Conflits potentiels
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Conflits potentiels
Wolfowitz est viré, enfin, de la banque mondiale.
Le monde en devient , un peu, moins dangereux. Ouf!
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Le monde en devient , un peu, moins dangereux. Ouf!
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"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
Coluche
P'tain dire que c'etait il y a 30 ans et que rien n'a changé en mieux depuis ....
transhuman- Membre Premium
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Date d'inscription : 07/01/2007
Re: Conflits potentiels
Riposte russe : des missiles vont être installés dans l'enclave de kaliningrad !
Rammstein
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Petrus16- Membre Premium
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Re: Conflits potentiels
"Breakdown of the global order"
Je vous invite à lire l'article évoqué et commenté dans cette page.
http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=4395
Je vous invite à lire l'article évoqué et commenté dans cette page.
http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=4395
Andros- Membre fondateur
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Re: Conflits potentiels
"Je vous invite à lire l'article évoqué et commenté dans cette page."
J'aime surtout l'article "
Le FT n’est vraiment pas tranquille"
Ou l'on y apprend que , concrètement, le marché interbancaire est en train de s'arrêter!!
Bon je vous la fait façon météo :
"le Gulf Stream est en train de s'arrêter"!!
Rien que çà!!
Vous voyez pas : plus de marché interbancaire alors plus de liquidités entre banques donc plus de financement du commerce international...
Repli plus ou moins rapide sur les marchés captifs ( enfin en théorie parce que concrètemment les moyens de productions :usines, machines outils, ... font vite faire défaut )
En clair dire comme çà que le marché interbancaire est en train de s'arrêter c'est annoncer le faire part de décès de la mondialisation!
J'aime surtout l'article "
Le FT n’est vraiment pas tranquille"
Ou l'on y apprend que , concrètement, le marché interbancaire est en train de s'arrêter!!
Bon je vous la fait façon météo :
"le Gulf Stream est en train de s'arrêter"!!
Rien que çà!!
Vous voyez pas : plus de marché interbancaire alors plus de liquidités entre banques donc plus de financement du commerce international...
Repli plus ou moins rapide sur les marchés captifs ( enfin en théorie parce que concrètemment les moyens de productions :usines, machines outils, ... font vite faire défaut )
En clair dire comme çà que le marché interbancaire est en train de s'arrêter c'est annoncer le faire part de décès de la mondialisation!
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"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
Coluche
P'tain dire que c'etait il y a 30 ans et que rien n'a changé en mieux depuis ....
transhuman- Membre Premium
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Re: Conflits potentiels
Hubert Védrine : 'Des conflits énormes se préparent'
Vous avez rendu votre rapport sur la mondialisation à Nicolas Sarkozy en soulignant que la France devait être "amie, alliée, pas alignée". Y a-t-il un nouveau choix atlantiste depuis la présidentielle ?
Le président Sarkozy a réendossé cette formule "amie, alliée, pas alignée". Il faut voir ce que cela donne en pratique. Il est évident que la tentation existe. Elle existe dans sa majorité, dans certains courants à gauche, dans une partie de l'opinion, plutôt dans les élites. Par exemple, sur les questions de l'OTAN. Le général de Gaulle était sorti après plusieurs années où il avait négocié avec les Américains pour que l'alliance donne plus de place aux alliés. C'est parce qu'il n'a pas réussi qu'il a fini par sortir. Il n'est sorti qu'en 1966 alors qu'il était là depuis 1958. Les militaires souhaitent y rentrer car ce serait plus commode pour eux, plus pratique, plus prestigieux, plus inter-opérationnel. Mais cela n'a pas d'intérêt. En revanche, utiliser l'idée d'un retour possible de la France dans une alliance réformée, faire de la disponibilité française le levier d'une réforme qui permettrait un pilier européen dans l'alliance de s'exprimer, cela n'est pas critiquable a priori.
La visite de Nicolas Sarkozy à George Bush cet été, et les déclarations de Bernard Kouchner sur l'Iran marquent-elles un changement de politique ?
Pas encore. Cela peut le devenir. Le fait d'avoir des relations moins mauvaises avec les Etats-Unis, c'est ce que Jacques Chirac a fait pendant les deux dernières années. Il a passé tout son temps à corriger non pas le fond - puisqu'il avait raison dans l'affaire de l'Irak -, mais à corriger les dégâts psychologiques, amicaux, sentimentaux, notamment avec l'opinion américaine, y compris les anti-Bush. Et Nicolas Sarkozy, en ce moment, n'est pas en rupture avec la dernière période Chirac sur les Etats-Unis. Le fait d'aller en vacances aux Etats-Unis, de rencontrer à cette occasion le président, ce qui est la moindre des choses, ce n'est pas une inflexion. Ce serait un vrai changement si, finalement, il nous disait dans quelque temps, j'ai posé les conditions pour l'OTAN mais c'est plus compliqué que prévu et cela gêne les Britanniques, mais c'est plus important de rentrer dans l'OTAN et donc on y va...
