De quoi meurt-on ?
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Re: De quoi meurt-on ?
Il est inéluctable mourir...Quand nombre de pathologies se soignent on fini par mourir tous + ou - des mêmes choses. Au pire comme ma grand-mère à 94 ans comme a dit le médecin usure généralisée ou la cause précise ne compte plus.
________________________________________________________
"Ne participez pas à l’économie sans nécessité. Achetez aussi peu que possible. Réutilisez autant que vous le pouvez. Réduisez vos besoins physiques. Établissez des plans pour les réduire davantage" (Dimitri Orlov)
Philippe-du-75013- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Re: De quoi meurt-on ?
À en croire cet article (anglais), aux USA au moins un décès sur dix dans la population adulte hors personnes âgées (la tranche des 20 à 64 ans) serait imputable à une consommation excessive d'alcool.
Cyrus_Smith- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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troisgriffes- Membre
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Re: De quoi meurt-on ?
D'après une étude publiée récemment, l'excès de sel serait responsable de 1,65 million de morts par an dans le monde, car il cause de l'hypertension et des maladies et accidents cardio-vasculaires.
La consommation de sodium dans le monde varie de 2,18 à 5,51 g/jour, avec une moyenne à 3,95 g/jour ; c'est donc près du double de la recommandation de l'OMS de 2 g/jour.
Parmi les morts de cause cardiovasculaire, près d'1 sur 10 serait imputable à l'excès de sel.
Parmi celles-ci, 84 % de ces morts sont dans des pays à revenu bas ou moyen ; ce n'est donc pas seulement une maladie de riches.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/08/17/22705-lexces-sel-16-million-morts-par-an
Le texte direct de l'étude : http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1304127#methods%23t=references&t=articleResults
en pdf (si le lien direct fonctionne) : http://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa1304127
L'éditorialiste de la revue qui a publié cette étude, Le New England Journal of Medecine, rappelle que les chiffres sont à prendre avec prudence, car de nombreuses hypothèses ayant été prises pour compenser le manque de statistiques fiables.
Pour autant, si les risques de la consommation de sel sont bien documentés, c'est la première fois qu'une étude essaie d'en dresser ainsi le bilan mondial. Même si les chiffres ne sont pas à prendre au pied de la lettre, les ordres de grandeur sont sans doute corrects et nous alertent (une fois de plus) sur le danger du sel.
A noter qu'il ne faut pas confondre sodium et sel (comme le font une grande partie des médias qui rapportent cette étude...) : le sel de table contient environ 39 % de sodium (en masse). Donc, 1 g de sel contient 0,39 g de sodium, et réciproquement, pour avoir un apport de 1g de sodium il faut 1/0,39 = 2,56 g de sel de table.
Ainsi, "L'Organisation mondiale de la santé recommande un apport quotidien de 2 grammes de sodium, soit un peu plus de 5 grammes de sel de table".
Même si on ne sale pas à table, il y a beaucoup de chances de consommer trop de sel. En effet, 80 % du sel consommé par le français moyen est du sel "caché", qu'il n'a pas ajouté lui-même.
J'avais vu dans un documentaire l'analyse de la consommation de sel d'une famille française "normale". Cette famille n'avait pas l'impression de saler, et pourtant, à la fin de la journée, elle était à 13 g/jour soit plus du double de ce qui est recommandé. Les aliments responsables de cet excès étaient : un plat cuisiné tout prêt, très salé, et une portion de camembert, le fromage étant aussi très salé.
Principaux aliments dont il faut supprimer ou modérer la consommation pour réduire sa consommation de sel : gateaux apéritifs, chips et autres cacahuètes ; charcuterie, fromage, fast-food, plats cuisinés tout prêts, quiches et pizzas achetées. Le pain contient pas mal de sel aussi.
A noter aussi : le besoin en sel dépend du mode de vie et notamment de l'effort physique. Quelqu'un qui travaille très dur va avoir besoin de davantage de sel pour compenser les pertes par la sueur. Mais dans une population très largement sédentaire, les 2g de sodium, soit 5 g de sel par jour recommandés par l'OMS sont largement suffisants.
A noter enfin : les maladies cardio-vasculaires ne font pas que tuer ! Elles laissent aussi beaucoup de personnes diminuées, handicapées, après une crise cardiaque ou un AVC. Mourir d'un seul coup, si possible le plus tard possible, à la rigueur, ça ne fait pas très peur. Mais rester dans un fauteuil roulant sans pouvoir parler à la suite d'un AVC, c'est vraiment pas top... Pensez-y la prochaine fois que vous vous apprêtez à bouffer des gâteaux apéritifs !
