Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
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Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Dans une optique post-crash (disons chute rapide de notre civilisation pour simplifier) vous avez "récupéré" quelques anciens compagnons (qui bien sûr ne pensaient pas que notre société pétrodépendante pouvait s'effondrer si vite), que ce soit amis, collègues, famille plus ou moins éloignée...
Vous les avez récupéré pour plusieurs raisons :
- ils se sont incrustés (vous leur aviez parlé de vos préparatifs)
- vous les avez invités à venir (psychologiquement on se sent plus fort si on est plus nombreux (je suis dans l'optique qu'il y a possibilité de pillages dans la région), vous avez prévu le stock de nourriture en conséquence)
- vous ne pouvez vivre sans eux
- le crash a eu lieu alors que vous étiez avec eux et vous avez rejoint votre plan B avec eux
- ...
Comment les occuper ? Comment leur faire comprendre de la gravité de la situation ? (non n'imagine pas finir Final Fantasy ni maintenant ni jamais)
Plus prosaïquement : comment se faire respecter ? (on a beau avoir le savoir il y en a toujours qui croiront mieux faire). Comment gérer les enfants ? Comment gérer ceux qui ne voudront pas se rationner en nourriture ? Gérer les conflits ? Gérer le stress, la mort ? Comment prendre les décisions en groupe ?
Que leur faire faire de non-technique (on part du postulat que ce sont des citadins aux compétences peu adaptées à la vie néo-rurale) et pas trop physique au début ? Que faire s'il n'y a pas de discipline ? (chacun fait ce qu'il veut, mange et repart à lla sieste ou bien "oublie" de faire son tour de garde)
Bref que des choses totalement impensables pour le moment mais qu'il me paraît intéressant de débroussailler.
Vous les avez récupéré pour plusieurs raisons :
- ils se sont incrustés (vous leur aviez parlé de vos préparatifs)
- vous les avez invités à venir (psychologiquement on se sent plus fort si on est plus nombreux (je suis dans l'optique qu'il y a possibilité de pillages dans la région), vous avez prévu le stock de nourriture en conséquence)
- vous ne pouvez vivre sans eux
- le crash a eu lieu alors que vous étiez avec eux et vous avez rejoint votre plan B avec eux
- ...
Comment les occuper ? Comment leur faire comprendre de la gravité de la situation ? (non n'imagine pas finir Final Fantasy ni maintenant ni jamais)
Plus prosaïquement : comment se faire respecter ? (on a beau avoir le savoir il y en a toujours qui croiront mieux faire). Comment gérer les enfants ? Comment gérer ceux qui ne voudront pas se rationner en nourriture ? Gérer les conflits ? Gérer le stress, la mort ? Comment prendre les décisions en groupe ?
Que leur faire faire de non-technique (on part du postulat que ce sont des citadins aux compétences peu adaptées à la vie néo-rurale) et pas trop physique au début ? Que faire s'il n'y a pas de discipline ? (chacun fait ce qu'il veut, mange et repart à lla sieste ou bien "oublie" de faire son tour de garde)
Bref que des choses totalement impensables pour le moment mais qu'il me paraît intéressant de débroussailler.
trollinet- Membre Premium
- Nombre de messages : 223
Loisirs : GN, randonnée
Date d'inscription : 14/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Meme si je ne penche pas pour une crise rapide, c'est très important de se faire un plan B...
J'essaie de répondre quand ces questions se posent à moi...mais il est vrai que ce ne sera pas pareil pour tout le monde...
-comment les occuper?
Déja trouver le ou les points forts de chacuns...suite à cette question:
-Comment leur faire comprendre la gravité de la situation?
Soit ça s'imposera à eux, soit il ne sont pas prêts à survivre et ils seront des boulets...autant les quitter de suite.
Les convaincre, tu peux essayer, mais s'ils ne se rendent pas à tes arguments, il ne faut pas que tu perde ton temps...qui sera alors sans doutes précieux.
-Comment se faire respecter?
Là c'est très simple, une fois que tu es avec des gens convaincus de la gravité de la situation, et si tu as l'air de savoir de quoi tu parle, ils devraient fonder leurs espoirs en toi...ceci dit, il faut déterminer dès le début vos objectifs (rallier tel point, récupérer ça, trouver du machin...) et après, lié par votre intérêt commun, je pense que vous vous respecterez mutuellement...(enfin, c'est toujour mieux de le dire clairement au début, faire un petit discour de motivation qui met au clair les choses).
-Gérer les enfants:
Possible seulement si on est déja sur l'endroit ou l'on fonde ses espoirs, ou si l'on a un moyen de locomotion: les enfants ne marchent pas bien.
Sinon on fait passer ça pour un jeu, et les enfants suivent très bien, et apprennent vite (parole d'ancien chef scout).
-Gérer ceux qui ne veulent pas se rationner???
Boulet = out: Il met en péril le groupe en entier, il ne vous respecte pas, il fait preuve d'autisme, alors même s'il est de la famille, ces choses doivent le pousser à changer son comportement ou à etre chassé.