Bernard Kouchner a-t-il eu raison d'utiliser le mot "guerre" à propos de l'Iran ?
Dire qu'un conflit est possible, cela ne me choque pas car je ne suis pas dans le langage béni-oui-oui. Je pense qu'il y a un risque de clash. Samuel Huntington a été mal compris. Il n'a pas préconisé la guerre des civilisations, il a dit : il y a un risque. Nous ne sommes pas dans la gentille communauté internationale, où l'histoire n'est pas finie. Il y a des conflits énormes qui se préparent. La bonne attitude est de dire, comme Huntington, que c'est une perspective qui existe. Nous la refusons et nous allons tout faire pour que cela ne se produise pas (...) Il faut éviter la tentation occidentaliste. L'occidentalisme étant à l'Occident ce que l'islamisme est à l'islam. (...) Ce qu'a dit Bernard Kouchner là-dessus ne m'a pas gêné. Sur l'Iran, la phrase-clé est celle du président Sarkozy, en disant il faut tout faire pour échapper au choix entre la bombe iranienne ou les bombardements. Evoquer la guerre, c'est sans doute trop tôt.
Propos recueillis par Raphaëlle Bacqué, Thomas Hugues et Stéphane Paoli
Dimanche 14 Octobre 2007
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Tagada Jones- Membre
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Date d'inscription : 23/08/2007
Re: Conflits potentiels
Un bon article pour avoir une vue globale de l'état de la géopolitique mondiale et mieux comprendre l'actualité.
http://www.geostrategie.com/cogit_content/analyses/Lalliancesino-russeundfiau.shtml
http://www.geostrategie.com/cogit_content/analyses/Lalliancesino-russeundfiau.shtml
capri270- Membre
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Date d'inscription : 14/11/2007
Re: Conflits potentiels
Retour de la guerre froide ?
Insensiblement, le monde européen retourne à la guerre froide.
Un article intéressant paru dans l'agence de presse RIA NOVOSTI.
"La Russie est prête à faire un usage préventif de la force militaire, et le cas échéant de la force nucléaire, afin de défendre sa souveraineté et celle de ses alliés".
En même temps, si la Russie garde un certain sens de la mesure, c'est par pragmatisme :
"l'histoire et l'expérience montrent qu'une militarisation excessive de la société, en l'absence de guerre, sape les fondements même de son existence"
Cette question n'est pas sans conséquence, en Europe même.
La Russie considère t' elle la Serbie comme une alliée ?
En effet, une nouvelle guerre froide pourrait naitre après une indépendance du Kosovo.
Même en l'absence de conflit armé, inutile de dire que ce contexte réduirait à néant toute possibilité de développement des balkans.
En tout cas, la complication autour des gazoducs risque de tourner aussi au bras de fer.
Il y a parait il aspiration à l'adhésion européenne des balkans, mais la Serbie regarde, au moins en partie vers la Russie plus que vers l'occident, et si la situation économique et sociale ne s'améliore pas en Bulgarie, il n'est pas interdit de penser que que les Bulgares regarderont davantage vers Moscou que vers Bruxelles.
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: Conflits potentiels
Attention : Echec des négociations sur le Liban lors du conseil des ministres arabes des affaires étrangères. Mobilisation générale de l'armée syrienne, y compris les réservistes selon les rumeurs. Lien
Armageddon974- Membre
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Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
Autre lien confirmant la mobilisation de l'armée Syrienne : Lien
Armageddon974- Membre
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Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
Salut,
Réchauffement climatique, c'est vite dit !
La température mondiale ne progresse presque plus depuis dix ans, ce qui contredit la thèse du réchauffement climatique planétaire avancée par nombre de chercheurs, a estimé mardi un scientifique russe :
"Au cours de la décennie écoulée, à savoir depuis 1998, le monde n'a pas connu de réchauffement, ce que confirment les données fournies par mes collègues étrangers selon lesquelles la température mondiale en 2007 a été pratiquement identique à celle observée sur la période 1998-2006", a expliqué à RIA Novosti Khabiboullo Abdoussamatov, chef du laboratoire des études spatiales de l'Observatoire astronomique principal de l'Académie russe des sciences.
Le réchauffement climatique de la planète semble donc avoir atteint son plafond, malgré une progression de 4% de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis dix ans.
Suite
Claude Allègre aurit-il eu raison ??
Y aurait-il un rapport entre le RC et notre soleil : Lien
En ce qui concerne les sujets de tensions entre la Russie et l'Occident (plus particulièrement l'Europe), ils ne manquent pas. N'oublieons pas "l'exploi" ridicule qu'ils ont réalisé en allant planter un drapeau Russe au fond de l'Antarctique pour s'accaparer symboliquement les éventuels ressources minérales.
