Épidémie/pandémie de Coronavirus/Covid 19 [Tome 3]

Un « pass sanitaire » pourrait être mis en place à la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés par la pandémie de Covid-19. Emmanuel Macron a annoncé jeudi qu’une réunion avec des membres du gouvernement se tiendra la semaine prochaine à ce sujet.

La mise en œuvre d’un tel instrument « va poser beaucoup de questions techniques, de respect des données individuelles, d’organisation de nos libertés » et, pour cela, « il faut (la) préparer dès maintenant techniquement, politiquement, juridiquement », a expliqué le président au cours d’une conférence de presse à l’issue de la première journée d’une visioconférence entre les 27 dirigeants de l’Union européenne.

« Je sens qu’il y a beaucoup de confusion parfois sur ce sujet », a-t-il ajouté, en insistant sur le fait que le pass sanitaire « ne sera pas uniquement lié à la vaccination ».

Car, a-t-il argumenté, « si on arrive à rouvrir certains lieux, nous ne saurions conditionner leur accès à une vaccination, alors même que nous n’aurions même pas ouvert la vaccination aux plus jeunes »

Parallèlement, les dirigeants européens ont discuté jeudi de la mise en œuvre d’un certificat vaccinal qui permettra de « réorganiser la circulation entre États de manière plus fluide » lorsque les restrictions aux frontières seront levées

« Nous devons éviter que chaque pays développe son propre système » et pour cela « travailler à une certification médicale commune », a indiqué le président français.

Le gouvernement central de Madrid a fait savoir qu'il ne souhaitait pas rendre la vaccination contre le Covid-19 obligatoire.

Mardi en Galice, communauté autonome au nord-ouest du pays, des députés ont voté une loi qui sanctionnera par une amende un « refus injustifié » de la vaccination contre une « maladie infectieuse transmissible ».

Le texte, qui n'est pas encore en vigueur, prévoit également des sanctions pour le non-respect d'autres mesures visant à lutter contre la pandémie.

Cette loi doit s'appliquer uniquement en Galice, une communauté autonomone au nord-ouest du pays. 41 députés du Parti populaire (droite) ont voté mardi en faveur d'une rectification de la loi sanitaire de 2008. La loi n'étant pas encore parue au journal officiel de Galice, elle n'est pas encore entrée en vigueur. 

Le texte dresse en réalité une nouvelle série d'infractions, pour un contexte d'épidémie, dont un « refus injustifié » de se soumettre à la vaccination pour « prévenir ou contrôler une maladie infectieuse transmissible ». Le texte ne définit pas quels motifs pourraient justifier un refus.

Là encore, on observe un plateau du nombre de décès, mais à un niveau effrayant de 400 morts par jour. Et presque plus personne n’en parle…
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Le « pari » de Macron d’un laissez-faire maximal est criminel, nous condamnant déjà de façon certaine à cette vie mise en parenthèses pour encore plusieurs mois. Le premier confinement a divisé le nombre de morts par 50, le deuxième par 2, montrant bien la priorité accordée au patronat, qui se traduira par de nombreux morts et une récession profonde. Nous vous renvoyons d’ailleurs à cet article de Frédéric Lordon, si bien nommé « Les Sociopathes, de France Telecom à Macron. »

Cette doctrine de « Vivre avec le virus » alors que la stratégie gagnante sur la planète est « Vivre sans le virus », appliquée en Asie et en Océanie, où les gens vivent normalement après quelques efforts, sans dommages économiques ni mentaux.

Les économistes ont montré que cette stratégie Zéro Covid (qui n’est pas une éradication totale, mais un maintien à des taux très très bas) était gagnante sur les plans sanitaires, psychologiques et économiques :

• Une note économique de Natixis estime que le choix européen de ne pas avoir recouru à la stratégie Zéro Covid est « difficile à comprendre » et apparaît comme « une erreur » (source)
  
• « La stratégie zéro Covid a montré sa supériorité sur les plans sanitaire et économique » (source)
  
• Le cabinet McKinsey conseillait en août dernier une stratégie Zéro Covid pour des raisons économiques. Ils indiquaient que le coût d’une telle politique était très élevé mais moins que de vivre avec le virus. (source)
  

tarsonis a écrit:Petit décryptage des influenceurs qui servent la soupe au gouvernement...

KrAvEn a écrit:...
En résumé on fait combattre un poids lourd contre un poids léger ; c'est très inégal et pathétique. 
...

Un an après le début de la pandémie et le premier confinement, le nombre de victimes franchit le seuil des 100.000 et celui des contagions rebondit à nouveau. Le gouvernement pourrait placer prochainement toute la péninsule en zone rouge, tout en accélérant la campagne de vaccination. L'enseignement à distance redevient la règle pour six millions d'écoliers.

L’Agence régionale de santé d’Île-de-France a annoncé aujourd’hui avoir donné « l’ordre ferme » aux hôpitaux et cliniques de la région de déprogrammer 40 % de leurs activités médicales et chirurgicales pour augmenter le nombre de lits de réanimation disponibles pour les malades du Covid-19. 960 personnes étaient en réanimation en raison du Covid-19 en Île-de-France hier soir, selon le ministère de la Santé, contre 814 il y a une semaine.

Interactions between air pollutants and SARS-CoV-2 are summarised in figure 2. Existing literature suggests that PM and gaseous pollutants may act on COVID-19 in several ways. Air pollution may increase COVID-19 morbidity and mortality through its action on associated comorbidities. Experimental studies conducted for other respiratory viruses support the hypothesis that air pollution exposure may facilitate the occurrence of COVID-19 infection through a decrease in immune response. In vitro, animal and human studies have reported that exposure to air pollutants leads to increased mucosal permeability and oxidative stress, decreased antioxidants and surfactant antimicrobial proteins, as well as impaired macrophage phagocytosis. In addition, SARS-CoV-2 entry in host cells through ACE 2 requires the cleavage of the viral spike protein by proteases, and such protease activity may be increased by air pollution, as is documented for several other respiratory viruses. 