-érér les conflits?
Il faut une personne qui ait l'autorité sur le groupe: soit par son charisme, soit par sa consensualité. Sinon rien n'empêchera un groupe de se scinder (on peux pas forcer les gens si on ne les convainc pas, ceci rejoignant ce qui à été dit plus haut).
-Gérer le stress, la mort:
Ceci malheureusement, va être du "ça passe ou ça casse"...simplement il faut pouvoir faire preuve de pédagogie avant que les gens ne soient confrontés à ces problèmes, et cela suppose aussi qu'un certain nombre de personnes du groupe soir assez fort psychologiquement pour supporter la conduite du groupe en dépis du découragement inévitable des autres.
-Prendre des décisions en groupe?
Pour moi la solution est dans la question: engager par leur opinion les membres d'un groupe, leur faire prendre des décisions, les impliquer...cela les obliges à se tenir, à persévérer, cela fixe des buts et force à avancer.
pour prendre les décisions donc, demander au groupe et établir un consensus, puis des décision. (mais il est vrai que là aussi cela demande un minimum de diplomacie...mais que ne fait on pas lorsque l'on est préssé par la néccésité?)
-Que leur faire faire de non technique? de surcroît des citadins (et pas surhumaines vu l'atrophie des muscle lol):
Toutes les corvées domestiques: eau, bois mort, guet, nettoyage, chercher dans la natures les plantes reconaissables utiles à un groupe (on reconnait facilement certaines plantes, et les enfants excellent à cette tâche).
-Pour le relachement de discipline, je pense que le groupe doit mettre la pression...et la meilleur récompense c'est de rester dans le groupe...donc avertissement en public, lors des repas etc, et si aucun effort (tout le monde peut etre découragé, c'est normal même, il faut d'abord essayer de motiver l'individu en question) dans ce cas là, et au bout de plusieurs avertissements (qui désolidarisent de plus en plus l'individu du groupe), il doit etre clair que la solution est le banissement...je ne vois pas autre chose
J'essaie de répondre quand ces questions se posent à moi...mais il est vrai que ce ne sera pas pareil pour tout le monde...
-comment les occuper?
Déja trouver le ou les points forts de chacuns...suite à cette question:
-Comment leur faire comprendre la gravité de la situation?
Soit ça s'imposera à eux, soit il ne sont pas prêts à survivre et ils seront des boulets...autant les quitter de suite.
Les convaincre, tu peux essayer, mais s'ils ne se rendent pas à tes arguments, il ne faut pas que tu perde ton temps...qui sera alors sans doutes précieux.
-Comment se faire respecter?
Là c'est très simple, une fois que tu es avec des gens convaincus de la gravité de la situation, et si tu as l'air de savoir de quoi tu parle, ils devraient fonder leurs espoirs en toi...ceci dit, il faut déterminer dès le début vos objectifs (rallier tel point, récupérer ça, trouver du machin...) et après, lié par votre intérêt commun, je pense que vous vous respecterez mutuellement...(enfin, c'est toujour mieux de le dire clairement au début, faire un petit discour de motivation qui met au clair les choses).
-Gérer les enfants:
Possible seulement si on est déja sur l'endroit ou l'on fonde ses espoirs, ou si l'on a un moyen de locomotion: les enfants ne marchent pas bien.
Sinon on fait passer ça pour un jeu, et les enfants suivent très bien, et apprennent vite (parole d'ancien chef scout).
-Gérer ceux qui ne veulent pas se rationner???
Boulet = out: Il met en péril le groupe en entier, il ne vous respecte pas, il fait preuve d'autisme, alors même s'il est de la famille, ces choses doivent le pousser à changer son comportement ou à etre chassé.
-érér les conflits?
Il faut une personne qui ait l'autorité sur le groupe: soit par son charisme, soit par sa consensualité. Sinon rien n'empêchera un groupe de se scinder (on peux pas forcer les gens si on ne les convainc pas, ceci rejoignant ce qui à été dit plus haut).
-Gérer le stress, la mort:
Ceci malheureusement, va être du "ça passe ou ça casse"...simplement il faut pouvoir faire preuve de pédagogie avant que les gens ne soient confrontés à ces problèmes, et cela suppose aussi qu'un certain nombre de personnes du groupe soir assez fort psychologiquement pour supporter la conduite du groupe en dépis du découragement inévitable des autres.
-Prendre des décisions en groupe?
Pour moi la solution est dans la question: engager par leur opinion les membres d'un groupe, leur faire prendre des décisions, les impliquer...cela les obliges à se tenir, à persévérer, cela fixe des buts et force à avancer.
pour prendre les décisions donc, demander au groupe et établir un consensus, puis des décision. (mais il est vrai que là aussi cela demande un minimum de diplomacie...mais que ne fait on pas lorsque l'on est préssé par la néccésité?)
-Que leur faire faire de non technique? de surcroît des citadins (et pas surhumaines vu l'atrophie des muscle lol):
Toutes les corvées domestiques: eau, bois mort, guet, nettoyage, chercher dans la natures les plantes reconaissables utiles à un groupe (on reconnait facilement certaines plantes, et les enfants excellent à cette tâche).