Sans compter aussi le problème du Kosovo (Source Contreinfo & Novosti) :
Poutine : au Kosovo, les occidentaux se sont inspirés du « droit des nations à disposer d’elles-mêmes » que prônait l’URSS
En défendant l’indépendance autoproclamée de la province serbe du Kosovo, les Occidentaux emboîtent le pas à l’URSS, a estimé samedi le président sortant russe Vladimir Poutine.
"Il s’agit d’un précédent très nuisible et dangereux, et nos partenaires occidentaux suivent l’exemple de l’URSS qui avait défendu le droit des nations à se disposer d’elles-mêmes... On prend le même râteau dans la figure", a-t-il déploré lors d’une conférence de presse qu’il a donnée dans sa résidence de campagne de Novo-Ogarevo, au nord-ouest de Moscou, à l’issue d’un entretien avec la chancelière allemande Angela Merkel.
Avec le précédent du Kosovo, qui a unilatéralement proclamé son indépendance le 17 février dernier, "le séparatisme a reçu un nouveau coup de pouce", a estimé le chef de l’Etat sortant, avant de citer les répercussions en Grande-Bretagne, en Espagne et en Belgique.
"Regardez ce qui se passe là-bas. Je ne peux qu’exprimer ma compassion, j’ai même peur de faire des commentaires, a-t-il indiqué. Regardez bien ce qui se passe en Bosnie-Herzégovine ou en Macédoine."
Le 17 février dernier, le Kosovo a proclamé son indépendance par rapport à la Serbie. Si les Etats-Unis et les principaux pays européens ont reconnu la souveraineté de Pristina, la Russie insiste pour que le nouveau statut de cette province serbe tienne compte des intérêts aussi bien de Pristina que de Belgrade. Selon Moscou, l’indépendance autoproclamée du Kosovo viole les normes du droit international.
Bonne lecture,
Philippe
Réchauffement climatique, c'est vite dit !
La température mondiale ne progresse presque plus depuis dix ans, ce qui contredit la thèse du réchauffement climatique planétaire avancée par nombre de chercheurs, a estimé mardi un scientifique russe :
"Au cours de la décennie écoulée, à savoir depuis 1998, le monde n'a pas connu de réchauffement, ce que confirment les données fournies par mes collègues étrangers selon lesquelles la température mondiale en 2007 a été pratiquement identique à celle observée sur la période 1998-2006", a expliqué à RIA Novosti Khabiboullo Abdoussamatov, chef du laboratoire des études spatiales de l'Observatoire astronomique principal de l'Académie russe des sciences.
Le réchauffement climatique de la planète semble donc avoir atteint son plafond, malgré une progression de 4% de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis dix ans.
Suite
Claude Allègre aurit-il eu raison ??
Y aurait-il un rapport entre le RC et notre soleil : Lien
En ce qui concerne les sujets de tensions entre la Russie et l'Occident (plus particulièrement l'Europe), ils ne manquent pas. N'oublieons pas "l'exploi" ridicule qu'ils ont réalisé en allant planter un drapeau Russe au fond de l'Antarctique pour s'accaparer symboliquement les éventuels ressources minérales.
Sans compter aussi le problème du Kosovo (Source Contreinfo & Novosti) :
Poutine : au Kosovo, les occidentaux se sont inspirés du « droit des nations à disposer d’elles-mêmes » que prônait l’URSS
En défendant l’indépendance autoproclamée de la province serbe du Kosovo, les Occidentaux emboîtent le pas à l’URSS, a estimé samedi le président sortant russe Vladimir Poutine.
"Il s’agit d’un précédent très nuisible et dangereux, et nos partenaires occidentaux suivent l’exemple de l’URSS qui avait défendu le droit des nations à se disposer d’elles-mêmes... On prend le même râteau dans la figure", a-t-il déploré lors d’une conférence de presse qu’il a donnée dans sa résidence de campagne de Novo-Ogarevo, au nord-ouest de Moscou, à l’issue d’un entretien avec la chancelière allemande Angela Merkel.
Avec le précédent du Kosovo, qui a unilatéralement proclamé son indépendance le 17 février dernier, "le séparatisme a reçu un nouveau coup de pouce", a estimé le chef de l’Etat sortant, avant de citer les répercussions en Grande-Bretagne, en Espagne et en Belgique.
"Regardez ce qui se passe là-bas. Je ne peux qu’exprimer ma compassion, j’ai même peur de faire des commentaires, a-t-il indiqué. Regardez bien ce qui se passe en Bosnie-Herzégovine ou en Macédoine."