La consommation de sodium dans le monde varie de 2,18 à 5,51 g/jour, avec une moyenne à 3,95 g/jour ; c'est donc près du double de la recommandation de l'OMS de 2 g/jour.
Parmi les morts de cause cardiovasculaire, près d'1 sur 10 serait imputable à l'excès de sel.
Parmi celles-ci, 84 % de ces morts sont dans des pays à revenu bas ou moyen ; ce n'est donc pas seulement une maladie de riches.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/08/17/22705-lexces-sel-16-million-morts-par-an
Le texte direct de l'étude : http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1304127#methods%23t=references&t=articleResults
en pdf (si le lien direct fonctionne) : http://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa1304127
L'éditorialiste de la revue qui a publié cette étude, Le New England Journal of Medecine, rappelle que les chiffres sont à prendre avec prudence, car de nombreuses hypothèses ayant été prises pour compenser le manque de statistiques fiables.
Pour autant, si les risques de la consommation de sel sont bien documentés, c'est la première fois qu'une étude essaie d'en dresser ainsi le bilan mondial. Même si les chiffres ne sont pas à prendre au pied de la lettre, les ordres de grandeur sont sans doute corrects et nous alertent (une fois de plus) sur le danger du sel.
A noter qu'il ne faut pas confondre sodium et sel (comme le font une grande partie des médias qui rapportent cette étude...) : le sel de table contient environ 39 % de sodium (en masse). Donc, 1 g de sel contient 0,39 g de sodium, et réciproquement, pour avoir un apport de 1g de sodium il faut 1/0,39 = 2,56 g de sel de table.
Ainsi, "L'Organisation mondiale de la santé recommande un apport quotidien de 2 grammes de sodium, soit un peu plus de 5 grammes de sel de table".
Même si on ne sale pas à table, il y a beaucoup de chances de consommer trop de sel. En effet, 80 % du sel consommé par le français moyen est du sel "caché", qu'il n'a pas ajouté lui-même.
J'avais vu dans un documentaire l'analyse de la consommation de sel d'une famille française "normale". Cette famille n'avait pas l'impression de saler, et pourtant, à la fin de la journée, elle était à 13 g/jour soit plus du double de ce qui est recommandé. Les aliments responsables de cet excès étaient : un plat cuisiné tout prêt, très salé, et une portion de camembert, le fromage étant aussi très salé.
Principaux aliments dont il faut supprimer ou modérer la consommation pour réduire sa consommation de sel : gateaux apéritifs, chips et autres cacahuètes ; charcuterie, fromage, fast-food, plats cuisinés tout prêts, quiches et pizzas achetées. Le pain contient pas mal de sel aussi.
A noter aussi : le besoin en sel dépend du mode de vie et notamment de l'effort physique. Quelqu'un qui travaille très dur va avoir besoin de davantage de sel pour compenser les pertes par la sueur. Mais dans une population très largement sédentaire, les 2g de sodium, soit 5 g de sel par jour recommandés par l'OMS sont largement suffisants.
A noter enfin : les maladies cardio-vasculaires ne font pas que tuer ! Elles laissent aussi beaucoup de personnes diminuées, handicapées, après une crise cardiaque ou un AVC. Mourir d'un seul coup, si possible le plus tard possible, à la rigueur, ça ne fait pas très peur. Mais rester dans un fauteuil roulant sans pouvoir parler à la suite d'un AVC, c'est vraiment pas top... Pensez-y la prochaine fois que vous vous apprêtez à bouffer des gâteaux apéritifs !
Barnabé- Membre Premium
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Date d'inscription : 28/04/2008
Re: De quoi meurt-on ?
Salut,
Je n'ai pas suivi de près, mais il me semblait que la chaîne causale sel => hypertension => accident cardio-vasculaires était justement remise en cause. Par exemple, cette étude de 2011 concluait
Y-a-t-il eu du nouveau de ce côté depuis?
Je n'ai pas suivi de près, mais il me semblait que la chaîne causale sel => hypertension => accident cardio-vasculaires était justement remise en cause. Par exemple, cette étude de 2011 concluait
In conclusion, we observed significant cross-sectional and longitudinal associations between systolic pressure and sodium excretion in the whole study population. However, these associations were not consistent among FLEMENGHO and EPOGH participants. Diastolic pressure was not correlated with sodium excretion. Baseline sodium excretion did not predict the incidence of hypertension. The associations between systolic pressure and sodium excretion did not translate into less morbidity or improved survival. On the contrary, low sodium excretion predicted higher cardiovascular mortality. Taken together, our current findings refute the estimates of computer models of lives saved and health care costs reduced with lower salt intake.5- 7 They do also not support the current recommendations of a generalized and indiscriminate reduction of salt intake at the population level. However, they do not negate the blood pressure−lowering effects of a dietary salt reduction in hypertensive patients.