-Pour le relachement de discipline, je pense que le groupe doit mettre la pression...et la meilleur récompense c'est de rester dans le groupe...donc avertissement en public, lors des repas etc, et si aucun effort (tout le monde peut etre découragé, c'est normal même, il faut d'abord essayer de motiver l'individu en question) dans ce cas là, et au bout de plusieurs avertissements (qui désolidarisent de plus en plus l'individu du groupe), il doit etre clair que la solution est le banissement...je ne vois pas autre chose
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Je ne sais pas si s'occuper d'autres personnes soit quelque chose de judicieux dans une telle situation ...
Mis a part la famille et les amis
Mis a part la famille et les amis
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La faim est proche
Eco.foxtrot- Membre
- Nombre de messages : 742
Localisation : Au fond du fun
Emploi : Glaneur à temps plein
Date d'inscription : 24/10/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
ça c'est un fait...il s'agit seulement d'etre opportuniste (beuark) prendre seulement des personnes qui puissent apporter à la survie d'un groupe...(pour X raisons; nombre, qualifications, qualités...ou tout à la fois...)
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
ok, mais :
Rectification, tout un chacun, vous et moi compris, passera par la phase "j'en suis sincèrement convaincu et pourtant j'ai tort".
D'où la nécessité de décision de groupe et d'accepter d'être de temps en temps minoritaire. Se prendre pour le leader infaillible parce qu'on a trois ans de prépa est une garantie d'échec.
@telimectar, tu t'es enfin trouvé un avatar félicieux (mot-tiroir félicité + félin + ...)
Ne pas oublier que l'on peut être soi-même le maillon faible et que c'est l'autre en face qui a raison !on a beau avoir le savoir il y en a toujours qui croiront mieux faire
Rectification, tout un chacun, vous et moi compris, passera par la phase "j'en suis sincèrement convaincu et pourtant j'ai tort".
D'où la nécessité de décision de groupe et d'accepter d'être de temps en temps minoritaire. Se prendre pour le leader infaillible parce qu'on a trois ans de prépa est une garantie d'échec.
@telimectar, tu t'es enfin trouvé un avatar félicieux (mot-tiroir félicité + félin + ...)
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Le mythe de la croissance infinie s'apparente à une vente pyramidale. Elle s'effondre tôt ou tard.
splotch- Membre
- Nombre de messages : 381
Localisation : 92
Date d'inscription : 23/06/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Dicton
Mieux vaut étre seul, que Mal accompagné.
J'ai appris ce proverbe a mes depends, quand je faisait la route, sac au dos, à parcourir le Monde.
A mon sens c'est vraiment une question de "Feeling", et on rencontre parfois dans gens "Bien" dans des situations extrémes.
Les période difficiles agissent comme un révélateur sur les personalités, il y a ceux qui sont Clairs et ceux qui vont parasiter (incruster...).
Perso, il y a des gens avec qui je fais la route volontiers et d'autres pas....
Invité- Invité
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Arg! c'est devant ce genre de questions que je vois ma stratégie de "survie en solo" payante (mais terriblement égoïste), je ne suis pas contre une survie en groupe, mais avec des gens soudés qui comprennent immédiatement ce qui se passe, qui partagent leur expérience, qui accepte d'apprendre des autres, ouverts et coopérateurs à 100%, sinon, inutile de rester!
Le sujet est sensible, surtout si on en vient à parler des enfants, des personnes agées, des bébés, des personnes handicapées... que vont-il devenir si vous ne les protégez pas?
Le sujet est sensible, surtout si on en vient à parler des enfants, des personnes agées, des bébés, des personnes handicapées... que vont-il devenir si vous ne les protégez pas?
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En survie, il est parfois plus rentable de choisir une solution simplement « assez correcte » plutôt que de rechercher en y consacrant beaucoup d'énergie et de temps la meilleure solution.
Mariner- Membre Premium
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Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
On ne peut pas porter toute la misere du monde sur le dos !
De toute facon sans petrole , il n'y aura pas assez de bouffe , sans compter que le temps d'apprendre a la produire "a l'ancienne"; va il y avoir des morts ca c'est sur !
De toute facon sans petrole , il n'y aura pas assez de bouffe , sans compter que le temps d'apprendre a la produire "a l'ancienne"; va il y avoir des morts ca c'est sur !
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La faim est proche
Eco.foxtrot- Membre
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Date d'inscription : 24/10/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Arg! non, les morts et les gens qui meurent de faim, je suis pas trop fan, et comme un membre du forum me l'a très dit, imagine dans quel état psychologique tu seras quand toi tu auras survécu une année grace à tes conserves (bien caché les conserves) et que tu auras vu des centaines d'enfants, de voisins, de gens, de membres de ta famille dépérir puis finalement succomber à diverses carences, troubles mentaux etc..Eco.foxtrot a écrit:On ne peut pas porter toute la misere du monde sur le dos !