Le 17 février dernier, le Kosovo a proclamé son indépendance par rapport à la Serbie. Si les Etats-Unis et les principaux pays européens ont reconnu la souveraineté de Pristina, la Russie insiste pour que le nouveau statut de cette province serbe tienne compte des intérêts aussi bien de Pristina que de Belgrade. Selon Moscou, l’indépendance autoproclamée du Kosovo viole les normes du droit international.
Bonne lecture,
Philippe
Armageddon974- Membre
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Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
L’Arctique pourrait receler une quantité de gaz et de pétrole égale au
quart des réserves non encore découvertes du reste du monde. Ce nouvel
eldorado, devenant accessible avec le réchauffement climatique, aiguise
toutes les convoitises. Lien
Bonne journée à tous,
Philippe
quart des réserves non encore découvertes du reste du monde. Ce nouvel
eldorado, devenant accessible avec le réchauffement climatique, aiguise
toutes les convoitises. Lien
Bonne journée à tous,
Philippe
Armageddon974- Membre
- Nombre de messages : 416
Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
vous avez déja entendu parler des hydrure de méthane qui se trouvent dans les fonds marins de l'arctique et du nord de la mer du nord ??
Hervé- Membre
- Nombre de messages : 107
Localisation : Dijon
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: Conflits potentiels
Wikipedia : Hydrates de méthaneHervé a écrit:vous avez déja entendu parler des hydrure de méthane qui se trouvent dans les fonds marins de l'arctique et du nord de la mer du nord ??
Le problème :
En revanche, en exploitant les hydrates du fond des mers, il est très
probable que l'on ferait remonter de grandes quantités de méthane dans
l'atmosphère (cela équivaudrait à exploiter du gaz naturel avec des
fuites énormes), or le méthane a un pouvoir beaucoup plus élevé que le
CO2 en tant que gaz à effet de serre. Son potentiel de
réchauffement global mesuré à l'échelle d'un siècle à partir de sa
diffusion dans l'atmosphère est en effet compris entre 22 et 23 fois
celui du dioxyde de carbone. Et cela en tenant compte d'une durée de
vie moyenne des molécules de CH4 de seulement une douzaine
d'années avant leur décomposition par les UV, des phénomènes de
combustion ou d'oxydation, et diverses réactions chimiques.
________________________________________________________
~~~~~ MANUEL DE SURVIE URBAINE (by FerFAL) ~~~~~
Re: Conflits potentiels
Tu peux rajouter aussi le permafrost qui dégèle ne Sibérie ; c'est l'équivalent du méthane stocké par dame nature au fond des océans. En fait c'est de la tourbe :
Dégel de l'arctique
Le permafrost sibérien prend l'eau
Hervé, les Kerguelen peuvent peut-être se trouver dans cette situation en cas de RC plus fort.
Dégel de l'arctique
Le permafrost sibérien prend l'eau
Hervé, les Kerguelen peuvent peut-être se trouver dans cette situation en cas de RC plus fort.
Armageddon974- Membre
- Nombre de messages : 416
Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
Voici un article trouvé sur le Net qui fait un lien entre les Britaniques et l'ensemble des conflits armés qui s'agravent sur la planète. La crise financière et les conflits militaires éparpillés sur Terre seraient donc liés ? à méditer...
Auteur : Jeffrey Steinberg (Washington)
Quand les Britaniques jouent la carte du chaos
Afin de garder la haute main sur un système financier mondial mis à rude épreuve, les réseaux géopolitiques britamiques misent sur l’ingouvernabilité et le démantèlement de la souveraineté nationale.
Aux Etats-Unis comme en Europe, Londres s’avère l’épicentre de tout ce qui prône le remake d’une politique fasciste et corporatiste des années trente, bien que, cette fois, ce soit des deux côtés de l’Atlantique qu’elle risque de voir le jour. C’est le but de « l’opération Bloomberg » dans les élections présidentielles américaines et c’est l’enjeu du processus de ratification du traité de Lisbonne, chacune de ces opérations visant, à sa façon, à mettre un terme à la souveraineté nationale et à l’existence même de l’Etat-nation.
Rappelons ici que, lors de la grande dépression des années trente, Londres avait déjà joué la carte du fascisme. En effet, c’est grâce à l’aide bienveillante de Montagu Norman, alors directeur de la banque d’Angleterre, que le parti nazi d’Adolf Hitler fut sauvé de la faillite. A l’époque, les Etats-Unis avaient heureusement choisi une autre voie. L’élection de Franklin D. Roosevelt ramena ce pays à ses origines républicaines, le fameux « Système américain » d’économie politique qui fut la base du « New Deal », une politique de grands travaux financés par du crédit public productif, permettant ensuite la défaite de l’hitlérisme. La mort prématurée de Roosevelt l’a empêché d’en finir avec les empires coloniaux, car il voulait mobiliser la science et la technologie les plus pointues pour faire reculer le sous-développement dans le monde.
