’exercice physique
Plus vous sollicitez votre musculature, plus votre corps doit s’adapter et mettre en place des stratégies pour améliorer son rendement et se rendre la tâche facile. La testostérone est ainsi sécrétée afin de permettre la croissance de la masse musculaire nécessaire à l’accomplissement de l’effort. Attention toutefois au surmenage, car une fatigue excessive perturbe la production hormonale !
2. Dormir longtemps et profondément
La sécrétion de testostérone intervient lors des phases de sommeil profond. Plus vous dormez, plus vous fabriquez de la testostérone !
3. Réduire son taux de graisse corporelle
Les cellules graisseuses produisent quantité d’œstrogènes néfastes. Les individus mâles souffrant d’obésité présentent d’ailleurs systématiquement un taux de testostérone ridiculement bas. Logiquement, moins vous êtes gras, plus vous maintenez un taux de testostérone élevé !
4. Manger du gras !
La testostérone est synthétisée à partir du cholestérol. Consommer des aliments riches en cholestérol (œufs, fromages, poissons, viandes, noix et fruits à coque) est donc parfait pour booster la sécrétion de la fameuse hormone.
5. Adopter une hygiène de vie saine
Ne pas boire, ne pas fumer, ne pas se droguer, telles sont les règles ! Le tabac empêche en effet la conversion du cholestérol en testostérone. Les boissons alcoolisées, sous certaines formes (la bière notamment, sniff…), contiennent des phytœstrogènes (œstrogènes végétaux) qui se transforment facilement en œstrogènes une fois absorbés. Et comme tout le monde le sait, les œstrogènes sont les
ennemis absolus de la testostérone. Quant aux drogues, elles s’attaquent pour la plupart au foie, dont une des fonction est de produire les enzymes à même de combattre les œstrogènes. Droguez-vous, et vous serez sans défense face aux méchantes hormones femelles !
6. Ne pas prendre de compléments hormonaux
Typiquement, les stéroïdes dont se gavent les culturistes inhibent le système endocrinien et la production de testostérone. Cette inhibition, temporaire, peut devenir permanente lorsque les prises de stéroïdes sont répétées et massives. Le phénomène est certes marginal en France et sans doute confiné au milieu culturiste, mais beaucoup plus problématique dans d’autres pays où l’usage des stéroïdes est
largement répandu (cf. l’excellent documentaire Bigger, Stronger, Faster sur la consommation de stéroïdes parmi les culturistes américains). Si le décolleté de Bob (cf. Fight Club) n’est pas une option pour vous, évitez les stéroïdes !
Maintenant vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Rammstein
PS : Ce petit blabla est directement inspiré d’un chapitre de l’excellent ouvrage de Paul "Coach" Wade : C-Mass - Calisthenics-Mass - How to Maximize Muscle.
PS2 : Bigger, Stronger, Faster => https://www.youtube.com/watch?v=IPnT1ZSXfaU
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Rammstein- Membre fondateur
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Date d'inscription : 07/11/2006
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Salut,
Mes souvenirs d'endocrino commencent à dater, mais j'ai tendance à avoir des doutes: dans mon souvenir, la testostérone est régulée par rétroaction négative, ce qui a deux implications: il ne devrait pas être aisé de la faire varier simplement dans des proportions appréciables; un apport externe ou une augmentation "non-naturelle" (pour autant que ça ait un sens) va mécaniquement faire baisser celle qui est produite naturellement (je crois qu'on a un temps étudié la possibilité d'apports de testostérone comme contraceptif masculin)...
Mes souvenirs d'endocrino commencent à dater, mais j'ai tendance à avoir des doutes: dans mon souvenir, la testostérone est régulée par rétroaction négative, ce qui a deux implications: il ne devrait pas être aisé de la faire varier simplement dans des proportions appréciables; un apport externe ou une augmentation "non-naturelle" (pour autant que ça ait un sens) va mécaniquement faire baisser celle qui est produite naturellement (je crois qu'on a un temps étudié la possibilité d'apports de testostérone comme contraceptif masculin)...