De toute facon sans petrole , il n'y aura pas assez de bouffe , sans compter que le temps d'apprendre a la produire "a l'ancienne"; va il y avoir des morts ca c'est sur !
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En survie, il est parfois plus rentable de choisir une solution simplement « assez correcte » plutôt que de rechercher en y consacrant beaucoup d'énergie et de temps la meilleure solution.
Mariner- Membre Premium
- Nombre de messages : 483
Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Je vis avec ma famille donc, on survivra ensemble ! Et pour les petits enfants morts de faim bah ca ne seront pas les premiers ...
Meme si on est pas fan c'est ineductable qu'il y ai des milliards de morts suite a la depletion petroliere.
Meme si on est pas fan c'est ineductable qu'il y ai des milliards de morts suite a la depletion petroliere.
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La faim est proche
Eco.foxtrot- Membre
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Localisation : Au fond du fun
Emploi : Glaneur à temps plein
Date d'inscription : 24/10/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
En solo!
C'est ce que je me dis souvent en ce moment! (c'est grave docteur?)
C'est ridicule! en plus si on y regarde de plus près, dans notre imaginaire? en solo! c'est toujours pour aller d'un point à un autre ! d'un groupe à un autre!!
non justement la première chose à faire avec l'autre (s) qui nous accompagne dans cette "galère" survivor si j'ai compris le post, c'est bien
Gérer les stock, les confli, prendre des décisions
ça c'est le vivre ensemble, et je crois que ça s'apprend et que ça s'appelle la démocratie!!? alors c'est bien maintenant, avant le clash qui faut en profiter pour le travailler , parce àprès???
Depuis le roman "Malville" (1977) je crois que le vivre ensemble à bien dégénéré!
je viens de le lire récement et les problèmatiques collectives y sont bien soulevée
C'est ce que je me dis souvent en ce moment! (c'est grave docteur?)
C'est ridicule! en plus si on y regarde de plus près, dans notre imaginaire? en solo! c'est toujours pour aller d'un point à un autre ! d'un groupe à un autre!!
non justement la première chose à faire avec l'autre (s) qui nous accompagne dans cette "galère" survivor si j'ai compris le post, c'est bien
au sens propre et figurer!! la plus grande forêt d'europe, la france est très mal entretenu! et sans tronconneuses et débrousailleuse ya du boulot"Débroussailler"
comment se respecter!apprendre à tisser (des liens) et à en couper d'autres (débroussaillage)-Comment se faire respecter?
ça dépant de l'age! pour shématiser! avant 7 ans ils sont dépendants; après dans des situation de crises la plupart se comporterons mieux que certain survivor violent et préssés!-Gérer les enfants:
Gérer les stock, les confli, prendre des décisions
ça c'est le vivre ensemble, et je crois que ça s'apprend et que ça s'appelle la démocratie!!? alors c'est bien maintenant, avant le clash qui faut en profiter pour le travailler , parce àprès???
Depuis le roman "Malville" (1977) je crois que le vivre ensemble à bien dégénéré!
je viens de le lire récement et les problèmatiques collectives y sont bien soulevée
Gérons déja le stress et la mort auprès des gens qu'on aime dans la vie actuel, c'est déja un jolie morceau d'humanitée!Gérer le stress, la mort:
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
moi, je serais vraiment trop heureux si c'était en solo...à la fac on m'a souvent apellé l'ermite lol.
simplement la vie seul, ce serait croire qu'on peut etre un Dieu vivant*... c'est pas possible à moins de régrésser à un niveau "lithique" et encore...
Et qu'est ce qui es pire? vivre seul et finir un peu timbré? ou supporter la marmaille des autres et finir ... timbré?
mouhahaha tout ça pour dire que "plus on est de fous plus on ris...alors certes il m'arrive de m'extasier devant mes insectes et mes plantes, mais une bonne rigolade avec les amis, rien de mieux pour remonter un moral...: le groupe, comme la vie, a ses avantages et ses inconvéniants...à nous de composer avec les un et les autres.
*et concernant Dieu, je vous rapelle que la place est prise, à moins de vouloir se prendre le bec avec le Grand Chat...et à ce jeu là, c'est Lui qui gagne...
simplement la vie seul, ce serait croire qu'on peut etre un Dieu vivant*... c'est pas possible à moins de régrésser à un niveau "lithique" et encore...
Et qu'est ce qui es pire? vivre seul et finir un peu timbré? ou supporter la marmaille des autres et finir ... timbré?
mouhahaha tout ça pour dire que "plus on est de fous plus on ris...alors certes il m'arrive de m'extasier devant mes insectes et mes plantes, mais une bonne rigolade avec les amis, rien de mieux pour remonter un moral...: le groupe, comme la vie, a ses avantages et ses inconvéniants...à nous de composer avec les un et les autres.
*et concernant Dieu, je vous rapelle que la place est prise, à moins de vouloir se prendre le bec avec le Grand Chat...et à ce jeu là, c'est Lui qui gagne...