Aujourd’hui, Londres semble avoir trouvé un nouveau Mussolini en la personne du maire de New York, Michael Bloomberg, et toutes les officines sont mobilisées pour l’insérer dans les candidatures démocrates ou républicaines d’ici novembre prochain. Les financiers de la planète préfèrent
Rappelons ici que, lors de la grande dépression des années trente, Londres avait déjà joué la carte du fascisme. En effet, c’est grâce à l’aide bienveillante de Montagu Norman, alors directeur de la banque d’Angleterre, que le parti nazi d’Adolf Hitler fut sauvé de la faillite. A l’époque, les Etats-Unis avaient heureusement choisi une autre voie. L’élection de Franklin D. Roosevelt ramena ce pays à ses origines républicaines, le fameux « Système américain » d’économie politique qui fut la base du « New Deal », une politique de grands travaux financés par du crédit public productif, permettant ensuite la défaite de l’hitlérisme. La mort prématurée de Roosevelt l’a empêché d’en finir avec les empires coloniaux, car il voulait mobiliser la science et la technologie les plus pointues pour faire reculer le sous-développement dans le monde.
Auteur : Jeffrey Steinberg (Washington)
Quand les Britaniques jouent la carte du chaos
Afin de garder la haute main sur un système financier mondial mis à rude épreuve, les réseaux géopolitiques britamiques misent sur l’ingouvernabilité et le démantèlement de la souveraineté nationale.
Aux Etats-Unis comme en Europe, Londres s’avère l’épicentre de tout ce qui prône le remake d’une politique fasciste et corporatiste des années trente, bien que, cette fois, ce soit des deux côtés de l’Atlantique qu’elle risque de voir le jour. C’est le but de « l’opération Bloomberg » dans les élections présidentielles américaines et c’est l’enjeu du processus de ratification du traité de Lisbonne, chacune de ces opérations visant, à sa façon, à mettre un terme à la souveraineté nationale et à l’existence même de l’Etat-nation.
Rappelons ici que, lors de la grande dépression des années trente, Londres avait déjà joué la carte du fascisme. En effet, c’est grâce à l’aide bienveillante de Montagu Norman, alors directeur de la banque d’Angleterre, que le parti nazi d’Adolf Hitler fut sauvé de la faillite. A l’époque, les Etats-Unis avaient heureusement choisi une autre voie. L’élection de Franklin D. Roosevelt ramena ce pays à ses origines républicaines, le fameux « Système américain » d’économie politique qui fut la base du « New Deal », une politique de grands travaux financés par du crédit public productif, permettant ensuite la défaite de l’hitlérisme. La mort prématurée de Roosevelt l’a empêché d’en finir avec les empires coloniaux, car il voulait mobiliser la science et la technologie les plus pointues pour faire reculer le sous-développement dans le monde.
Aujourd’hui, Londres semble avoir trouvé un nouveau Mussolini en la personne du maire de New York, Michael Bloomberg, et toutes les officines sont mobilisées pour l’insérer dans les candidatures démocrates ou républicaines d’ici novembre prochain. Les financiers de la planète préfèrent
Rappelons ici que, lors de la grande dépression des années trente, Londres avait déjà joué la carte du fascisme. En effet, c’est grâce à l’aide bienveillante de Montagu Norman, alors directeur de la banque d’Angleterre, que le parti nazi d’Adolf Hitler fut sauvé de la faillite. A l’époque, les Etats-Unis avaient heureusement choisi une autre voie. L’élection de Franklin D. Roosevelt ramena ce pays à ses origines républicaines, le fameux « Système américain » d’économie politique qui fut la base du « New Deal », une politique de grands travaux financés par du crédit public productif, permettant ensuite la défaite de l’hitlérisme. La mort prématurée de Roosevelt l’a empêché d’en finir avec les empires coloniaux, car il voulait mobiliser la science et la technologie les plus pointues pour faire reculer le sous-développement dans le monde.
Armageddon974- Membre
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Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
Suite :
Aujourd’hui, Londres semble avoir trouvé un nouveau Mussolini en la personne du maire de New York, Michael Bloomberg, et toutes les officines sont mobilisées pour l’insérer dans les candidatures démocrates ou républicaines d’ici novembre prochain. Les financiers de la planète préfèrent de loin cette option à un retour à une politique rooseveltienne. Pour que leur poulain puisse monter sur scène, ils doivent auparavant discréditer les candidatures de Hillary Clinton et de Barack Obama. Si ce dernier reste pour l’instant la meilleure torpille pour démolir la candidature de sa rivale, il se trouve lui-même dans le collimateur de Londres. Bien avant l’américaine, la fine fleur de la presse anglaise avait déjà ébruité le scandale Rezko-Auchi, une casserole si énorme qu’Obama ne s’en remettra pas.