Les interactions entre les polluants atmosphériques et le SRAS-CoV-2 sont résumées dans la figure 2. Littérature existante

suggère que les particules et les polluants gazeux peuvent agir sur le COVID-19 de plusieurs manières. La pollution atmosphérique peut

augmenter la morbidité et la mortalité du COVID-19 grâce à son action sur les comorbidités associées. Expérimental

les études menées pour d'autres virus respiratoires soutiennent l'hypothèse selon laquelle l'exposition à la pollution de l'air peut

faciliter la survenue d'une infection au COVID-19 grâce à une diminution de la réponse immunitaire. In vitro, animal

et des études humaines ont montré que l'exposition aux polluants atmosphériques entraîne une augmentation de la perméabilité des muqueuses

et stress oxydatif, diminution des antioxydants et des protéines antimicrobiennes tensioactives, ainsi que

phagocytose des macrophages. De plus, l'entrée du SARS-CoV-2 dans les cellules hôtes via ACE 2 nécessite le

clivage de la protéine de pointe virale par des protéases, et une telle activité de protéase peut être augmentée par voie aérienne

pollution, comme cela est documenté pour plusieurs autres virus respiratoires.

Kyraly a écrit:Ce qui au vu des récents épisodes de pollutions + de simoun des 2 dernières semaines, pourrait expliquer la stagnation actuelle des cas au lieu de la décrue amorcée, selon le tableau de 10000 etres.

Résilient a écrit:Il y a certainement les causes de décès inscrites sur les certificats qui doivent jouer sur les chiffres aussi...

Points clés

Métropole

• Surveillance de la grippe depuis la semaine 40.
  
• Pas de circulation active des virus grippaux identifiée par les réseaux de surveillance dédiés, seuls 24 virus grippaux détectés (22 en milieu hospitalier et 2 par le réseau Sentinelles) dans différentes régions dont au moins 2 chez des personnes de retour d’un voyage à l’étranger.
  

Outre-mer

• Pas de virus grippaux détectés par les réseaux de surveillance dédiés ces dernières semaines..."
  

"...L’épidémie de COVID-19 en France

Le point sur la situation (9 mars 2021)

Les États-Unis font un premier pas vers un retour à la normale. Ils autorisent les personnes vaccinées contre le Covid-19 à se réunir sans masque entre elles, ou avec des personnes non vaccinées d’un seul autre foyer à la fois.

« Les personnes vaccinées peuvent se réunir entre elles par petits groupes en intérieur sans porter de masque et sans respecter la distanciation physique », ont annoncé les autorités sanitaires américaines. « Elles peuvent également se réunir sans masque avec des personnes non vaccinées d'un seul autre foyer à la fois, si celles-ci ne présentent pas de facteurs de risque au Covid-19 », a déclaré Rochelle Walensky, la directrice des Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies (CDC).
.....
Les personnes vaccinées n'ont également plus besoin de se mettre en quarantaine ou de se faire tester si elles ne présentent pas de symptômes après avoir été en contact avec quelqu'un atteint du Covid-19.

Une personne vaccinée est une personne ayant attendu deux semaines après avoir reçu les deux doses des vaccins de Pfizer/BioNTech ou de Moderna, ou deux semaines après la dose unique du vaccin de Johnson & Johnson. Pour l'instant seuls ces trois vaccins ont été autorisés en urgence aux États-Unis.

En plus d'être plus contagieux, le variant britannique serait aussi plus mortel, alerte une étude anglaise publiée mercredi, qui confirme de premières observations faites fin janvier.

Selon les auteurs de l'étude publiée dans la revue médicale BMJ, le variant britannique, apparu fin décembre, serait 64% plus mortel que le coronavirus classique. Ils ont analysé 1 000 cas détectés, dans lesquels le variant anglais a provoqué 4,1 morts, contre 2,5 pour le coronavirus classique.

DNA a écrit:Selon les auteurs de l'étude publiée dans la revue médicale BMJ, le variant britannique, apparu fin décembre, serait 64% plus mortel que le coronavirus classique. Ils ont analysé 1 000 cas détectés, dans lesquels le variant anglais a provoqué 4,1 morts, contre 2,5 pour le coronavirus classique.

Results

Overall, 941 518 patients older than 30 had a single positive TaqPath test result between 1 October 2020 and 28 January 2021 (fig 1). From these, 214 082 people were identified who matched with at least one other individual on age, date of specimen collection, sex, ethnicity, geographical location, and index of multiple deprivation, and differing only by S gene status. Sampling these pairs to ensure they represented unique people resulted in 50 replicates with an average of 54 906 S gene positive people and 54 906 S gene negative people in each replicate. Every person was followed-up for a minimum of 14 days after their first positive test result, and more than 85% of the cases were followed for the whole 28 day period (see supplementary file for further details).

Of these 109 812 participants, 367 died (averaged over the 50 replicates) within 28 days of a positive covid-19 test result (0.3%) (table 1). The matching and sampling process is observed to control well for all personal and geographical variables considered (with slight mismatches owing to differences in scale from matching and reporting). When a tolerance of five years was allowed for matching age the average difference between study arms was 0.0 years, and when a tolerance of one day was allowed for matching specimen date a mean difference of 0.2 days was observed (with S gene negative specimens taken later than S positive specimens).

Une incohérence géographique

Très difficile d'enquêter en Chine