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Pour ce qui est de la famille, j'essaie de sensibiliser comme je peux. Pour les amis, c'est pareil (comme je n'en ai pas une centaine, c'est vite fait). Les collègues, c'est une autre paire de manche encore que dans la formation agricole où je suis (une vingtaine de personnes), ils sont un peu écolo, c'est déjà un début de réflexion entamée. Ca va prendre un peu plus de temps.
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~~~~~ MANUEL DE SURVIE URBAINE (by FerFAL) ~~~~~
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Pour moi, la solution solo est inconcevable. J'ai une famille et je ferai TOUT pour la préserver. J'entends même la famille au sens large (frères,soeurs, beaufs, neveux...).
Il faut aussi souligner que "les autres" ne sont pas seulement une charge. Ils peuvent être d'une aide précieuse pour de nombreuses activités. (Par exemple, lorsque l'on voit la surface nécessaire de culture par personne pour l'autonomie alimentaire.)
A ce sujet, quelqu'un, sur le forum, à conseillé de se réconcilier avec sa famille.
Petrus.
Il faut aussi souligner que "les autres" ne sont pas seulement une charge. Ils peuvent être d'une aide précieuse pour de nombreuses activités. (Par exemple, lorsque l'on voit la surface nécessaire de culture par personne pour l'autonomie alimentaire.)
A ce sujet, quelqu'un, sur le forum, à conseillé de se réconcilier avec sa famille.
Petrus.
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"If you won't let us dream, we won't let you sleep."
Petrus16- Membre Premium
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Age : 52
Date d'inscription : 14/02/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Bon il y a quelque chose que nous avons oublié, parce que nous ne
sommes plus dans une société agraire, c'est que les bons sentiments ne
produisent pas des sacs de grains par magie.
Il est vrai qu'il faut être plusieurs pour produire de la nourriture
etc. Cela suppose donc qu'on est dans des conditions post-attrition.
Or le plus difficile est justement de survivre l'attrition. La quantité
de bouffe étant fixe, il faut vraiment, vraiment, vraiment être sûr de
son coup si on prend quelqu'un avec soi.
Un autre aspect de la question est de savoir qui pose les règles du
groupe humain dans lequel vous évoluez. Etre dans cette position est un
enjeu de pouvoir. Ne laissez donc personne entrer dans votre groupe
humain (famille, ferme, entreprise...) qui puisse vous contester ce
droit.
C'est pourquoi j'ai préparé des choses pour que ma famille reste
AILLEURS et ne vienne pas m'embêter, je ne voudrais pas à devoir agir
"comme la situation le commande" avec eux.
Le problème est que la personne la mieux préparée n'est pas toujours la
plus forte. Il y a des gens qui s'imposent dans un groupe par la force,
par l'obstiantion, par le mensonge et la manipulation etc., toutes
choses qui sont viles et répugnantes pour l'homme d'intellect. Autant
je n'ai pas de mal à dépecer et vider un agneau, autant je répugne à
inventer des histoires pour discréditer les autres (et quand bien même
je m'y essaierais, les résultats seraient pitoyables - c'est une
question de nature humaine).
La civilisation industrielle et plus encore la post-industrielle nous a
fait oublier quelle était la place de la femme dans le foyer il y a
trois générations (je ne parle même pas de la situation lorsqu'on a
crée le code Napoléon). Pareil pour la place des enfants.
Il y a aujourd'hui un certain nombre de familles dysfonctionnelles, qui
ne savent pas encore qu'elles le sont. Je le vois avec mes élèves et
leurs parents. Notre culture est souvent détachée des exigences
matérielles, de la dure réalité, au lieu de cela elle est toute tournée
vers ce qui est social. Or il est de la nature du social d'être détaché
de la réalité, c'est à dire qu'il y a des exigences sociales qui ne
sont pas rationnelles. Par exemple d'avoir des vêtements de marque, de
vivre dans un salon avec des meubles modernes, le design, les bijoux en
toc etc.
Les compétences prisées aujourd'hui visent à acquérir ce qu'il faut
bien appeler de la supériorité sociale. Une gamine va apprendre à
"casser" ses camarades, un garçon va apprendre à pleurer, menacer,
cajoler, pour avoir sa Nintendo DS. Les parents vont inscrire leurs
enfants à des cours de gymnastique ou de musqiue, non pas pour la
culture physique ou artistique, mais pour "en être" (de la société
bourgeoise de la ville).
Je suis marqué par une gamine que j'ai soigné lors du cross du collège
cette année, qui avait le souffle court (pouvait plus respirer
normalement la pauvre), et qui était catastrophée, choquée, parce que
lors d'une compétition de gymnastique il lui était arrivé la même chose
son entraîneur l'avait fustigée pour avoir "trahi" son équipe. On
imagine mal les ravages psychologiques qui sont cachés sous un voile de
normalité. C'est le sens du film "La Pianiste" de Haneke (cf. le
concours de piano).