Le proche-orient déstabilisé
En outre, on trouve la main de Londres dans l’aggravation de la plupart des conflits qui déstabilisent l’Afrique, l’Asie du sud-ouest et l’Amérique centrale et du Sud. Il s’agit de « tout lâcher » afin de provoquer un chaos d’une telle ampleur qu’aucune puissance ne puisse y faire face. En 1999, dans un discours à Chicago, le Premier ministre britannique d’alors, Tony Blair, avait annoncé une nouvelle politique anglaise pour un monde « post-westphalien », composé d’Etats défaillants et géré, à coup d’interventions supranationales, par un pouvoir oligarchique.
L’accélération de la crise financière et monétaire depuis fin juillet 2007 amène Londres à avancer son calendrier. Leur solution à la crise implique un contrôle du monde grâce à une stratégie de guerres perpétuelles et à l’instauration d’une dictature monétaire au service de leurs intérêts privés délocalisés.
Un tour d’horizon de l’ensemble des zones de crise (voir articles sur le Kosovo, l’Amérique latine, etc.) confirme notre analyse, car aucune de ces crises ne trouve son origine dans la dynamique locale. Au Proche-Orient, Londres a réactivé toutes les ficelles de la guerre irrégulière au moment même où, suite aux rencontres entre responsables palestiniens, israéliens et syriens à Annapolis en novembre 2007, une étincelle d’espoir pouvant se concrétiser dans un accord de paix durable avait vu le jour. De pair avec l’ingérence des néo-conservateurs américains, des factions proches des Frères musulmans au sein du Hamas ont intensifié les tirs de roquettes sur Israël à partir de Gaza, provoquant, comme il fallait s’y attendre, une première riposte de Tsahal, prélude à une opération plus vaste.
La capacité anglaise de jouer simultanément les deux cartes de l’extrémisme « islamiste » et « juif » n’est pas nouvelle mais, poussée à l’extrême, elle risque de mettre toute la région à feu et à sang. Sur la frontière entre l’Irak et la Turquie, c’est le projet d’un « Grand Kurdistan » qui a enflammé la région. Si les attaques terroristes menées par le Parti du peuple kurde (PKK) ont provoqué des incursions militaires au nord de l’Irak, la « carte kurde » permet de déstabiliser non seulement l’Irak et la Turquie, mais également l’Iran et la Syrie, où la guérilla kurde est active.
Aujourd’hui, Londres semble avoir trouvé un nouveau Mussolini en la personne du maire de New York, Michael Bloomberg, et toutes les officines sont mobilisées pour l’insérer dans les candidatures démocrates ou républicaines d’ici novembre prochain. Les financiers de la planète préfèrent de loin cette option à un retour à une politique rooseveltienne. Pour que leur poulain puisse monter sur scène, ils doivent auparavant discréditer les candidatures de Hillary Clinton et de Barack Obama. Si ce dernier reste pour l’instant la meilleure torpille pour démolir la candidature de sa rivale, il se trouve lui-même dans le collimateur de Londres. Bien avant l’américaine, la fine fleur de la presse anglaise avait déjà ébruité le scandale Rezko-Auchi, une casserole si énorme qu’Obama ne s’en remettra pas.
Le proche-orient déstabilisé
En outre, on trouve la main de Londres dans l’aggravation de la plupart des conflits qui déstabilisent l’Afrique, l’Asie du sud-ouest et l’Amérique centrale et du Sud. Il s’agit de « tout lâcher » afin de provoquer un chaos d’une telle ampleur qu’aucune puissance ne puisse y faire face. En 1999, dans un discours à Chicago, le Premier ministre britannique d’alors, Tony Blair, avait annoncé une nouvelle politique anglaise pour un monde « post-westphalien », composé d’Etats défaillants et géré, à coup d’interventions supranationales, par un pouvoir oligarchique.
L’accélération de la crise financière et monétaire depuis fin juillet 2007 amène Londres à avancer son calendrier. Leur solution à la crise implique un contrôle du monde grâce à une stratégie de guerres perpétuelles et à l’instauration d’une dictature monétaire au service de leurs intérêts privés délocalisés.
Un tour d’horizon de l’ensemble des zones de crise (voir articles sur le Kosovo, l’Amérique latine, etc.) confirme notre analyse, car aucune de ces crises ne trouve son origine dans la dynamique locale. Au Proche-Orient, Londres a réactivé toutes les ficelles de la guerre irrégulière au moment même où, suite aux rencontres entre responsables palestiniens, israéliens et syriens à Annapolis en novembre 2007, une étincelle d’espoir pouvant se concrétiser dans un accord de paix durable avait vu le jour. De pair avec l’ingérence des néo-conservateurs américains, des factions proches des Frères musulmans au sein du Hamas ont intensifié les tirs de roquettes sur Israël à partir de Gaza, provoquant, comme il fallait s’y attendre, une première riposte de Tsahal, prélude à une opération plus vaste.