Cyrus_Smith- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
- Nombre de messages : 2252
Localisation : Île mystérieuse
Date d'inscription : 02/09/2011
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Un petit complément sur ce point : manger du gras n'est forcément synonyme de prise de poids ou de danger pour la santé.Rammstein a écrit:
4. Manger du gras !
La testostérone est synthétisée à partir du cholestérol. Consommer des aliments riches en cholestérol (œufs, fromages, poissons, viandes, noix et fruits à coque) est donc parfait pour booster la sécrétion de la fameuse hormone.
Quelques éléments rapides sur ce point :
- à propos de prise de poids : une étude a suivi trois groupes : l'un avec un régime pauvre en graisses mais contenant des hydrates de carbone, l'autre avec un régime pauvre en hydrates de carbone mais contenant des graisses, et le troisième le groupe témoin. Les membres des 2 régimes avaient perdu du poids, à peu près dans les mêmes proportions... mais il y avait beaucoup moins d'abandons dans celui contenant des graisses. Il semblerait donc qu'on se passe plus facilement d'hydrates de carbone que de gras !
- bon gras/mauvais gras : diverses études ont montré les effets néfastes des acides gras saturés et des omega 6. Ils sont liés à des phénomènes inflammatoires et différents problèmes de santé. A l'inverse, les acides gras mono-insaturés et poly-insaturés ne posent pas de problème voire sont franchement bénéfiques (omega 3). Il semblerait donc qu'on ait intérêt : à réduire sa prise de gras d'origine animale (viande, produits laitiers), éviter les graisses végétales saturées ou riches en omega 6 (notamment graisse de palme, huile d'arachide, huile de tournesol) et à augmenter le gras sous forme d'huile d'olive, huiles de colza, et plus particulièrement d'huiles de cameline et de lin (très riches en omega 3) ; ainsi que poissons, fruits de mers. Les huiles de cameline et de lin se trouvent en magasin bio ; les omega 3 sont des acides gras fragiles, donc conserver l'huile au frigo et ne pas la faire cuire.
- A noter aussi : l'excès de viande n'est pas seulement un problème pour le choléstérol, mais est aussi statistiquement associé à diverses maladies de société (cancers, maladies cardiovasculaires), et tout bêtement à l'excès d'urée qui conduit à la goutte, maladie particulièrement déplaisante (gonflement des articulations, fortes douleurs) !
On retrouve donc l'intérêt du régime méditerranéen.
Donc, ok, mangez gras, mais évitez quand même que ça soit exclusivement sous forme de frites, viande, beurre, fromage, huile d'arachide ou de tournesol ! Préférez les sources que j'ai citées ci-dessus.
Sources : livres du Pr de Lorgeril et de Thierry Souccar, que j'ai déjà dû citer par ici !
Et pour être prosaïque : atrophie des testicules, qui est en principe réversible mais comme tu le dis, peut devenir permanente en cas de prises répétées.6. Ne pas prendre de compléments hormonaux
Typiquement, les stéroïdes dont se gavent les culturistes inhibent le système endocrinien et la production de testostérone. Cette inhibition, temporaire, peut devenir permanente lorsque les prises de stéroïdes sont répétées et massives
Barnabé- Membre Premium
- Nombre de messages : 5313
Localisation : Massif Central
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Intéressant Rammstein merci
Je constate que beaucoup de facteurs dépendent de l'exercice physique:
Si tu fais de l'exercice:
- Tu dors bien mieux. (Fatigue saine)
- Tu perds de la masse graisseuse.
- Si tu perds de la masse graisseuse tu peux te permettre de manger plus de matière grasse.
Concernant l'hygiène de vie, on peut dire que l'exercice physique y participe aussi.
Certes, fumer, se droguer et boire à l'excès il vaut mieux aussi éviter.