Les gosses qui au contraire sont proches de la réalité, de la
réalisation d'objets (fréquemment, de familles pauvres ou issues de
l'immigration) sont au contraire complètement rejetés et ridiculisés.
Le problème est que les chats ne font pas des chiens. Notre culture
vient de quelque part. De fait, la classe moyenne a repris le
comportement social de l'aristocratie de province, celle qui devait
justement se distinguer de la masse du peuple liée à la réalité, ces
agriculteurs, artisans, ouvriers, tous ces gens qui rêvaient d'ailleurs
à cette vie d'artistocrate et qui les singaient. Car là aussi, celui
qui était content de vivre du fruit de son travail et de ne rien devoir
à personne était ridiculisé.
Je connais en Allemagne un village qui existe depuis 1000 ans, et qui
dans les années 1950 a détruit toutes ses maisons pour construire des
bungalows à l'américaine (façon allemande). On se croirait qujourd'hui
dans une banlieue de Philadelphie...
Bref la connerie humaine est universelle et permanente. Vous qui
essayez d'être autonome et préparé aux catastrophes futures, observez
bien comment ces gens vont s'y prendre pour s'emparer de vos biens ou
pire, de votre travail. Ce sont des leçons uniques, qui nous
permettront peut-être d'éviter pareilles humiliations à l'avenir.
Il s'agirait quand même, au-delà de tout cela, de faire aussi un peu avancer l'humanité...
sommes plus dans une société agraire, c'est que les bons sentiments ne
produisent pas des sacs de grains par magie.
Il est vrai qu'il faut être plusieurs pour produire de la nourriture
etc. Cela suppose donc qu'on est dans des conditions post-attrition.
Or le plus difficile est justement de survivre l'attrition. La quantité
de bouffe étant fixe, il faut vraiment, vraiment, vraiment être sûr de
son coup si on prend quelqu'un avec soi.
Un autre aspect de la question est de savoir qui pose les règles du
groupe humain dans lequel vous évoluez. Etre dans cette position est un
enjeu de pouvoir. Ne laissez donc personne entrer dans votre groupe
humain (famille, ferme, entreprise...) qui puisse vous contester ce
droit.
C'est pourquoi j'ai préparé des choses pour que ma famille reste
AILLEURS et ne vienne pas m'embêter, je ne voudrais pas à devoir agir
"comme la situation le commande" avec eux.
Le problème est que la personne la mieux préparée n'est pas toujours la
plus forte. Il y a des gens qui s'imposent dans un groupe par la force,
par l'obstiantion, par le mensonge et la manipulation etc., toutes
choses qui sont viles et répugnantes pour l'homme d'intellect. Autant
je n'ai pas de mal à dépecer et vider un agneau, autant je répugne à
inventer des histoires pour discréditer les autres (et quand bien même
je m'y essaierais, les résultats seraient pitoyables - c'est une
question de nature humaine).
La civilisation industrielle et plus encore la post-industrielle nous a
fait oublier quelle était la place de la femme dans le foyer il y a
trois générations (je ne parle même pas de la situation lorsqu'on a
crée le code Napoléon). Pareil pour la place des enfants.
Il y a aujourd'hui un certain nombre de familles dysfonctionnelles, qui
ne savent pas encore qu'elles le sont. Je le vois avec mes élèves et
leurs parents. Notre culture est souvent détachée des exigences
matérielles, de la dure réalité, au lieu de cela elle est toute tournée
vers ce qui est social. Or il est de la nature du social d'être détaché
de la réalité, c'est à dire qu'il y a des exigences sociales qui ne
sont pas rationnelles. Par exemple d'avoir des vêtements de marque, de
vivre dans un salon avec des meubles modernes, le design, les bijoux en
toc etc.
Les compétences prisées aujourd'hui visent à acquérir ce qu'il faut
bien appeler de la supériorité sociale. Une gamine va apprendre à
"casser" ses camarades, un garçon va apprendre à pleurer, menacer,
cajoler, pour avoir sa Nintendo DS. Les parents vont inscrire leurs
enfants à des cours de gymnastique ou de musqiue, non pas pour la
culture physique ou artistique, mais pour "en être" (de la société
bourgeoise de la ville).
Je suis marqué par une gamine que j'ai soigné lors du cross du collège
cette année, qui avait le souffle court (pouvait plus respirer
normalement la pauvre), et qui était catastrophée, choquée, parce que
lors d'une compétition de gymnastique il lui était arrivé la même chose
son entraîneur l'avait fustigée pour avoir "trahi" son équipe. On
imagine mal les ravages psychologiques qui sont cachés sous un voile de
normalité. C'est le sens du film "La Pianiste" de Haneke (cf. le
concours de piano).
Les gosses qui au contraire sont proches de la réalité, de la
réalisation d'objets (fréquemment, de familles pauvres ou issues de
l'immigration) sont au contraire complètement rejetés et ridiculisés.