Y-a-t-il eu du nouveau de ce côté depuis?
Cyrus_Smith- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
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Localisation : Île mystérieuse
Date d'inscription : 02/09/2011
Re: De quoi meurt-on ?
L'étude récente s'est basée sur des méta-analyses. Voir le texte de l'étude pour la méthodologie. Pour autant, les causalités ne sont effectivement pas évidentes.
Barnabé- Membre Premium
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Date d'inscription : 28/04/2008
Re: De quoi meurt-on ?
Assez étonnant : la télé tue !
Une étude a analysé les données de suivi de 11 000 australiens entre 2000 et 2008. La conclusion est que regarder la télé est associé à une mortalité plus élevée, particulièrement par maladie cardiovasculaire.
En moyenne, regarder la télé 6 heures par jour ou plus raccourcit l'espérance de vie de 5 ans. Après 25 ans, chaque heure de télé regardée diminuerait l'espérance de vie de 22 minutes.
Les auteurs soulignent néanmoins l'incertitude entourant le lien entre la télé et l'augmentation de mortalité.
http://bjsm.bmj.com/content/early/2011/08/01/bjsm.2011.085662
Une méta-analyse américaine, portant sur 8 études, conclut que regarder la télé augmente les risques de diabète 2, de maladie cardiovasculaire, et de mortalité toutes causes confondues.
L'association entre le temps passé devant la télé et les risques de diabète 2 et de maladie cardiovasculaire sont linéaires, tandis que le risque de mortalité toutes causes confondues augmente pour un temps passé devant la télé supérieur à 3 heures par jour.
Les auteurs remarquent que non seulement le temps passé devant de la télé est autant de temps qui n'est pas consacré à des activités physiques, mais qu'il est de plus fréquemment associé à la consommation de nourriture et de boissons mauvaises à la santé.
http://jama.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=900893
Une étude a analysé les données de suivi de 11 000 australiens entre 2000 et 2008. La conclusion est que regarder la télé est associé à une mortalité plus élevée, particulièrement par maladie cardiovasculaire.
En moyenne, regarder la télé 6 heures par jour ou plus raccourcit l'espérance de vie de 5 ans. Après 25 ans, chaque heure de télé regardée diminuerait l'espérance de vie de 22 minutes.
Les auteurs soulignent néanmoins l'incertitude entourant le lien entre la télé et l'augmentation de mortalité.
http://bjsm.bmj.com/content/early/2011/08/01/bjsm.2011.085662
Une méta-analyse américaine, portant sur 8 études, conclut que regarder la télé augmente les risques de diabète 2, de maladie cardiovasculaire, et de mortalité toutes causes confondues.
L'association entre le temps passé devant la télé et les risques de diabète 2 et de maladie cardiovasculaire sont linéaires, tandis que le risque de mortalité toutes causes confondues augmente pour un temps passé devant la télé supérieur à 3 heures par jour.
Les auteurs remarquent que non seulement le temps passé devant de la télé est autant de temps qui n'est pas consacré à des activités physiques, mais qu'il est de plus fréquemment associé à la consommation de nourriture et de boissons mauvaises à la santé.
http://jama.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=900893
Barnabé- Membre Premium
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Localisation : Massif Central
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: De quoi meurt-on ?
Leur conclusions me paraissent cohérentes. Ce n'est pas la télé qui tue directement (quoi qu'elle tue certainement nos neurones ) mais bien l'inactivité physique liée à celle-ci. Rajoutons des chips et des sodas en plus et c'est complet. Moi-même, qui vous écrit ces mots en buvant une bière, suit en train de me suicider.
Re: De quoi meurt-on ?
D'après une étude de l'INSEE : Nombre de décès très élevé en France pour la deuxième année de suite !
Alerte, que se passe-t-il ?
En fait c'est tout bêtement que les générations qui meurent sont désormais issue de l'après-première guerre mondiale, où il y a avait une natalité plus élevée ; à comparer au début des années 2000, où c'était notamment des personnes nées pendant la première guerre mondiale, période pendant laquelle la natalité était plus faible.
A part ça, tout va bien : on meurt toujours à un âge avancé ( les décès sont les plus nombreux à 87 ans pour les hommes et à 92 ans pour les femmes) et l'espérance de vie continue à croître.