Faire de l'exercice physique est donc indispensable.
Cela me fait penser à Argoth qui a su trouver la volonté pour s'y mettre.
https://www.le-projet-olduvai.com/t8882-ma-bedaine-et-moi
Je suis moi-même en réflexion à ce sujet car à part faire du jardin et du bricolage je ne fais pratiquement plus de sport. Va falloir que j'y pense sérieusement et tu viens d'enfoncer le clou.
Je constate que beaucoup de facteurs dépendent de l'exercice physique:
Si tu fais de l'exercice:
- Tu dors bien mieux. (Fatigue saine)
- Tu perds de la masse graisseuse.
- Si tu perds de la masse graisseuse tu peux te permettre de manger plus de matière grasse.
Concernant l'hygiène de vie, on peut dire que l'exercice physique y participe aussi.
Certes, fumer, se droguer et boire à l'excès il vaut mieux aussi éviter.
Faire de l'exercice physique est donc indispensable.
Cela me fait penser à Argoth qui a su trouver la volonté pour s'y mettre.
https://www.le-projet-olduvai.com/t8882-ma-bedaine-et-moi
Je suis moi-même en réflexion à ce sujet car à part faire du jardin et du bricolage je ne fais pratiquement plus de sport. Va falloir que j'y pense sérieusement et tu viens d'enfoncer le clou.
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“Plus un homme est bête et moins l'existence lui semble mystérieuse.” Arthur Shopenhauer
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Les choses nécessaires coûtent peu, les choses superflues coûtent cher. Diogène
Aristote- Modérateur
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Loisirs : Oenophile et trollicide
Date d'inscription : 08/11/2012
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
en fait je fais la même erreur que toi Aristote . J'ai une vie quotidienne dynamique , mais depuis 10 ans je ne fais plus de sport proprement dit , un peu de ski , un peu de marche …mais rien d'habituel ni de conséquent .
Et c'est aussi l'avis de mon toubib , qui m'a dit que au-delà du dynamisme quotidien dans mon boulot , il fallait aussi faire du sport pour faire du sport avec l'esprit qui va avec .
Et c'est aussi l'avis de mon toubib , qui m'a dit que au-delà du dynamisme quotidien dans mon boulot , il fallait aussi faire du sport pour faire du sport avec l'esprit qui va avec .
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Cela aussi passera
serilynpayne- Animateur
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Emploi : éleveur de biches
Date d'inscription : 16/11/2008
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
+1 On fait un club ?
albertspetz- Membre Premium
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Date d'inscription : 14/06/2012
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Pour commencer
Quel est votre niveau de condition physique?
Le test de Ruffier
Protocole:
Quel est votre niveau de condition physique?
Le test de Ruffier
Protocole:
- Allongez-vous au calme pendant 5mn puis prenez votre pouls pendant 30 secondes. Multipliez ensuite le résultat obtenu par 2 pour avoir votre battements par minute => exemple 30×2=60 bpm. Ce résultat obtenu est appelé P1
- Réalisez 30 flexions complètes (descendez et remontez avec les pieds à plat au sol et les bras tendus vers l’avant) en 45 secondes
- Reprenez directement votre pouls à la fin de ces 30 flexions => le résultat obtenu est appelé P2
- Allongez-vous à nouveau pendant 1mn et reprenez une dernière fois votre pouls. Le résultat obtenu est appelé P3
Voici maintenant le calcul à effectuer
(P1+P2+P3)-200/10
Par exemple => (60+120+65)-200/10 = 4,5
Et voici le tableau de correspondance des valeurs - Si votre indice est entre 0 et 3 => votre condition physique est très bonne
- Si votre indice est entre 3 et 8 => votre condition physique est bonne
- Si votre indice est entre 8 et 15 => votre condition physique est moyenne
- Si votre indice est entre 15 et 20 => votre condition physique est médiocre
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Je souffre depuis maintenant probablement plus de cinq ans d'un déficit en testostérone. Assez vite au vu des symptômes le médecin généraliste m'a fait vérifier au labo ma testo. qui était plutôt basse mais considérée comme normale pour mon age. J'ai appliqué les méthodes décrites au premier message du fil sur deux ans en vain => baisse bien trop rapide de mes capacités en vélo et surtout en natation que je pratique plus sérieusement. Il y a surtout très grande fatigabilité, une fatigue qui résiste anormalement au sommeil. Je me suis forcé sur les entrainements jusqu'à il y a deux ans, là j'ai jeté l'éponge: Face à l'absence de réponse de mon métabolisme à des pratiques éprouvées, pire au déclin sensible, il y avait forcément quelque chose qui clochait. Je n'ai pas accepté le diagnostic "vous vieillissez acceptez-le".