Le problème est que les chats ne font pas des chiens. Notre culture
vient de quelque part. De fait, la classe moyenne a repris le
comportement social de l'aristocratie de province, celle qui devait
justement se distinguer de la masse du peuple liée à la réalité, ces
agriculteurs, artisans, ouvriers, tous ces gens qui rêvaient d'ailleurs
à cette vie d'artistocrate et qui les singaient. Car là aussi, celui
qui était content de vivre du fruit de son travail et de ne rien devoir
à personne était ridiculisé.
Je connais en Allemagne un village qui existe depuis 1000 ans, et qui
dans les années 1950 a détruit toutes ses maisons pour construire des
bungalows à l'américaine (façon allemande). On se croirait qujourd'hui
dans une banlieue de Philadelphie...
Bref la connerie humaine est universelle et permanente. Vous qui
essayez d'être autonome et préparé aux catastrophes futures, observez
bien comment ces gens vont s'y prendre pour s'emparer de vos biens ou
pire, de votre travail. Ce sont des leçons uniques, qui nous
permettront peut-être d'éviter pareilles humiliations à l'avenir.
Il s'agirait quand même, au-delà de tout cela, de faire aussi un peu avancer l'humanité...
Andros- Membre fondateur
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Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
" Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?"
hum... et que feront ils de toi ? ( la question est universelle pas destinée à Andros ) ?
Mon avis est que dans notre univers matérialiste, individualiste et égoïste, les liens familiaux ne seront évoqués que lorsqu'il y aura quelque chose à y gagner.
hum... et que feront ils de toi ? ( la question est universelle pas destinée à Andros ) ?
Mon avis est que dans notre univers matérialiste, individualiste et égoïste, les liens familiaux ne seront évoqués que lorsqu'il y aura quelque chose à y gagner.
________________________________________________________
"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
Coluche
P'tain dire que c'etait il y a 30 ans et que rien n'a changé en mieux depuis ....
transhuman- Membre Premium
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Loisirs :
Date d'inscription : 07/01/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Andros a écrit:C'est pourquoi j'ai préparé des choses pour que ma famille reste
AILLEURS et ne vienne pas m'embêter, je ne voudrais pas à devoir agir
"comme la situation le commande" avec eux.
Comment comptes-tu t'y prendre pour mettre ta famille à l'écart ?
trollinet- Membre Premium
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Date d'inscription : 14/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
... du barbelé et des pièges a loup !
________________________________________________________
La faim est proche
Eco.foxtrot- Membre
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Date d'inscription : 24/10/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Je parle de la famille élargie (les frères, parents et autres)
Je reste avec ma femme et mes gosses (si il se trouve que j'en aie un jour)
Je reste avec ma femme et mes gosses (si il se trouve que j'en aie un jour)
Andros- Membre fondateur
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Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Je me fais mal comprendre, mais c'est de ma faute.le poisson rouge a écrit:Arg! c'est devant ce genre de questions que je vois ma stratégie de "survie en solo" payante (mais terriblement égoïste)
En fait, je parle plutôt d'une "fuite en solo"!
Vivre seul sur le long terme est impossible, tout simplement parce que, ce n'est pas dans la nature humaine de vivre seul. (lisez des bouquins de psycho, j'ai pas le temps d'expliquer tout ça)
Sinon, y a la rêgle des 3 pour ceux qui doutent encore... "3 mois sans contact social" (David Manise) là, perso, je pense qu'il est possible de tenir plus.
Donc, "fuite en solo" suivi de "point de chute" suivi de "recherche d'être humain à forte poitrine" (1 an en mer, forcément..)
Dans le pire des scénarios, certainement.Transhu a écrit:Mon avis est que dans notre univers matérialiste, individualiste et égoïste, les liens familiaux ne seront évoqués que lorsqu'il y aura quelque chose à y gagner.
Par exemple, on peut se demander si les beaux-parents de Kraveunn essaieront de venir chez lui?
________________________________________________________
En survie, il est parfois plus rentable de choisir une solution simplement « assez correcte » plutôt que de rechercher en y consacrant beaucoup d'énergie et de temps la meilleure solution.
Mariner- Membre Premium
- Nombre de messages : 483
Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Je me pose pas mal de questions aussi à ce sujet.....
On peut affirmer qu'un groupe solidaire (famille) sera plus "fort" pour faire face aux problemes du LLBSV.
On peut croire qu'il y aura de la place (à volonté) où cultiver et s'installer pour les survivants.
Il suffirait donc en théorie d'assurer un minimum vital pour ceux qu'on souhaite aider à passer la periode de "crise" qu'on espere la plus courte possible (minimum, un an quand même).
Je me demande si je ne vais pas etendre mes "stocks" dans ce but.
La bouffe de base n'est pas trés "chére" actuellement....On risque même de regretter de ne pas avoir prevu plus !
Et puis la vie d'un amis ou d'un membre de nos famille vaut bien plus que cet investissement.
Même si ils sont restés sourds à nos avertissements, ce sera dur de les voir souffrir alors qu'on aura le ventre plein.
Le probleme est plutot de la rotation de ce stock qui risque d'atteindre des dates de péremption si on a trop "devancé" la crise !