La capacité anglaise de jouer simultanément les deux cartes de l’extrémisme « islamiste » et « juif » n’est pas nouvelle mais, poussée à l’extrême, elle risque de mettre toute la région à feu et à sang. Sur la frontière entre l’Irak et la Turquie, c’est le projet d’un « Grand Kurdistan » qui a enflammé la région. Si les attaques terroristes menées par le Parti du peuple kurde (PKK) ont provoqué des incursions militaires au nord de l’Irak, la « carte kurde » permet de déstabiliser non seulement l’Irak et la Turquie, mais également l’Iran et la Syrie, où la guérilla kurde est active.
Armageddon974- Membre
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Re: Conflits potentiels
Suite et fin :
L’Arabie saoudite, ce proche allié de l’Angleterre qui promeut et finance le fondamentalisme wahhabite dans la région, a demandé à Washington de préparer des actions punitives contre la Syrie, qui refuse de « se retirer du Liban », comme l’exigent les Saoudiens, convaincus que Damas contrôle entièrement le Hezbollah. Ainsi, une force expéditionnaire américaine croise actuellement au large des côtes libanaises,
apportant un surcroît de tension à l’instabilité régionale.
Des sources à Washington rapportent que le vice-président Dick Cheney, toujours aligné sur Londres, a repris sa campagne pour des frappes contre l’Iran bien avant le départ de l’administration actuelle. En bref, toute la région est au bord de l’explosion, tandis que Londres attend la mise à feu de ce qu’elle considère comme un magnifique feu d’artifice.
Comme souvent, la question se pose à l’ensemble du monde : existe-t-il des institutions américaines moins folles, capables d’écarter les dangers que représente cette faction impériale de Londres ? Ecouteront-ils les propositions de l’économiste américain Lyndon LaRouche et les conseils d’autres puissances souveraines afin de mettre, ensemble, un terme aux derniers soubresauts de l’Empire britannique ?
L'extrait vient de ce lien (page 12)
Tout serait lié ... crise financière, conflits qui s'aggravent, supprématie occidentale qui ne veut pas s'effondrer... à méditer
Désolé pour la longueur, je le ferai plus, promis juré.
L’Arabie saoudite, ce proche allié de l’Angleterre qui promeut et finance le fondamentalisme wahhabite dans la région, a demandé à Washington de préparer des actions punitives contre la Syrie, qui refuse de « se retirer du Liban », comme l’exigent les Saoudiens, convaincus que Damas contrôle entièrement le Hezbollah. Ainsi, une force expéditionnaire américaine croise actuellement au large des côtes libanaises,
apportant un surcroît de tension à l’instabilité régionale.
Des sources à Washington rapportent que le vice-président Dick Cheney, toujours aligné sur Londres, a repris sa campagne pour des frappes contre l’Iran bien avant le départ de l’administration actuelle. En bref, toute la région est au bord de l’explosion, tandis que Londres attend la mise à feu de ce qu’elle considère comme un magnifique feu d’artifice.
Comme souvent, la question se pose à l’ensemble du monde : existe-t-il des institutions américaines moins folles, capables d’écarter les dangers que représente cette faction impériale de Londres ? Ecouteront-ils les propositions de l’économiste américain Lyndon LaRouche et les conseils d’autres puissances souveraines afin de mettre, ensemble, un terme aux derniers soubresauts de l’Empire britannique ?
L'extrait vient de ce lien (page 12)
Tout serait lié ... crise financière, conflits qui s'aggravent, supprématie occidentale qui ne veut pas s'effondrer... à méditer
Désolé pour la longueur, je le ferai plus, promis juré.
Armageddon974- Membre
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Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Conflits potentiels
Les neufs raisons tactiques qui poussent Washington à attaquer l'Iran avant les élections
de Novembre 2008
Car la tentation tactique est grande pour les dirigeants américains actuels. Les neuf bénéfices
immédiats d'une attaque aérienne des installations nucléaires iraniennes leur paraissent indéniables :
1. Réaffirmation martiale de la primauté des Etats-Unis
2. Soutien décisif à Israël
3. Rappel à tous les Etats de la région que l'enlisement irakien et afghan n'a pas affaibli le
potentiel d'action de Washington
4. Renforcement de la solidarité atlantique, via l'implication directe des alliés européens
(surtout le Royaume-Uni et la France de Nicolas Sarkozy) dans une confrontation avec l'Iran
5. Réapparition aux Etats-Unis d'un sentiment unitaire de « nation en guerre » profitable au
candidat républicain John McCain, vétéran du Vietnam et chouchou du Pentagone; tout en
évitant à ce dernier, favorable à une action militaire contre l'Iran, de devoir assumer une
telle opération au début de son mandat s'il est élu
6. Chaos généralisé affectant simultanément l'ensemble des économies développées (Asie et
Europe en tête), rendant donc relatif l'affaiblissement de l'économie américaine en récession
7. Eloignement des risques de voir un éventuel futur président démocrate réduire les
dépenses militaires et, au contraire, accroissement probable de ces mêmes dépenses
8. Complément « stratégique » des opérations militaires en cours en Afghanistan et en Irak,
puisque l'Iran est le « maillon dangereux » entre ces deux pays et que Washington l'accuse
régulièrement d'entretenir le potentiel militaire de ses adversaires dans ces deux Etats
9. Opération a priori sans grand risque en pertes humaines puisque conduite à distance
(bombardements et tirs de missiles).