Ma femme s'est renseignée dans son service à l’hôpital, avec un conjoint soignant on n'est plus tout à fait égal aux autres. Direction un spécialiste hospitalier en endocrinologie et andrologie qui détecte lui un problème : Presque pas de testo. bio-diponible. La testostérone se transforme normalement en testo. bio-diponible, c'est celle qui sera utilisée. C'est cette testo.bio-disponible qui compte et seulement celle-là et en temps normal la perte est déjà élevée, il en reste normalement - de 10 % pour tout le monde. Or je n'en transforme presque pas, à ce point là ce n'est plus du ressort du généraliste et du labo de ville.
Depuis 18 mois injections d'hormone de synthèse qui ne résolvent pas tout. Après 18 mois il faut admettre que la fonte musculaire continue et son corollaire la prise de graisse. J'ai fréquenté un salle de gym et musculation 9 mois sans progrès, plutôt que de lever de la fonte pour rien j'ai fini par ne plus faire que de la gym pour maintenir l'agilité. Je ne peux toujours nager guère qu'une heure et sans forcer, mon circuit habituel à vélo (pour les parisiens: le tour du bois de Vincennes en partant de Bercy) d'environ 30 kilomètres en vélo de ville* me fatigue beaucoup sans qu'une sieste suffise à récupérer.
L'endocrinologue ne veut pas voir plus loin : "vos taux sont normaux maintenant, au delà c'est du dopage".
Retour à l'hosto : madame à trouvé LE service de pointe, j'y vais avec une ordonnance ... d'une gynécologue de sa maternité!
Après une batterie d'examens sur lesquels je passerai une anomalie de fonctionnement de l'hypophyse est détectée, pas forcément résolvable, et il faut revoir l'équilibre du traitement en cours (fréquence, dose) qui est perfectible. Les examens ont été passés deux fois : une fois avec traitement et une deuxième après 7 semaines d'arrêt soit plus qu'il ne faut pour ne plus avoir d'effet. A partir de la sixième semaine d’arrêt je ne pouvais plus travailler, surtout assumer les longs transports debout en métro nécessaires.
J'en suis là, le rendez vous est dans quelques semaines pour revoir le protocole et un éventuel passage à l'hormone de croissance .
L'endocrinologie c'est visiblement très compliqué, au delà même des connaissances d'un médecin généraliste, alors méfiance avec les bonnes recettes, les "il n'y a ka" et le sport qui résout tout...
*Ce qui correspond au maintiens de la pratique nécessaire pour aller travailler à l'aise à vélo en faisant une grande transversale de Paris en cas de blocage des transports. Trajet qui serait nettement moins long mais plus éprouvant avec arrêts et relances incessantes.
Ma femme s'est renseignée dans son service à l’hôpital, avec un conjoint soignant on n'est plus tout à fait égal aux autres. Direction un spécialiste hospitalier en endocrinologie et andrologie qui détecte lui un problème : Presque pas de testo. bio-diponible. La testostérone se transforme normalement en testo. bio-diponible, c'est celle qui sera utilisée. C'est cette testo.bio-disponible qui compte et seulement celle-là et en temps normal la perte est déjà élevée, il en reste normalement - de 10 % pour tout le monde. Or je n'en transforme presque pas, à ce point là ce n'est plus du ressort du généraliste et du labo de ville.