On peut affirmer qu'un groupe solidaire (famille) sera plus "fort" pour faire face aux problemes du LLBSV.
On peut croire qu'il y aura de la place (à volonté) où cultiver et s'installer pour les survivants.
Il suffirait donc en théorie d'assurer un minimum vital pour ceux qu'on souhaite aider à passer la periode de "crise" qu'on espere la plus courte possible (minimum, un an quand même).
Je me demande si je ne vais pas etendre mes "stocks" dans ce but.
La bouffe de base n'est pas trés "chére" actuellement....On risque même de regretter de ne pas avoir prevu plus !
Et puis la vie d'un amis ou d'un membre de nos famille vaut bien plus que cet investissement.
Même si ils sont restés sourds à nos avertissements, ce sera dur de les voir souffrir alors qu'on aura le ventre plein.
Le probleme est plutot de la rotation de ce stock qui risque d'atteindre des dates de péremption si on a trop "devancé" la crise !
Capausoleil- Membre Premium
- Nombre de messages : 866
Date d'inscription : 17/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Capausoleil a écrit:Je me pose pas mal de questions aussi à ce sujet.....
On peut affirmer qu'un groupe solidaire (famille) sera plus "fort" pour faire face aux problemes du LLBSV.
On peut croire qu'il y aura de la place (à volonté) où cultiver et s'installer pour les survivants.
Il suffirait donc en théorie d'assurer un minimum vital pour ceux qu'on souhaite aider à passer la periode de "crise" qu'on espere la plus courte possible (minimum, un an quand même).
Je me demande si je ne vais pas etendre mes "stocks" dans ce but.
La bouffe de base n'est pas trés "chére" actuellement....On risque même de regretter de ne pas avoir prevu plus !
Et puis la vie d'un amis ou d'un membre de nos famille vaut bien plus que cet investissement.
Même si ils sont restés sourds à nos avertissements, ce sera dur de les voir souffrir alors qu'on aura le ventre plein.
Le probleme est plutot de la rotation de ce stock qui risque d'atteindre des dates de péremption si on a trop "devancé" la crise !
Pour les stocks je me dis que même si tes boîtes de conserve ont dépassé de 2 ans leur date optimale elles sont a priori encore consommables (si pas gonflées, rouillées...). Je ne m'inquiète pas trop de la rotation des stocks, mais du volume du stock en lui-même !
trollinet- Membre Premium
- Nombre de messages : 223
Loisirs : GN, randonnée
Date d'inscription : 14/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Capausoleil, les gens qui n'ont pas veillé à s'approvisionner ne
connaissent pas la valeur de la nourriture. Il va il y avoir du gâchis,
et surtout l'importance de tes préparatifs va être minimisée, voire
devenir secondaire (ou oubliée).
Il ne faut pas "donner" des choses précieuses, dans l'intérêt de tout
le monde. Je sais c'est un peu "protestant" comme point de vue, mais
réfléchis-y bien.
connaissent pas la valeur de la nourriture. Il va il y avoir du gâchis,
et surtout l'importance de tes préparatifs va être minimisée, voire
devenir secondaire (ou oubliée).
Il ne faut pas "donner" des choses précieuses, dans l'intérêt de tout
le monde. Je sais c'est un peu "protestant" comme point de vue, mais
réfléchis-y bien.
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Ouais....Mais si on les laisse souffrir quelques semaines avant de les aider....Il vont vite apprendre la valeur des choses !Andros a écrit:Les gens qui n'ont pas veillé à s'approvisionner ne
connaissent pas la valeur de la nourriture. Il va il y avoir du gâchis
Et pour les punir d'avoir fait la sourde oreille !
Pourquoi ? Au contraire...Qui peut le plus peux le moins !Andros a écrit:Et surtout l'importance de tes préparatifs va être minimisée, voire
devenir secondaire (ou oubliée)..
Ben, je vais pas leur dire non plus......J'attendrai de voir selon la situation....Je pense même que la crise permettra de voir la vraie nature des gens....Apres on agit en conséquence !Andros a écrit:Je sais c'est un peu "protestant" comme point de vue, mais
réfléchis-y bien.
Toute façon j'ai rien décidé encore.....Mais cette solution me semble moins "radicale" que l'autre....
Es tu sûr de ne pas te faire des reproches par la suite...Dans la mesure ou tu aurais pu prevoir pour eux, bien sur ?
Capausoleil- Membre Premium
- Nombre de messages : 866
Date d'inscription : 17/12/2006
Re: Que faire de ses amis, beaufs, cousins et belle-mères ?
Ecoutes, moi ça fait des années qu'ils sont au courant. En déménageant
je leur ai laissé un sac de 5kg de semoule, qu'ils ont laissé dehors
sous les éléments, et 100 L d'eau minérale, qu'ils ont bue.
Donc faudra pas me faire chier...
je leur ai laissé un sac de 5kg de semoule, qu'ils ont laissé dehors
sous les éléments, et 100 L d'eau minérale, qu'ils ont bue.
Donc faudra pas me faire chier...
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
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