57 % des décès se produisent dans des établissements de santé et 12 % en maison de retraite ; un quart à domicile.
A lire : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=if13
(le début de ce message est bien évidemment inutilement alarmiste ; faut bien rire un peu)
Alerte, que se passe-t-il ?
En fait c'est tout bêtement que les générations qui meurent sont désormais issue de l'après-première guerre mondiale, où il y a avait une natalité plus élevée ; à comparer au début des années 2000, où c'était notamment des personnes nées pendant la première guerre mondiale, période pendant laquelle la natalité était plus faible.
A part ça, tout va bien : on meurt toujours à un âge avancé ( les décès sont les plus nombreux à 87 ans pour les hommes et à 92 ans pour les femmes) et l'espérance de vie continue à croître.
57 % des décès se produisent dans des établissements de santé et 12 % en maison de retraite ; un quart à domicile.
A lire : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=if13
(le début de ce message est bien évidemment inutilement alarmiste ; faut bien rire un peu)
Barnabé- Membre Premium
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Localisation : Massif Central
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: De quoi meurt-on ?
http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/12/criminalite-paris-ile-de-france-meurtres-homicides-etude-ondrp_n_6143586.html
http://lci.tf1.fr/france/societe/criminalite-a-paris-on-connait-desormais-le-meurtrier-type-8517513.html
On retrouve dans ces chiffres des tendances connues des criminologues, mais pas forcément du grand public :
- il y a plus d'homicides au domicile de la victime (41%) que dans la rue (17%) !
- il y a presque autant d'homicides conjugaux et familiaux (28%) que suite à une altercation (33%). "Altercation" ne veut d'ailleurs pas dire que l'auteur est une personne inconnue : dans près de la moitié de ces cas, l'altercation a lieu entre des personnes qui se connaissent.
- les hommes sont globalement les plus concernés : deux victimes sur trois sont des hommes (mais pour les crimes conjugaux, les victimes sont à trois quarts des femmes) et les auteurs très majoritairement de sexe masculin (90 %).
Alors que les divers courants de self-défense partent souvent du postulat d'une agression par un inconnu à l'extérieur (le classique d'une attaque dans un coin de parking ou de petite rue), on voit que le crime familial/conjugal a encore de beaux jours devant lui, et que le domicile n'est pas le havre de paix que l'on aime à imaginer.
http://lci.tf1.fr/france/societe/criminalite-a-paris-on-connait-desormais-le-meurtrier-type-8517513.html
On retrouve dans ces chiffres des tendances connues des criminologues, mais pas forcément du grand public :
- il y a plus d'homicides au domicile de la victime (41%) que dans la rue (17%) !
- il y a presque autant d'homicides conjugaux et familiaux (28%) que suite à une altercation (33%). "Altercation" ne veut d'ailleurs pas dire que l'auteur est une personne inconnue : dans près de la moitié de ces cas, l'altercation a lieu entre des personnes qui se connaissent.
- les hommes sont globalement les plus concernés : deux victimes sur trois sont des hommes (mais pour les crimes conjugaux, les victimes sont à trois quarts des femmes) et les auteurs très majoritairement de sexe masculin (90 %).
Alors que les divers courants de self-défense partent souvent du postulat d'une agression par un inconnu à l'extérieur (le classique d'une attaque dans un coin de parking ou de petite rue), on voit que le crime familial/conjugal a encore de beaux jours devant lui, et que le domicile n'est pas le havre de paix que l'on aime à imaginer.
Barnabé- Membre Premium
- Nombre de messages : 5313
Localisation : Massif Central
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: De quoi meurt-on ?
6 730 morts dans la rue en trois ans en France
Être sans domicile fixe constitue un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue.
________________________________________________________
Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: De quoi meurt-on ?
D'après une étude récente parue dans The Lancet, Science&Avenir écrit "sur les 56 millions de décès constatés en 2015, 70% ont été causés par des maladies non transmissibles, souvent liées au mode de vie (alimentation, activité physique, tabac, alcool, etc.)."
Article de Science&Avenir :
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/70-des-deces-dans-le-monde-sont-dus-au-mode-de-vie_107309
Article scientifique complet sur The Lancet (en anglais) :
http://thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736%2816%2931012-1/fulltext
Article de Science&Avenir :
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/70-des-deces-dans-le-monde-sont-dus-au-mode-de-vie_107309
Article scientifique complet sur The Lancet (en anglais) :
http://thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736%2816%2931012-1/fulltext
Barnabé- Membre Premium
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