Depuis 18 mois injections d'hormone de synthèse qui ne résolvent pas tout. Après 18 mois il faut admettre que la fonte musculaire continue et son corollaire la prise de graisse. J'ai fréquenté un salle de gym et musculation 9 mois sans progrès, plutôt que de lever de la fonte pour rien j'ai fini par ne plus faire que de la gym pour maintenir l'agilité. Je ne peux toujours nager guère qu'une heure et sans forcer, mon circuit habituel à vélo (pour les parisiens: le tour du bois de Vincennes en partant de Bercy) d'environ 30 kilomètres en vélo de ville* me fatigue beaucoup sans qu'une sieste suffise à récupérer.
L'endocrinologue ne veut pas voir plus loin : "vos taux sont normaux maintenant, au delà c'est du dopage".
Retour à l'hosto : madame à trouvé LE service de pointe, j'y vais avec une ordonnance ... d'une gynécologue de sa maternité!
Après une batterie d'examens sur lesquels je passerai une anomalie de fonctionnement de l'hypophyse est détectée, pas forcément résolvable, et il faut revoir l'équilibre du traitement en cours (fréquence, dose) qui est perfectible. Les examens ont été passés deux fois : une fois avec traitement et une deuxième après 7 semaines d'arrêt soit plus qu'il ne faut pour ne plus avoir d'effet. A partir de la sixième semaine d’arrêt je ne pouvais plus travailler, surtout assumer les longs transports debout en métro nécessaires.
J'en suis là, le rendez vous est dans quelques semaines pour revoir le protocole et un éventuel passage à l'hormone de croissance .
L'endocrinologie c'est visiblement très compliqué, au delà même des connaissances d'un médecin généraliste, alors méfiance avec les bonnes recettes, les "il n'y a ka" et le sport qui résout tout...
*Ce qui correspond au maintiens de la pratique nécessaire pour aller travailler à l'aise à vélo en faisant une grande transversale de Paris en cas de blocage des transports. Trajet qui serait nettement moins long mais plus éprouvant avec arrêts et relances incessantes.
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"Ne participez pas à l’économie sans nécessité. Achetez aussi peu que possible. Réutilisez autant que vous le pouvez. Réduisez vos besoins physiques. Établissez des plans pour les réduire davantage" (Dimitri Orlov)
Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Oui effectivement cela peut fatiguer beaucoup le corps et le portefeuille!Philippe a écrit:" ...mon circuit habituel à vélo...le tour du bois de Vincennes...me fatigue beaucoup..."
Plus sérieusement ,soigne toi bien et bon courage pour la suite!
troisgriffes- Membre
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[Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
https://www.le-projet-olduvai.com/t8958-technique-augmenter-naturellement-sa-production-de-testosterone
> Cyrus : effectivement la testosterone, comme la quasitotalité de ce qui est geré par l'axe hypothalamus-hypohysaire, produit un retrocontrole pour revenir à sa valeur de consigne.
(Hypothalamus stimule Hypophyse par GnRH, production de LH, stimulation de la production de testosterone par les testicules, retrocontrole de la testosterone sur l'hypothalamus et l'hypophyse)
Source : SVT 1ère S i.e.
En revanche la valeur de consigne peut varier (legerement) si il y a des changements dans le rythme de vie. Le sport augmente les taux (source ie), mais amha ca reste ponctuel si vous n'êtes pas un coureur de fond semi-pro.
D'autres facteurs "consomment" votre testosterone. La régulation des steroides est très complexe, mais pour faire un gros raccourci, si vous fabriquez un steroide, c'est souvent au détriment des autres. Par exemple, si vous vous forcez à avoir des forts taux de cortisol (stress, manque de sommeil), vous diminuez votre testosterone.