source www.leap2020.eu
EDIT modo : hop ! modif de la taille d'écriture pour les vieilles taupes lol
de Novembre 2008
Car la tentation tactique est grande pour les dirigeants américains actuels. Les neuf bénéfices
immédiats d'une attaque aérienne des installations nucléaires iraniennes leur paraissent indéniables :
1. Réaffirmation martiale de la primauté des Etats-Unis
2. Soutien décisif à Israël
3. Rappel à tous les Etats de la région que l'enlisement irakien et afghan n'a pas affaibli le
potentiel d'action de Washington
4. Renforcement de la solidarité atlantique, via l'implication directe des alliés européens
(surtout le Royaume-Uni et la France de Nicolas Sarkozy) dans une confrontation avec l'Iran
5. Réapparition aux Etats-Unis d'un sentiment unitaire de « nation en guerre » profitable au
candidat républicain John McCain, vétéran du Vietnam et chouchou du Pentagone; tout en
évitant à ce dernier, favorable à une action militaire contre l'Iran, de devoir assumer une
telle opération au début de son mandat s'il est élu
6. Chaos généralisé affectant simultanément l'ensemble des économies développées (Asie et
Europe en tête), rendant donc relatif l'affaiblissement de l'économie américaine en récession
7. Eloignement des risques de voir un éventuel futur président démocrate réduire les
dépenses militaires et, au contraire, accroissement probable de ces mêmes dépenses
8. Complément « stratégique » des opérations militaires en cours en Afghanistan et en Irak,
puisque l'Iran est le « maillon dangereux » entre ces deux pays et que Washington l'accuse
régulièrement d'entretenir le potentiel militaire de ses adversaires dans ces deux Etats
9. Opération a priori sans grand risque en pertes humaines puisque conduite à distance
(bombardements et tirs de missiles).
source www.leap2020.eu
EDIT modo : hop ! modif de la taille d'écriture pour les vieilles taupes lol
Dernière édition par calogronan le Mer 19 Mar 2008 - 20:26, édité 1 fois
calogronan- Membre
- Nombre de messages : 30
Date d'inscription : 29/02/2008
Re: Conflits potentiels
ALERTE - Un bateau affrêté par la Navy tire sur navires iraniens
WASHINGTON - Un navire affrêté par la marine américaine a tiré des coups de semonce contre deux vedettes, présumées iraniennes, qui l'approchaient dans le Golfe, a indiqué vendredi un responsable américain de la défense.
(©AFP / 25 avril 2008 17h35)
WASHINGTON - Un navire affrêté par la marine américaine a tiré des coups de semonce contre deux vedettes, présumées iraniennes, qui l'approchaient dans le Golfe, a indiqué vendredi un responsable américain de la défense.
(©AFP / 25 avril 2008 17h35)
Invité- Invité
Re: Conflits potentiels
No panique semp' c'est la routine...pas de quoi s'effrayer...la guerre n'est pas pour ce jour
________________________________________________________
Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: Conflits potentiels
Ca va faire monter les cours du baril...non?
WASHINGTON (Reuters) - A ship contracted by the U.S Military Sealift Command has fired at least one shot toward an Iranian boat, a U.S. defense official said on Friday.
"It was an MSC vessel," the official said, confirming the ship fired on an Iranian boat.
Other details were not immediately available.
WASHINGTON (Reuters) - A ship contracted by the U.S Military Sealift Command has fired at least one shot toward an Iranian boat, a U.S. defense official said on Friday.
"It was an MSC vessel," the official said, confirming the ship fired on an Iranian boat.
Other details were not immediately available.
Invité- Invité
Re: Conflits potentiels
Hum ! ouais...peut être...mais bah ! c'est juste une démonstration de force...même pas : un avertissement... et pas le premier du genre...juste une raison de plus de faire monter un tout petit peu le baril... un petit rien, une broutilleSempervirens a écrit:Ca va faire monter les cours du baril...non?
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: Conflits potentiels
Il me semble qu'il vient dit avoir des élections en Iran..
Peut étre que les U.S montre leurs muscles...histoire de...
A suivre.
Peut étre que les U.S montre leurs muscles...histoire de...
A suivre.
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