Pour avoir un ordre d'idée sur les stéroides, schema. Pas sur que votre cholesterol arrive jusqu'à la testosterone . Chose importante, à la dernière étape, des enzymes appelées aromatases peuvent dégrader votre testosterone en oestrogenes. Ces enzymes sont présentes en quantité dans le tissu adipeux (graisseux). Le surpoids, et surtout l'obesité font donc diminuer la testo disponible. Wiki
Donc, mes deux sous, amha vivez sainement et de manière equilibrée, mais ca vous le saviez déjà
Bon rétablissement Philippe.
PS: sinon la meilleure façon d'augmenter sa testosterone, c'est l'abstinence sexuelle totale. Au milieu de stimuli exterieurs c'est encore mieux. Si si
> Cyrus : effectivement la testosterone, comme la quasitotalité de ce qui est geré par l'axe hypothalamus-hypohysaire, produit un retrocontrole pour revenir à sa valeur de consigne.
(Hypothalamus stimule Hypophyse par GnRH, production de LH, stimulation de la production de testosterone par les testicules, retrocontrole de la testosterone sur l'hypothalamus et l'hypophyse)
Source : SVT 1ère S i.e.
En revanche la valeur de consigne peut varier (legerement) si il y a des changements dans le rythme de vie. Le sport augmente les taux (source ie), mais amha ca reste ponctuel si vous n'êtes pas un coureur de fond semi-pro.
D'autres facteurs "consomment" votre testosterone. La régulation des steroides est très complexe, mais pour faire un gros raccourci, si vous fabriquez un steroide, c'est souvent au détriment des autres. Par exemple, si vous vous forcez à avoir des forts taux de cortisol (stress, manque de sommeil), vous diminuez votre testosterone.
Pour avoir un ordre d'idée sur les stéroides, schema. Pas sur que votre cholesterol arrive jusqu'à la testosterone . Chose importante, à la dernière étape, des enzymes appelées aromatases peuvent dégrader votre testosterone en oestrogenes. Ces enzymes sont présentes en quantité dans le tissu adipeux (graisseux). Le surpoids, et surtout l'obesité font donc diminuer la testo disponible. Wiki
Donc, mes deux sous, amha vivez sainement et de manière equilibrée, mais ca vous le saviez déjà
Bon rétablissement Philippe.
PS: sinon la meilleure façon d'augmenter sa testosterone, c'est l'abstinence sexuelle totale. Au milieu de stimuli exterieurs c'est encore mieux. Si si
Phil- Membre Premium
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Date d'inscription : 16/11/2014
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Oubli: faut pas oublier non plus que ce n'est pas pour rien qu'il y a ce retrocontrole. L'excès de testosterone (on s'entend hein, sur le long cours, par voie médicamenteuse sans justification) expose à des risques cardiovasculaires, cancer hormonodependants (prostate). Sans parler de l'agressivité.
Phil- Membre Premium
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Date d'inscription : 16/11/2014
Re: [Technique] Augmenter naturellement sa production de testostérone
Phil a écrit:
Bon rétablissement Philippe.
Merci mais c'est une maladie chronique avec un traitement à vie, du moins jusqu'à l'apparition d'autres problèmes qui interdiraient une hormonothérapie.
Donc je me limite à :
- Améliorer le protocole avec l'endocrinologue de l’hôpital pour mieux vivre dès qu'il s'agit de faire un peu plus que le quotidien.
- Accepter mes nouvelles limites et en tirer parti au mieux. Le traitement est à effet linéaire et ne permet pas de faire face au pics d'où la limite de durée pour l'effort et le temps élevé de récupération.
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"Ne participez pas à l’économie sans nécessité. Achetez aussi peu que possible. Réutilisez autant que vous le pouvez. Réduisez vos besoins physiques. Établissez des plans pour les réduire davantage" (Dimitri Orlov)
Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Loisirs : Natation, vélo (déplacements non sportifs)
Date d'inscription : 24/08/2013
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